AlloCiné
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Votre avis sur Noé ?
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De mémoire, j’avais été plutôt interpellé dans le bon sens du terme par la bande annonce et donc dès qu’il est sorti sur Netflix, je me suis dit que c’était l’occasion de le voir. Bon, d’entrée de jeu, je sens que ça va être un film un peu perché par moments, ce que je n’aime pas vraiment. Et effectivement, même si certains passages sont plutôt intéressants, j’ai trouvé l’ensemble très moyen, beaucoup trop fantastique et romancé. Après, c’est issu d’un récit biblique donc fallait s’attendre à un truc dans ce genre et teinté de religion mais bon… Et surtout, que dire des effets spéciaux, vraiment pas réussis. Russell Crowe est très bon, encore une fois, mais il est un peu seul et malheureusement, ça ne fait pas tout. Déçu donc.
Darren Aronofsky et Ari Handel transposent en partie leur BD, dessinée par Niko Henrichon. La grande idée c’est bien sur l’arche monumentale à l’architecture réaliste : le plus d’espace intérieur possible, donc la forme d’une gigantesque boite à chaussure. Logique, elle doit flotter, pas gagner le Vendée globe. C’est dans la construction de l’arche et des conflits, d’abord extérieur, puis intérieur que “Noah” est carrément bon. La mise en scène ne manque pas d’ampleur et le casting est excellent. L’évolution obsessionnelle de Noé est remarquablement transcrite par Russell Crowe (Aronofsky voulait Chritian Bayle mais il était pris par “Exodus” que réalisait Ridley Scott à la même époque), étouffant progressivement toute humanité… Face à lui Naameh (magnifique Jennifer Connelly) quitte peu à peu sa douceur pour une révolte matinée de colère, réaction à l’intransigeance de son époux qui tend vers l’absolu. Enfin, magnifique Emma Thomson dans son meilleur rôle. Tous les autres sont bons, même si la frustration adolescente, grosse ficelle mal travaillée, plaquée dans le scénario pour ratisser large, comme disent les politiciens. Mais avant d’en arriver au fameux rafiot, après une mise en place remarquablement précise, commence une longue séquence sans rythme, d’une laideur totale, dont la torpeur est uniquement brisée par le sauvetage de la petite Ila. Le deuxième grand point faible du film est le choix des paysages, très éloignés de la Mésopotamie et de l’Arménie. L’esthétique du cinéma actuel tendant vers la monochromie (pourquoi ne pas revenir carrément au noir et blanc?) les paysages de l’Islande s’imposaient, car c’est plus facile d’y atténuer les couleurs qu’en Floride, par exemple. Par moments se dégage une impression de cinéma toc-underground… pour 130 millions de dollars tout de même ! Enfin, sacrifiant au besoin du moment, Noé et sa petite famille sont végétalien et écolo, mais pas Wok puisque les deux camps s’affrontent dans un combat de suprématistes blancs males et hétérosexuels qui seront sauvés par des jumelles. C’est bien connu, la femme est l’avenir de l’humanité. En plus tout ce beau monde croit au Dieu des juifs et des chrétiens, même s’il est le grand absent du film, déluge mis à part. Ainsi Noé peut apparaître comme un illuminé de plus en plus stone. D’où la polémique aux USA de la part des judéo chrétiens. Et comme toute représentation d’un prophète est condamnée par le Coran, le film est interdit dans la plupart des pays musulmans. Même si le film est globalement au dessus de la moyenne, ce patchwork biblo héroïco-Fantasy film-pour-ados pour plaire au plus grand nombre, est souvent lourd et décevant. Surtout après “The Wrestler” et “Black Swan” qui ne donnaient à aucun moment dans la complaisance, ni la compromission.
Noé, film sorti en 2014 et une adaptation de l’histoire “l’arche de Noé” d’après l’excellent roman nommé : Bible. Personnellement, j’ai adoré ce film car malgré des défauts importants, j’ai complètement adhéré à l’idéologie du film. Noé est l’OVNI du monde cinématographique, là où beaucoup de films sont anthropocentré, ce long-métrage se distingue des autres par sa vision dure mais juste de ce qu'est réellement l’être humain.
