Derniers Avis : À la poursuite de demain - Page 18

C'est un film plutôt sympa et bien interprété, même si ce n'est pas selon moi un grand film, j'ai passé un bon moment de cinéma

Belle fable ! On reconnait la patte Disney, il n'y a aucune surprise dans ce film. Certes l'ensemble est plaisant mais au final je doute qu'il m'en reste grand chose d'ici quelques semaines ...
Du coup, c'est un joli divertissement mais sans plus.

Ce film est bien mais trop long a démarrer dommage qu on voit très peu l acteur de dr house !

Très bonne idée ce film qui fait dans le green, qui attire l'attention sur nos excès et la nature humaine. Pour autant, des longueurs excusables, le fond est moraliste et source de réflexions. A particulièrement indiquer aux jeunes pour leur avenir.

Brad Bird a fait une percée remarquée dans le monde de l’animation avec des films qui sont devenus autant de classiques : Le géant de fer, Les indestructibles ou encore Ratatouille. Puis il y a eu Mission Impossible : Protocole fantôme, une licence qui s’enfonce de plus en plus dans le grand spectacle pyrotechnique et oublie ses racines plus subtiles. Bird continue sa reconversion dans le film live pour A la poursuite de demain, une dystopie camouflée sous une utopie avec, comme ingrédient caché, une propagande réactionnaire bien distillée.

Frank, un vieil inventeur vivant en ermite et Casey, une adolescente brillante et passionnée d’astronomie, vont se rencontrer par l’intermédiaire d’Athena, un robot recruteur. Elle va les inviter à visiter un monde merveilleux établi par des esprits brillants dans une autre dimension. Devant avant tout faire office de vitrine pour les attractions futuriste de la section Tommorowland des parcs Disney, A la poursuite de demain, sur ce point précis, réussit à merveille. Il faut dire que sur la forme, Brad Bird a savamment dosé les intervention spectaculaire du futur dans notre présent. L’immersion des protagonistes dans ce monde rêvée fait appelle à notre âme d’enfant, justement parce que son aspect temporaire l’assimile à des rêveries passagères. Avec certitude, on peut même affirmer que Brad Bird ne vise pas tant à accrocher un jeune public mais, davantage, les trentenaires férus de cinéma et biberonné à la science-fiction. J’en veux pour preuve incontestable l’utilisation d’un pin’s comme porte de passage et ce moment cultissime dans une bazar, rempli d’objets rarissime autour de la culture geek et tenu par un couple d’androïdes. Visuellement, A la poursuite de demain comporte de très belle scène, comme l’envolée de Frank en jet-pack qu’il a construit lui-même. Et quelques moments capitalise sur nos souvenirs. La technologie en plus, Frank nous rappelle, lors d’une séquence exaltante, l’admiration que nous avions pour Kevin McCallister (Macaulay Culkin) dans Maman, j’ai raté l’avion. Une fois l’émerveillement passé, il faut bien dire qu’A la poursuite de demain nous laisse pantois quand à son message. Le texte sous-jacent n’est pas nuancé, loin de là, mais au contraire, pétrie de contradictions. Contradictions qui se résolvent finalement par l’adhésion des héros aux thèses qu’ils abhorraient. Le scénario d’A la poursuite de demain semble se dérouler pour justifier ce qu’il semblait dans un premier temps dénoncer.

Le monde parallèle que veulent rejoindre Casey, Frank et Athéna a été créé par des inventeurs de génies mais surtout de riches entrepreneurs. Passons sur le côté complotiste de l’œuvre, qui sied très bien pour vendre aux cerveaux à temps disponible des ennemis de papier. Bien entendu, cette aristocratie, se pensant supérieure, exclue de fait le commun des mortels de l’expérience et lance une campagne de recrutement de génies dont Athéna est le produit. Cet eugénisme méritocratique, bien admis de nos jours, est le nerf du mensonge. Parce que le mérite est un leurre qui vient se briser sur les rives de l’héritage, de la reproduction sociale et des systèmes claniques. Convaincu que la Terre se meurt, les vainqueurs de la lutte des classes, entendent bien laisser le petit peuple payer pour ses méfaits sans intervenir. C’est là qu’interviennent les héros qui, pour changer, vont sauver le monde. Sauf qu’à ce stade du récit, A la poursuite de demain vire au délire total. Non seulement, on nous explique que l’humanité a été manipulé par l’élite de l’autre dimension pour qu’elle s’autodétruise. La fable écologique se transformant alors en plaidoyer pour l’irresponsabilité alors même qu’il est plus que jamais nécessaire de prendre conscience de l’empreinte de l’homme sur les déséquilibres climatiques. Et pour couronner le tout, ils décident de poursuivre le programme de leurs prédécesseurs. Le changement de législature ne provoquant apparemment pas un changement de régime. Peu importe les critères, il s’agit toujours de trier le bon grain de l’ivraie ce qui, en soit, est profondément choquant. Nous avions déjà traiter le sujet à propos de Noé.

Sous des atours chatoyants, A la poursuite de demain est finalement assez proche du produit qu’il représente. A l’image des parc d’attractions Disney, on y vend du rêve mais la finalité est bel et bien capitaliste. S’il n’est pas utile à la machine à broyer, l’être humain n’est pas digne d’être élu à un grand avenir. La révolte à l’œuvre dans A la poursuite de demain rappelle davantage 1789 où le pouvoir a juste subi un transfert de dignitaire qu’à la commune de Paris où le peuple pris le pouvoir pour le peuple, une des rares expériences de démocratie directe.

