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PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
352 abonnés
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4,5
Publiée le 21 mars 2015
La trilogie Divergente fait partie de la scène new age du cinéma action/SF. Une page de littérature moderne surfant sur une nouvelle tendance, de nouveaux frissons. Un style trop souvent jugé puérile mais qui dégage une classe incommensurable, un visuel époustouflant. Le cinéma du genre a fait du chemin depuis les Eragon ou Percy Jackson. Ici on fait d'avantage référence à Hunger Game ou encore Equilibrium, le genre de tableau relativement classique avec des personnages rapidement attachants, animés d'une soif de rébellion. Comment être convaincue de son aptitude la plus élémentaire, la plus viscérale, celle qui vous anime chaque jour consciemment ou inconsciemment, celle qui fait de vous ce que vous êtes. Dans ce monde ravagé, les bons choix n’existent pas et la survie ne dépends pas d'une simple volonté; elle transcende les peurs jusqu'aux confins de l'esprit. Acculée entre une émancipation forcée et un dépassement personnel indispensable à sa subsistance, Tris devra faire les meilleurs choix dont les alliances seront la clef. Tome 1, le décor est planté, s'étale sur 2h20 et n'en finit pas de surprendre. Le scénario est tout à fait palpitant, au moins suffisamment pour languir de la suite. 4,5/5
La niche des romans pour jeunes adultes n'en finit pas de donner des adaptations édulcorées à l'extrême,percluent de sentiments fleurs bleus,d'affrontements tièdes et de messages mous sur l'émancipation. Socialement,avec "Divergente",on a l'impression que les adolescents sont les mêmes que dans les années 50 mais plongés dans un monde post-apocalyptique. Cherchez l'erreur! Si l'interprétation de Shailene Woodley en Tris n'est pas particulièrement à remettre en cause(elle fait ce qu'elle peut en terme de volonté),elle est entouré de bellâtres unidimensionnels(qui continuent à faire rêver les jeunes filles en fleur...)et d'une Kate Winslet qui pourra enfin se vanter de s'être ridiculiser à l'écran. 139 minutes de souffrance,où l'initiation de Tris est interminable,où les décors metallico/carton pâte sont légions,où le pompage sur un "Hunger Games" autrement mieux conçu,est insupportable. Le pire? Les suites arrivent...
Il y'a deux façons d'aimer "Divergente" :1) Être un ou une ado.2) Savoir faire l'impasse sur plusieurs dizaines d'année du monde du cinéma.Explication rapide, je ne compte pas perdre mon temps dans ma critique, en ayant déjà pas mal perdu en regardant ce film.Divergente, pour commencer sur une touche positive, a quand même une idée de départ sympa, vraiment d'actualité, qui concerne notre société actuelle et son mode de fonctionnement qui essaye de nous mettre tous et toute dans des cases, mais aucun mérite pour le réalisateur, sachant que c'est tiré d'un livre !Stop, y'a rien d'autre, pourtant avec une telle "pâte" il y'avait de quoi faire un magnifique "gâteau".Pour faire simple, le film enchaîne les scènes les plus vue dans le monde du cinéma, aucune innovation, aucune audace, l'impression de regarder des passages "romantique" vue des milliards de fois.En partant de là, pas la peine d'avoir un QI de 150 pour comprendre que le réalisateur vise directement et sans vergogne notre chers public d'adolescent et surtout d'adolescente, d'ailleurs à ce propos, "Divergente" ne se contente pas de les cibler avec des scènes, mais aussi avec les clichés, les craintes, les angoisses qu'on a tous et toute connu étant plus jeune.Du ce faite l'histoire en prend un sérieux coup dans la tronche, d'où ma remarque de départ, impossible de prendre plaisir à regarder ce film sans en premier lieu avoir un de ces deux facteurs, voir les deux !Et il ne faut pas compter sur l'action pour sauver l'histoire aussi plate qu'une crêpe !Bref, un nanar pour les adultes.
Aujourd’hui il n’y a que ça au cinéma, des adaptations faramineuses toutes prometteuses mais à chaque fois loupées (« Sublimes Créatures », « Les Âmes Vagabondes » …). Généralement les productions adoptent ce genre de film dans le seul but d’attirer les adolescentes en mettant en avant une histoire d’amour mièvre dans un fond « littéraire » ou alors « scientifique » et surtout pour ce remplir les poches. « Divergente », fait partit de ces films-là. Néanmoins, c’est une adaptation très véhiculée, moins timide que ses semblables et qui tire son épingle du jeu.
Le scénario est dans l’ensemble convaincant. En effet, nous suivons une héroïne (comme toujours), nommée Tris, qui doit faire face à son destin car, dans une société du type Capitole, il y a un système de Factions (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères et Fraternels) où tous à l’âge de 16 ans doivent en choisir une pour se trouver une place et survivre. Au travers d’une évaluation, Tris ne rentre dans aucune faction : elle est « divergente », et devra donc se battre pour dissimuler son secret et faire sa place dans la société. A partir de là, on quitte le moment où toutes les adaptations coulent généralement dans le classique. Ce n’est pas parfait mais assez original et encourageant pour se laisser tenter par la suite du film.