Durant sa jeunesse, Noé assiste impuissant à la mort de son père, il découvre alors que la cruauté humaine n’a pas de limite. Devenu adulte, Noé se voit confier une mission de la plus haute importance par le créateur lui-même. Un déluge va s’abattre sur la terre dans le but d’éradiquer les êtres humains.
spoiler: Dans cet univers, la religion chrétienne est omniprésente, Dieu existe et agit sur le monde. Le but de Noé est de sauver tous les innocents sur terre avec l’aide de sa famille. Cette mission d’éradication de l’humain est difficile mais malheureusement logique. Dans ce monde, Dieu à créé la vie, l’humanité étant en train d'ôter la vie, Dieu décide que le parasite humain doit partir.
La psychologie abordée tout au long du film avec la frontière entre le bien et le mal qui est extrêmement mince. Si les idéologies sont justifiées, certains actes pour arriver à ces fins le sont beaucoup moins.
Le protagoniste principal Noé incarné par l’excellent Russell Crowe est un homme charismatique, complexe avec une très juste reconnaissance de ce qu’il est. Torturé par sa propre mission et idée, Noé deviendra de plus en plus cruel alors même que c’est cela qu’il souhaité éviter. Les nuances liées à la frontière entre le bien et le mal sont très bien ficelées et déroutantes.
Le scénario du film est bon, l’histoire se poursuit avec un bon déroulé, la présentation du contexte, l'instauration d’idées, une grosse scène d’action et un très bon développement des relations familiales.
Autre fait d’arme, le casting avec Jennifer Connelly qui joue le rôle de la mère de famille et surtout Emma Watson pour le rôle de Ila. Emma Watson est juste excellente dans ce film alors que son rôle n’était pas facile à jouer. Elle est la résultante des moments émotionnellements les plus forts du film.
spoiler: La relation d’opposition entre Ila et Noé est parfaite, d’un côté l’amour maternelle d’une femme pour ses enfants et de l’autre Noé qui souhaite accomplir sa mission. La scène de dénouement entre les deux protagonistes est juste magistrale, les deux acteurs sont au sommet de leur arc.
Le scénario et la réalisation sont faits par la même personne Darren Aronofsky, si le scénario est excellent, la réalisation est en dents de scie. Effectivement, la nature dans ce film est splendide, certains plans sont assez similaires à un roi lion et la scène retraçant la création de l’univers jusqu’à aujourd’hui est somptueuse mais les effets spéciaux et les fonds verts sont hideux.
Les musiques sont aussi une bonne réussite et se fondent parfaitement dans le film.
Pour ce qui est du reste des défauts, il y a bien entendu le méchant principal qui est très cliché, Cham qui est un adolescent insupportable spoiler: et que le méchant arrive à marcher alors que sa jambe est cassée.
La conclusion finale est plutôt ratée.
En conclusion,
Le film est surprenant malgré des effets spéciaux de l’enfer, les qualités l'emportent nettement sur le reste. Un long-métrage avec beaucoup d’émotions qui réussit à apporter un tout nouveau regard au cinéma sur l’homme et la nature.
Durant sa jeunesse, Noé assiste impuissant à la mort de son père, il découvre alors que la cruauté humaine n’a pas de limite. Devenu adulte, Noé se voit confier une mission de la plus haute importance par le créateur lui-même. Un déluge va s’abattre sur la terre dans le but d’éradiquer les êtres humains.
spoiler: Dans cet univers, la religion chrétienne est omniprésente, Dieu existe et agit sur le monde. Le but de Noé est de sauver tous les innocents sur terre avec l’aide de sa famille. Cette mission d’éradication de l’humain est difficile mais malheureusement logique. Dans ce monde, Dieu à créé la vie, l’humanité étant en train d'ôter la vie, Dieu décide que le parasite humain doit partir.
La psychologie abordée tout au long du film avec la frontière entre le bien et le mal qui est extrêmement mince. Si les idéologies sont justifiées, certains actes pour arriver à ces fins le sont beaucoup moins.
