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Béatrice L
92 abonnés
154 critiques
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1,5
Publiée le 15 juin 2015
Je n'ai pas accroché. Pourquoi je n'arrive pas bien à savoir encore .Pourtant bien les acteurs sont tous parfaits. L'histoire partait bien. Mais le côté Disney se sent dans le film. Personnages enfants recurrents dans l'histoire, côtés un peu gnan gnan par moment. À la fin ce sont les enfants qui vont sauver le monde. C'est beau sur le papier mais cul cul. Moi j'aurais préféré un film de science fiction plus dur. Pour adultes quoi !
l'idée du film est bonne, la bande annonce nous donne envie. mais le film est mauvais, bourrés de clichés et on ne rentre pas assez dans le concept de ce nouveau monde. Tout est dans la bande annonce, le reste n'est que course poursuite et autres actions... enfin le film reste très enfantin (Disney oblige) et très prédictif! regardez la bande annonce, n'allez pas plus loin. 1 étoile pour l'idée
J'ai eu du mal à garder l'oeil ouvert jusqu'à la fin. L'idée était pourtant bonne mais on se perd rapidement dans cette histoire ridicule et pleine de poncifs, gratinée d'un vague message pseudo écologiste. À éviter.
De la science fiction à la sauce Disney... On se rappelle de bienvenue chez les Robinson, et pour le coup ils se ressemblent beaucoup, mais Disney a féminisé le propos . C est donc un film sans frisson mais a la superbe esthétique, d ailleurs si on doit se deplacer au cinéma , ça ne sera que pour ça. Son message n est pas caché , c est soyons utopistes, vivons Disney, buvons coca cola et tout ira mieux. Un film grand public, sans violence, qui sera bien plat sur un écran de Tv.
Avec « À La Poursuite de Demain », Brad Bird, réalisateur du très bon « Mission Impossible : Protocole Fantôme » et très populaire dans le domaine de l’animation pouvait prétendre à son « Star Wars » à lui, « Star Wars VII » qu’il a d’ailleurs abandonné pour faire ce film de science fiction sur un univers parallèle en collaborant avec le scénariste de « Prometheus » Damon Lindelof.
Univers à la fois complexe et déroutant dès son introduction ambiguë, le film s’impose comme une sorte de « Alice Au Pays de Merveilles » futuriste de nostalgique. Nostalgique d’une époque rêveuse que nous évoque Casey, une héroïne assoiffée de liberté qui découvre une sorte d’univers parallèle et avancé au simple touché d’un pin’s. Un univers ou les rêves sont des réalités.
Très spielberguien dans l’âme, le film est un véritable tapis rouge de bonnes idées, mettant en évidence un univers d’une rare beauté et magnifiquement développé en plus d’une belle crédibilité visuelle qui évoque des décors dignes d’avoir été sorti du cerveau d’un enfant entre métro volant ultra moderne et toutes sortes de gadgets fascinants. Et loin de faire dans la prétention, Brad Bird insuffle dans ce long métrage le fond de sa personnalité, de sa pensée, et son don pour raconter des histoire à travers les yeux d’un autre. Dans un ressort qui frôlerait presque la poésie, celle de l’enfance, la métaphore d’une révolution et du désir de changement permanent.
Mais si il est pleinement assumé, le film se heurte aussi à la falaise de l’écriture, cruelle et injuste, qui lui donne un aspect bancal et un scénario qui commence à partir dans une confusion totale, entre les explications lourdingues et un final qui laisse un gout d’inachevé rarement vu dans un film de science fiction original. Se passant d’un quelconque raccourci, le film laisse toutefois sur la déception tant son acte final semble en total décalage avec le corps et semble aussi raté sur tous les plans. Hugh Laurie qui se voit affublé d’un costume ridicule ou encore George Clooney qui se contente simplement de faire le job sans donner à son personnage une quelconque consistance. L’écriture connaît aussi de nombreux remous, et pas que lors du final car tout le film reste truffé de blagues qui tombent à l’eau mais aussi de rebondissement pas très avenants, des chapitres inégaux, et surtout aucun réel méchant, si ce n’est Hugh Laurie qui a cinq minutes de temps à l’écran.
Finalement il est dommage de laisser autant d’ambiguité et de lacune dans un film comme ça, à la fois inachevé et bancal, « À la Poursuite de Demain » est paradoxalement une course rêveuse bien jolie à contempler.