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Petit dernier des films Disney, «A la poursuite de demain» est un film plutôt intéressant.
Le scénario est plutôt bien ficelé, les effets spéciaux et les décors sont magnifiques, véritable cocktail de SF et de fantaisie.
«A la poursuite de demain» nous renvoie à l'un des univers des parcs Disneyland : «Tomorrowland» qui est d'ailleurs le titre original du film. Cet univers représente le «futur» tel qu'on l'imaginait à l'époque de la conception du premier parc.

Le casting est un plus, on retrouve monsieur «What else», George Clooney dans le rôle d'un scientifique, amoureux depuis l'enfance d'un robot à l'apparence d'une petite fille, Athena.
Ce personnage est d'ailleurs joué par Raffey Cassidy, aperçue dans «Dark Shadow» de Tim Burton ou dans «Blanche-Neige et le chasseur» mais ici, elle incarne un rôle principal et même primordial du film. Elle joue donc Athena, robot audio-animatronic du futur qui se voit confier la mission de recruter des «rêveurs optimistes» pour sauver la Terre.
Nous retrouvons également Hugh Laurie, sans sa célèbre canne mais dans un rôle de méchant plutôt pessimiste et sarcastique qui n'est pas sans nous rappeler son personnage de Grégory House.

Le thème du film est très actuel puisqu'il vise l'avenir de notre planète et surtout l'impact de l'être humain sur ce dernier.
Le monde va mal... guerre, réchauffement climatique, conflits politiques...
Le monde court à sa perte et ce sont bien entendu, les humains qui en sont la principale cause...
L'Homme a commis des erreurs en voulant toujours plus...
Plus grand, plus haut, plus impressionnant... Il a construit encore et encore, il a fait des choix qui vont à l'encontre de la Nature et il en paye aujourd'hui, les pots cassés.
Pourtant, les Hommes ont perdu une chose bien plus précieuse que tout le reste : l'Optimisme.
Ce sentiment qui nous permet de percevoir le monde de façon positive, il est un moteur qui nous permet de chercher et de trouver des solutions. Il nous permet aussi de garder l'espoir.
Voilà, ce que le film tente de nous faire comprendre. Si l'Homme a pu détruire ce qui l'entoure, son habitat, son monde... il peut alors aussi le sauver, si seulement il s'en donnait la peine.
La scène finale du film a un message assez clair et fort que l'on peut traduire par le simple fait que nous n'avons besoin que de quelques personnes, de quelques «rêveurs optimistes» pour sauver notre Terre, la rendre plus belle et surtout pour donner envie aux autres de le faire aussi.

Très classique avec son lot de rebondissements mais sans grande surprise.

J'y suis allé sans savoir de quoi il s'agit, ni vu de bande annonce. C'est sympa, bien réalisé, positif, une bonne surprise. Rien de vraiment mauvais hormis le gamin qui interprète Clooney jeune... Insupportable tête à claque. On connait la maison, avec Disney on a l'habitude. A voir.

C'est un très beau film de part les effets infographiques. on ne s'aperçoit pas de la durée du film car le film explose de rebondissements qui tiennent en haleine jusqu'au bout. Une belle conclusion que devraient prendre en compte les dirigeants de ce monde pour "sauver " la planète déjà mal en point. Espérons que les jeunes retiennent cette leçon.

Après Jupiter Ascending qui m'avait bien laissé sur ma faim, j'y suis allé sans pré avis particulière, dans le but de passer un bon moment devant un film de science-fiction. Et c'est chose faite.
J'ai adoré l'histoire auquel je n'ai rien à dire de particulier. Le casting est bien dans l'ensemble. Le décor spoiler: dans le monde du futur
est magnifique!
Ce qui a pêché dans ce film, c'est le scénario soit très simpliste, soit très compliqué. De plus, l'histoire est un peu lente à démarrer et se finit trop vite à mon goût.
Ce n'est pas le film de l'année, mais on passe un très bon moment et c'est le principal. Mais de là, à dire que c'est un échec (comme Disney l'a dit), c'est très exagéré et surtout totalement faux.

On ne sait pas trop quoi penser après avoir visionné ce film. D'un côté, on remarque que ça manque un peu de rythme et de punch. Et de l'autre, on se dit que c'est quand même un très bon film, avec une saveur particulière qui donne le sourire.

Inventive production Disney, lorgnant sur les plates-bandes de l' écolo-responsable "Wall-E" et le style de mise en scène burtonien, "À la poursuite de demain" s'amuse malicieusement à la façon "retour vers le futur", de se jour de l’enchevêtrement spacio-temporel et défend, en toile de fond, l'optimisme (défiant toutes statistiques), le sens du collectif (du "vivre-ensemble") et le pro-activisme à l'endroit d'un développement vertueux.

Le tout étant parfaitement mis en scène, ce divertissement vous captive de bout en bout, tout en gardant sa fraîcheur originale. Dynamisant !

Film légèrement fantastique, plutôt bien fait, mais un peu trop gentillet, pas mal pour les adolescents, mais assez moyen pour les fans du genre.

un film plein de rebondissements à voir en famille.

Après avoir vu la BA, il faut avouer que je ne m'attendais pas à un film familial. Une mise en route un peu longue puis en définitive, une découverte progressive du fond de l'histoire plutôt engagé. La protection de la planète, l'espoir, le militantisme, les efforts collectifs pour sauver la planète etc... On se retrouve face à une œuvre presque docu-fiction sur fond de rêve de Walt Disney et son parc à thème avorté Tomorrowland. Bien réalisé, les réflexions qui naissent à la sortie de la séance sont intéressantes et même si l'aspect parfois un peu lisse de Disney pourrait être agaçant, il n'en reste pas moins agréable à découvrir. On peut noter également que le titre français est très mauvais, on ne parvient pas à le retenir et finalement, le titre original Tomorrowland est plus facile et colle plus au projet de Disney.