Le protagoniste principal Noé incarné par l’excellent Russell Crowe est un homme charismatique, complexe avec une très juste reconnaissance de ce qu’il est. Torturé par sa propre mission et idée, Noé deviendra de plus en plus cruel alors même que c’est cela qu’il souhaité éviter. Les nuances liées à la frontière entre le bien et le mal sont très bien ficelées et déroutantes.
Le scénario du film est bon, l’histoire se poursuit avec un bon déroulé, la présentation du contexte, l'instauration d’idées, une grosse scène d’action et un très bon développement des relations familiales.
Autre fait d’arme, le casting avec Jennifer Connelly qui joue le rôle de la mère de famille et surtout Emma Watson pour le rôle de Ila. Emma Watson est juste excellente dans ce film alors que son rôle n’était pas facile à jouer. Elle est la résultante des moments émotionnellements les plus forts du film.
spoiler: La relation d’opposition entre Ila et Noé est parfaite, d’un côté l’amour maternelle d’une femme pour ses enfants et de l’autre Noé qui souhaite accomplir sa mission. La scène de dénouement entre les deux protagonistes est juste magistrale, les deux acteurs sont au sommet de leur arc.
Le scénario et la réalisation sont faits par la même personne Darren Aronofsky, si le scénario est excellent, la réalisation est en dents de scie. Effectivement, la nature dans ce film est splendide, certains plans sont assez similaires à un roi lion et la scène retraçant la création de l’univers jusqu’à aujourd’hui est somptueuse mais les effets spéciaux et les fonds verts sont hideux.
Les musiques sont aussi une bonne réussite et se fondent parfaitement dans le film.
Pour ce qui est du reste des défauts, il y a bien entendu le méchant principal qui est très cliché, Cham qui est un adolescent insupportable spoiler: et que le méchant arrive à marcher alors que sa jambe est cassée.
La conclusion finale est plutôt ratée.
En conclusion,
Le film est surprenant malgré des effets spéciaux de l’enfer, les qualités l'emportent nettement sur le reste. Un long-métrage avec beaucoup d’émotions qui réussit à apporter un tout nouveau regard au cinéma sur l’homme et la nature.
Une fresque mythologique spectaculaire mais assez déconcertante, dans laquelle Darren Aronofsky revisite à sa façon, l’Ancien Testament, en faisant de Noé un illuminé tendance psycho ! Très chelou !
On continue le focus sur la FILMO de Darren Aronofosky avec ce très controversé "Noé". J'ai choisit de le voir maintenant car j'ai récemment regardé "Exodus" qui avait l'air de se rapprocher de par la fait que ce soit une histoire biblique réécrite personnellement par un grand cinéaste, avec un gros budget, un énorme casting et en plus comme je l'ai dit controversé.
Et bien c'est encore une fois satisfaisant de mon côté. Je reprend le même argument que pour le film de Ridley Scott, n'étant pas croyant la réécriture ne me dérange pas du tout, au contraire car je comprends le virage choisit. Donc ça ce n'est clairement pas un problème pour moi. Justement le fait qu'il s'approprie l'histoire de base en l'interpretant totalement personnellement, c'est super. Ok ça peut diviser, pas de soucis mais il ne faut pas le critiquer car c'est son point de vue. Je ne parlerais pas plus de cela.
Ensuite j'ai trouvé que le film était très soutenu en terme de rythme de narration mais aussi dans la mise en scène. On a clairement pas le temps de s'ennuyer, il y a toujours quelque chose à analyser ou à suivre. Cela peut être plus ou moins intéressant ou opportun. Je parle notamment de l'histoire autour du fils qui veut une femme ou dans la mise en scène des choses assez dans le clichés Aronofosky. Mais vraiment il y a d'énorme qualités scénaristiques dans le gestion de l'arrivé et la fin des péripéties. Après je suis un peu moins fan du traitement des personnages, cela aurait pu être vachement complexe sachant ce qu'il a voulu faire de chacun. Mais le problème c'est que tout nous est expliquer de la façon la moins subtile possible. Tout ce que le cinéaste a voulu faire passé en terme de message écologique, sur la famille ou peut importe le sujet nous est balancé en pleine face. C'est extrêmement dommage. Car sinon j'ai passé un excellent moment, peut être suis je naïf ou pas assez exigeant. Je comprends parfaitement les critiques, mais je ne suis pas d'accord avec. Je n'ai même pas vraiment parlé de la mise en scène. Je vois beaucoup de gens qui disent qu'il n'y a pas d'ambition. Comment c'est possible de dire cela. Comme je l'ai dit des fois c'est assez clichés mais il y a aussi des choses assez énorme. Et puis aussi le casting est top. Peut être que je ne suis pas objectif car Russell Crowe et Emma Watson font partit de mes acteurs préférés clairement, mais je les ai trouvés géniaux. Un peu moins fan des seconds rôles mais ça fait le taf. Bref en tout cas encore une réussite pour Aronofosky, certes moins que "Pi" ou "Mother" mais j'ai pu voir son niveau dans plusieurs type d'œuvre complètement différent.
