Avis : The Violent Kind - Page 3

Une Bombe (Taylor Cole en tête). Un OVNI du cinéma, il faut le voir pour le croire, le scénario est au top et les acteurs aussi. je vous le recommande au risque que vous n'aimiez pas du tout parce que c'est très spécial.

Très bon film qui ne plaira forcement pas à tout le monde ,peut etre à cause de son coté par moment exagérément burlesque mis à part celà ,si la pilule passe on a à faire un super film pleins de bonnes idées ,un film qu'on ne peut aimer ou detester que après l'avoir vu soit meme !

(...) certains pourront trouver The Violent Kind grotesque, injustifié mais ceux qui se laisseront emporter par ce trip sous acide ne seront pas déçus du voyage.
Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-fantastique/critique-the-violent-kind/

une etoile pour le debut du film. le reste est nul. J'ai perdu mon temps. je vous le deconseille meme si vous etes sous l'emprise de l'alcool. MDR.

Un film sans queue ni tête qui ne trouvera un intérêt que chez les ados.

The Violent Kind, Rien que la traduction en dit sur ce long des Butchers Brothers qui se révèle loin d'être un film comme les autres... Ce long-métrage des Butchers Brothers (Avril Sanglant et The Hamiltons) remettent le couvercle en nous projettant à la gueule toute la frustration dont ils étaient l'objet après l'absence de liberté auxquelle ces faux frères étaient habitués. Et finalement, ceux-ci adoptent une manière trop peu encouragés dans le cinéma indépendant, il s'agit tout simplement d'oser prendre des risques et tenter d'innover (Enfin !) au risque de perdre le spectateur à certains moments. Et voilà des gens qui en ont dans le pantalon après le visionnage de ce film. Je dois tout de même avouez être pour le moins surpris, voir choquer de cette tournure que je n'attendais pas le moins du monde tout d'abord car entre la jaquette ; qui annonce un bon petit film à la sauce Animal Kingdom croisé du Devil's Reject ; et la bande annonce (Que je n'avais d'ailleurs pas vu) aussi ouverte qu'un Detention de Joseph Kahn. Est-ce judicieux de ne pas l'avoir vu ? Finalement oui plus gros est la surprise et plus conséquent sont les changements de tons dans ce long. Finalement le scénario, oui, est très complexe sans l'être finalement, disons qu'il arborde plutôt plusieurs sentiers à la fois, sans en expliquant certains et en les laissant volontairement ouvert (quelques pans de l'histoire comme la présence et l'origine des rockabillies) pour venir nous couper le souffle de par sa violence graphique imposante et sa mise en scène aussi chorégraphiés que réussit suivant le peu de budget dont ce film indépendant fut l'objet en 2010 jusqu'à sa très récente sortit en direct to vidéo et après de nombreux passages et quelques cinq nominations dans les festivals de Sundance, Sitges ou autres. Ainsi le scénario est vraiment bon contrairement à ce que des critiques flemmardes en renseignements se mettent à pointer du doigt les films indépendants en les traitant d ebouse sans queue ni-tête. Oui le scénario part en vrille pour passer du film de motards et bikers tatoués au film de possession pour finir en science-fiction car ici où le changement de ton et d'ambiance est roi, la violence graphique y à grandement sa place autant au niveau physique que psychologique (cf présence des rockabillies et scène de fin). Oui ce film est déroutant, imprévisible, loufoque. Ainsi on ne peut guère imaginer par exemple que notre jeune gang des Crew violents, tatoués et machos puissent être représentés dans ce film comme «l'humanité» et les propres témoins du futur proche dont est question l'imprévisible fin de ce film qui au premier abord n'a rien d'un film fantastique à l'instar d'un Cabin Fever d'Eli Roth ou des films de Richard Kelly qui aime manipuler le spectateur contrastant les thèmes de début et de fin. Ainsi pendant tout le film admirez si vous le voulez mais laissez-vous envahir par ce doute sidéral et deviner; en vain; quels sont ces silhouettes dans les bois alentour ? Qui sont ces rockabillies et que sont leurs intentions ? Qu'arrive-t-il et qu'est devenu Michelle cette bikeuse recouverte de sang ? Quel est donc cette histoire d'éléctricité qui vacille à tout va ? Allez-y vous vous amuserez ! Et une fois les intentions des réalisateurs compris (ya pas à cherchez bien loin finalement) qui résulte bien évidemment d'une volonté de grande liberté et de repousser au plus loin les limites filmique, il se décrit fort bien comme l'a fait Mad Movies à son sujet le décrivant adroitement d'un incroyable hybride comme si Rob Zombie (ambiance et esthétique) avait passer la nuit avec David Fincher (Silhouettes et quelques scènes assez puissantes). Dieu que c'est vrai ! Finalement le scénario existe comme si il n'obéissait à aucune règle ! Concernant le casting, il s'avère assez mitigé dans l'ensemble mais cela n'affecte en rien le film en soit, c'est un avis personnelle. Le film communique surtout son sujet de manière assez sensoriel et à l'environnement qu'il à si bien créer dès le départ comme ces relations assez complexes au sein mêmes des Crew. Finalement, avec le recul, The Violent Kind se révèle être une tornade, un grand bazar ou tout est finalement sous la main, et bien à sa place. Un vrai uppercut qau'on attend pas, pendant le film, où on se questionne du pourquoi de tout ce concentré de violence et de genre ? Je le conseille à ceux qui, évidemment, prendront le temps d'identifier les intentions des Butchers Brothers en voyant au-delà de cette violence graphique, vous y trouverez votre compte !