Magique. C'est le premier mot qui passe par la tête en sortant d' "À la poursuite de demain". Oui, magique, car voilà, enfin, un film capable de vous faire retrouver votre âme d'enfant pendant 2h10. Du logo Walt Disney retravaillé de manière futuriste à la séquence finale absolument désarmante (j'avoue, j'ai craqué), le film de Brad Bird a une capacité absolument dingue à toujours émerveiller, surprendre par son inventivité (aaah la découverte de Tomorrowland, cet affrontement à la boutique ou ce passage à Paris) tout en délivrant un message intelligent étonnamment bien intégré au contexte scénaristique. On zappera quelques facilités (pour arranger les choses, il faut tout faire exploser comme d'habitude) et, personnellement, j'aurais aimé que le film se concentre plus sur le personnage de Clooney que celui de Britt Robertson (loin d'être désagréable soit-dit en passant) car le côté rétro de la première partie se mariait tellement bien avec Tomorrowland et sa relation passionnante au fort potentiel avec la révélation Raffey Cassidy (une sorte de Saoirse Ronan next gen) n'intervient finalement que trop sporadiquement, mais on retiendra avant tout "À la poursuite de demain" pour ce qu'il est : un sublime film à destination de tous les rêveurs (petits ou grands) qui tranche radicalement avec les grosses productions actuelles par sa recherche d'un idéal "waltdisneyien" un brin naïf. Peut-être pour ça que le film est un flop partout où il sort, on a peut-être oublié de rêver à un moment ou à un autre.
Un scénario plutôt agréable, au moins je n'ai pas passer les deux heures à regarder ma montre. un George clooney très touchant bien que certaines scènes m'ont un peu dérangé (cougar!). Je suis un peu sensible, il faut prendre du recule par rapport au scénario. Très bon film !
Un film super long, avec des scènes franchement inattendues pour un Disney, d'autres vraiment bien foutues et des moments de pur bonheur visuel, mixés à une sorte de publicité latente pour les parcs à thèmes du groupe et autres produits phares made in States... Un film déroutant, très ciblé pré-ado, qui donne de l'espoir aux gamins qui se sentent à côté de la plaque et rejetés par la société (en leur disant qu'il existe un monde parallèle ? Ça serait pas un peu l'apologie de la drogue tout ça ?) dont on sort assez mitigé. La chronique complète ici :
J'ai retrouvé dans ce monde le charme de mes premières découvertes en science-fiction, les "E.T", "Cinquième élément","Retour vers le futur" ou encore la visite du Futuroscope, bref, cette SF d’antan avec un point de vue enfantin qui s’émerveille devant un futur de voitures volantes et de robots. Cette émerveillement culmine d'ailleurs dans un plan séquence très réussi et totalement cohérent.
Ce scénario a des idées qui ont tout pour me plaire : mise en valeur de l’imagination et de la capacité à s’émerveiller pour créer un meilleur futur, retour du rêve dans un monde ultra rationnel et pragmatique. Une fable écolo qui pourrait fonctionner avec un jeune public. Mais pour moi, on reste un peu trop en surface, et le tout est un peu trop passé à la moulinette Disney, avec de nombreux effets lourdingues et une esthétique bien trop publicité. En général, la dernière partie est bien trop sérieuse et détonne malheureusement avec le début réjouissant. Le personnage d’Hugh Laurie n’est pas du tout crédible.
Bird ne s’émancipe pas tout à fait de la pression du studio aux grandes oreilles, mais parvient quand même à placer sa griffe, et à nous offrir quelques moments très réussis : le plan séquence susmentionné, la séquence « française », la scène chez Clooney en mode « maman j’ai raté l’avion » (ou « skyfall », comme vous voulez !).
Bref, ce monde de demain a deux visages, il réussit à divertir mais échoue à aller beaucoup plus loin, et c’est dommage vu le potentiel du projet. Ce n’est pas mauvais en soi, mais je préfère de loin revoir « Wall-E », par exemple, qui raconte à peu près la même chose avec beaucoup plus de fraicheur.
Idée de départ intrigante, mais se perd rapidement dans certains clichés du genre. Le film reste assez bon dans sa réalisation et on en garde une impression agréable de bon divertissement sans autre prétention...