Et bien c'est encore une fois satisfaisant de mon côté. Je reprend le même argument que pour le film de Ridley Scott, n'étant pas croyant la réécriture ne me dérange pas du tout, au contraire car je comprends le virage choisit. Donc ça ce n'est clairement pas un problème pour moi. Justement le fait qu'il s'approprie l'histoire de base en l'interpretant totalement personnellement, c'est super. Ok ça peut diviser, pas de soucis mais il ne faut pas le critiquer car c'est son point de vue. Je ne parlerais pas plus de cela.
Ensuite j'ai trouvé que le film était très soutenu en terme de rythme de narration mais aussi dans la mise en scène. On a clairement pas le temps de s'ennuyer, il y a toujours quelque chose à analyser ou à suivre. Cela peut être plus ou moins intéressant ou opportun. Je parle notamment de l'histoire autour du fils qui veut une femme ou dans la mise en scène des choses assez dans le clichés Aronofosky. Mais vraiment il y a d'énorme qualités scénaristiques dans le gestion de l'arrivé et la fin des péripéties. Après je suis un peu moins fan du traitement des personnages, cela aurait pu être vachement complexe sachant ce qu'il a voulu faire de chacun. Mais le problème c'est que tout nous est expliquer de la façon la moins subtile possible. Tout ce que le cinéaste a voulu faire passé en terme de message écologique, sur la famille ou peut importe le sujet nous est balancé en pleine face. C'est extrêmement dommage. Car sinon j'ai passé un excellent moment, peut être suis je naïf ou pas assez exigeant. Je comprends parfaitement les critiques, mais je ne suis pas d'accord avec. Je n'ai même pas vraiment parlé de la mise en scène. Je vois beaucoup de gens qui disent qu'il n'y a pas d'ambition. Comment c'est possible de dire cela. Comme je l'ai dit des fois c'est assez clichés mais il y a aussi des choses assez énorme. Et puis aussi le casting est top. Peut être que je ne suis pas objectif car Russell Crowe et Emma Watson font partit de mes acteurs préférés clairement, mais je les ai trouvés géniaux. Un peu moins fan des seconds rôles mais ça fait le taf. Bref en tout cas encore une réussite pour Aronofosky, certes moins que "Pi" ou "Mother" mais j'ai pu voir son niveau dans plusieurs type d'œuvre complètement différent.
Russel Crow, Jennifer Connely et Emma Watson dans le genre de navet qui ruine une carrière. Une honte indissible...
Darren Aronofsky est un mégalo mystique qui utilise les histoires bibliques dans ses délires. Ici deux personnages comptent Noé et celui qui s'introduit dans l'arche; représentants Abel et Cain et il semble que Aronofsky ne fait que se projeter à travers les volontés démentielles des deux. Donnant à l'un et à l'autre des discours parfois intelligent mais principalement complètement mégalo et sinistres. Aronofsky se sera trouvé dans un film antérieur de 2006 totalement mystique, sombre et délirant The Fountain qui est d'une égale nullité à celui-ci dans leur intérêt et l'intention quels que soient les moyens qui auront été utilisés.
spoiler:
Grosse hérésie délire en fin de film parmi d'autres, c'est Noé qui avait le choix si l'humanité devait survivre
Il faut avoir un certain courage pour faire un film reposant sur des faits bibliques, une histoire qui n'a rien de glamour, une histoire qui repose sur des croyances et un récit hors du temps.