Les scènes d’actions sont tout de même assez présentes et plutôt bien réalisées. Quant aux personnages c’est pas mal, mise à part Kate Winslet, légèrement effacée. Mais ce qui fait de « Divergente », une saga plutôt unique c’est sa part d’originalité artistique et idéologique qui séduit, tout comme « Hunger Games » l’a fait, même si l’œuvre n’atteint pas encore le degré suffisant pour faire partit des meilleurs du genre. Mais au fil du temps il est probable que ce film se rapprochera d’un problème beaucoup adulte et sérieux. De plus, c’est un régal et une rassurance absolue de voir un tout autre niveau d’adaptation, que ce film n’est pas un navet sauce cœur et que c’est quelque chose qui tient la route. Rien qu’avec ça, on peut se dire que « Divergente », est un bon film qui remplit ses parts du contrat.
pour moi ce film est juste parfait, tout y est. je n'ai pas décroché une seule seconde. je le trouves même mieux que le livre, ce qui est trés rare dans mon cas. j'ai vraiment adoré et j'attend le prochain avec impatience
"Divergente", film de science fiction réalisé par Neil Burger, est une vraie réussite ! Le film raconte l'histoire de Tris qui évolue dans un univers dystopique où les liens du sang sont moins importants que les liens du clan. Les êtres humains doivent, en effet, lors d'une cérémonie choisir leur famille d'adoption et y rester pour le restant de leur jours. Les thèmes du film sont intéressants ; le choix, la destiné, la place de l'individu dans la société et pose certaines questions comme : peut-on ranger l'être humain dans une case ? Le film est plutôt long (2h20) mais le temps passe vite. Cela est nécessaire afin de bien présenter l'univers et mettre en place les futurs enjeux et l'intrigue politique. Les personnages nous paraissent plus crédibles et l'histoire d'amour entre Tris et Quatre parait moins superficiel que dans d'autres films. Tous les acteurs jouent bien, les combats sont de qualités et les effets spéciaux également.
Quel merde ce film ! J'étais parti voir Godzilla à la base mais manque de place j'ai vu celui-ci par défaut et ben je regrette. L'histoire n'a aucun sens et c'est du vu et revu ! Un monde post apocalyptique ou il y a des clans... D'accord et ensuite ? On traque les Divergents... Super... Pourquoi ? Parce que ce sont des méchants... Okaaaay. Je n'ai pas vu d'intrigue, ni d'histoire, ni aucun but de ce film. Je le déconseille.
La recette est infaillible : du bo-goss-gendre-et-amant-idéal + un message positif pour la nouvelle génération dont l'ambition est en perte de vitesse sous nos latitudes + un poil de science fiction, d'action, de complots et d'intrigue + une comédienne à l'avenir prometteur + des thèmes solides (dictature, manipulation, abus de faiblesse, maltraitance etc...) et on obtient là sans doute un film, qui plutôt bien mené en dépit des longueurs du parcours initiatique, remportera l'adhésion d'un large public. Contrairement à d'autres opus du genre un peu trop cul-cul, c'est assez mature pour plaire même aux adultes...voilà un film très plaisant.
Ah nan franchement rien à sauver de ce navet ! Même Twilight est plus excitant ! Ce film est un cliché ambulant...et très clairement destiné aux ados...pré-pubères. A la limite, y'a que le monde au-delà du mur qui pourrait...
Lamentable, on passe d'un livre d'ado à un film pour enfant. Parce que le réalisateur a peur de voir le film interdit au -12ans et veut rassembler un large public, il nous sert un film complètement lissé, aucune émotion ou sentiment de peur ne transpire. J'ai passé un moment agréable à reluquer l'acteur.
Ne figurant ce coup-ci pas parmi les Jean-Livres (dont je comprends absolument la relative réticence, quand il s'agit de voir se transposer un écrit que l'on a aimé, dans sa version toile), ce n'est pas tant la forme qui m'a désappointé, que le fond.
On navigue en eaux troubles entre histoire d'amour mièvre et sauts périlleux inutiles ; entre méchants stéréotypés et gentils niais au point d'en souhaiter la chute ; entre approche fumeuses des théories Jungiennes à propos de la peur et discours condescendant et pseudo-moralisateur sur la conscience de soi et le libre-arbitre.
Un film brouillon porté par des acteurs fades et manquants cruellement de charisme. Divergente accumule les clichés et les mauvais choix. L'histoire s'aventure sur d'innombrables pistes mais ne les développe pas assez pour que le film suscite un quelconque intérêt (exemple : spoiler: Triss et son talent pour le lancer de couteau, sa peur de sauter le pas avec le sosie sans charisme de James Franco, qu'elle est le vrai but de la méchante et pourquoi fait-elle ça ? et encore et surtout : qu'y a t'il de l'autre coté de ce mur ?!). Ne résulte de cette pâle copie d'Hunger Games et d'Harry Potter, qu'un fouillis de moment inintéressants et clichés à souhait. 06/20
Rien de tel pour perdre votre temps. L'actrice principale est enfermée dans son rôle, l'illusion ne marche pas. La seule chose qui fait tenir est l'espoir d'une promesse vide.