Est-ce que grâce au succès de Gladiator, et d'un Russell Crown pas encore obèse, on a pu monter ce film improbable.
Ce film a couté 125M$, et en a rapporter que 100M$ aux States, heureusement que le film a eu un beau succès à l'étranger et à engrangé encore 260M$, donc financièrement le film n'a pas pris l'eau.
Artistiquement, là c'est autre chose, même si tout se déroule sur une rythme assez soutenu, s'en remettre toujours au créateur est un peu pesant, avec une belle brochette d'acteurs, et tout le soin apporté à ce récit épique, il manque un supplément d'âme, ou autre chose que la conquête de la femme, pour la procréation.
Certes, on comprend que ces petits jeunes ont les hormones qui les travail, mais de là, à centrer une grosse partie de l'histoire sur ce point, bof, bof...
Tout cela reste une grosse production qui ne relancera pas le genre, il ne traversera pas non plus le temps comme l'a pu faire un Dix Commandements de Cécil B.DeMille, à tort ou a raison...
Est-ce que grâce au succès de Gladiator, et d'un Russell Crown pas encore obèse, on a pu monter ce film improbable.
Ce film a couté 125M$, et en a rapporter que 100M$ aux States, heureusement que le film a eu un beau succès à l'étranger et à engrangé encore 260M$, donc financièrement le film n'a pas pris l'eau.
Artistiquement, là c'est autre chose, même si tout se déroule sur une rythme assez soutenu, s'en remettre toujours au créateur est un peu pesant, avec une belle brochette d'acteurs, et tout le soin apporté à ce récit épique, il manque un supplément d'âme, ou autre chose que la conquête de la femme, pour la procréation.
Certes, on comprend que ces petits jeunes ont les hormones qui les travail, mais de là, à centrer une grosse partie de l'histoire sur ce point, bof, bof...
Tout cela reste une grosse production qui ne relancera pas le genre, il ne traversera pas non plus le temps comme l'a pu faire un Dix Commandements de Cécil B.DeMille, à tort ou a raison...
En regardant Noé j'avais entendu beaucoup de critique négative à propos de ce film. Je ne sais pas si ce sont les chrétiens qui ne soutiennent pas cette adaptation ou si ce sont les athées qui pensent que c'est trop de propagande chrétienne. Je suis athée mais je connais la bible et j'aime les bonnes histoires à l'écran. La seule partie de la Bible que ce film suit est qu'il y a un homme appelé Noé une arche et un déluge. Premièrement je ne me rappelle pas avoir lu que Korg était dans la Genèse. Deuxièmement Noé n'a pas essayé de tuer un bébé. Troisièmement un homme maléfique ne s'est pas faufilé à bord de l'arche. Quatrièmement Korg et ses amis n'ont pas construit l'arche. Cinquièmement il n'y a aucune mention de la tablette contenant les instructions pour construire l'arche dans ce film. Sixièmement il n'y a aucune mention de l'évolution dans cette histoire. Alors que Noé a attendu 100 ans pour le déluge et Noé était un vieil homme au moment du déluge. Et c'est quoi ce ruban magique tous ca n'est pas du tout biblique...
Film boboche. Russel Crowe ressemble plus à notre psychopathe Moïse de la Gaspésie qu'au sage Noé de la bible. Mais bon. Visuellement pas inintéressant. Sur 5 je dirais 1.8 à 2. Donner plus faudrait avoir un cachet du producteur. 😉
Noé fais partis des chefs-d’œuvre que l’on assume pas d’aimer tant il a était critiqué et mal perçu par beaucoup et pourtant, il fais partis des rares films qui m’ont a ce point marquer tant par la magnifique réalisation de Darren Aronofsky , par le scénario remanié ou par l’acting de ces personnages qui en font une référence qui pour moi est incontestables. L’histoire qui peut être vue comme un affront est enfaite une envie de montrer toute la grandeur de l’acte et le réalisateur arrive à merveille à nous souffler tant les plans, les scènes et les paysages sont fort et pesant a l’image. Les acteurs ayant participés à l’aventure sont presque tous de grande ponte du cinéma et ont déjà prouvés leurs talents et leur valeur au cinéma. Un des rares films que je mets dans ma catégorie chefs d’œuvre tant il m’a permis de réfléchir et tant il m’a touché au plus profondément de moi-même. Je le recommande sans aucune hésitation.
Malgré que le film ne ce fit pas a 100 pour 100 à l’histoire biblique, il reste quand même un assez bon film. Un peu violents mais cela représente bien la violence des Hommes.
Un très film moyen sur la légende de Noé et son arche rempli d'animaux à cause d'un catalyse lancé par Dieu. Russell Crowe est convaincant dans son rôle. Mais les jeux d'acteurs d'Emma Watson et de Logan Lerman en amoureux transtis laissent à désirer.
Noé ou la bible revisitée façon Hollywood ! Bon on va dire que c'est très très librement inspiré.
Je m'attendais à des effets spéciaux sensationnels .... et ben c'est pas terrible en fait.
Russell Crowe s'en sort pas trop mal, mais Emme Watson est fidèle à elle même (fade et du coup pas crédible).
Je ne comprends ce que les monstres viennent faire là, j'ai eu l'impression d'être dans le seigneur des anneaux ! Les personnages passent je sais pas combien de temps sur leur "bateau" (disons ça comme ça) et à la fin on croirait qu'ils y ont passé deux jours. Je crois qu'ils pourraient donner des conseils aux pseudo-aventuriers de koh lanta !
Je m'attendais à des effets spéciaux sensationnels .... et ben c'est pas terrible en fait.
Russell Crowe s'en sort pas trop mal, mais Emme Watson est fidèle à elle même (fade et du coup pas crédible).
Je ne comprends ce que les monstres viennent faire là, j'ai eu l'impression d'être dans le seigneur des anneaux ! Les personnages passent je sais pas combien de temps sur leur "bateau" (disons ça comme ça) et à la fin on croirait qu'ils y ont passé deux jours. Je crois qu'ils pourraient donner des conseils aux pseudo-aventuriers de koh lanta !
Noé est une adaptation ambitieuse de ce passage biblique connu comme marquant la renaissance de l’Homme après sa destruction, la scène la plus célèbre étant « l’arche de Noé ». Ce personnage est interprété par Russell Crowe, choix intéressant pour un Noé complexe et charismatique. Complète le casting, Anthony Hopkins en vieux sage, Jennifer Connelly, en mère protectrice et Emma Watson, qui ne joue pas très bien ! Ce casting au-delà d’être bon dessert une histoire riche et très symbolique. En effet, l’obsession d’Aronofsky pour la religion anime le long métrage entier, et ce thème est parcouru de long en large grâce aux choix des personnages et la remise en question de la place de l’Homme sur Terre et les ravages qu’il cause sur cette dernière, un sujet somme toute plus qu’actuel. Pourtant, le réalisateur privilégie l’art cinématographique à la réalité de l’histoire en modifiant des morceaux, pour ajouter une dramatisation non négligeable, bien que cela ne soit pas la force du film à chaque instant. En revanche les thématiques abordées sont traitées avec grand sérieux et cette histoire biblique pourtant datée d’un autre temps à une résonance particulière au jour d’aujourd’hui. Ainsi, Darren Aronofsky parvient à ancrer son histoire dans une situation contemporaine, et c’est d’autant plus plaisant car l’histoire est intéressante à suivre. On a beau connaitre le mythe, le rythme est bon et les ellipses intelligemment placées pour donner du souffle au récit, tout en ne montrant que les éléments réellement intéressants de cette légende. C’est riche en péripéties, en dramatisation de l’action et en grand spectacle. Le long métrage démontre un grand nombre de séquences surprenantes, certaines étant une succession de photographies, et comme les images sont pour la plupart visuellement belles, le rendu est exceptionnel. On peut y voir une métaphore de l’évolution, une séquence est même dédiée à ce concept. Malgré quelques effets spéciaux peut réalistes, (surtout les animaux et les bébés à la fin), le tout offre un rendu assez convaincant pour s’immerger dans le récit, et les nombreuses scènes jouant avec l’ombre ou montrant des paysages naturels sont éblouissantes. C’est une grande réussite pour ma part.
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