Et là on dit merci qui ? Merci les studios de télévision, sans vous pas de The Violent Kind !

Film d'horreur réalisés par deux cinéastes Américains indépendants et mordus du genre, d'où les références. Complètement déjanté, ce film pré-apocalyptique est joué par une équipe d'acteurs qui se donne à fond pour un scénario bien rock'n'roll... Ce film ne laisse pas indifférent, qu'on aime ou pas. Pour ma part, c'est à revoir !

Une série B fauchée aux idées intéressantes mais à la réalisation pataude. Difficile d'adhérer à ce récit chaotique, pas toujours très clair et qui pioche de ci de là dans plusieurs sous genres d'horreur. Ce qui en ressort le plus finalement est l'aspect gore alors que c'est plutôt la thématique de base qui devrait rester en mémoire mais la mise en scène manque de souffle et les réalisateurs à trop vouloir se donner un style décalé et barré se perdent en route en prenant soin d'emmener leurs acteurs dans leur sillons. C'est dommage mais il ne reste pas grand chose à retenir de cet essai avorté et plutôt déplaisant visuellement.

Sur un fond de musique rock pour adolescents, The Violent Kind est un teen movie des plus classique, avec en prime un jeu d'acteur inexistant et un scénario classique et franchement pas très intéressant.

Sympathique au début, mais le tout devient vite lassant, et même gonflant ! Le pitch part dans tous les sens, à un point que je me demande se qu'a voulu faire le réalisateur et le scénariste avec ce film ? Après il y a quelques bonnes scènes, et un dénouement surprenant (mais aussi décevant pour ma part !)... mais je suis certain que c'est à réserver uniquement à un certain type de spectateur, car ce long-métrage est plutôt déstabilisant entre la violence graphique qui en ressort, et le mélange des genres qui en déroutera plus d'un ! Pour ma part, je suis mitigé !

On ne sait pas trop quoi dire sur ce film, plutôt agréablement réalisé, interprété avec professionnalisme, lequel ne ressort tout de même pas du génie cinématographique, mais qu'on regarde. Oui, sans conviction par contre, car on ne croit pas un instant à cette histoire. Pas grand-chose qui accoche. Au vrai pas de suspense. Pas de surprise. Une espèce de routine dans laquelle se sont empêtrés Phil Flores et Mitchell Altieri. Une espèce de naufrage programmé mais doux, sans heurt. La violence dans le film-même semble fade ; douce violence en quelque sorte. Quelques scènes font désordre dans ce tableau idyllique, mais on n'en retiendra pas de quoi écrire à la famille. Dormez braves gens...

Complètement déjanté et gros fouillis. On prend une grande bassine on balance du surnaturel, du gore (pas tant que ça), un peu de style année 50, un look biker et un léger soupçon d'extraterrestre, on mélange tout ça et on fait boire cette potion à des acteurs plus ou moins mauvais et on obtient un film vraiment chelou. Par moment il attire la curiosité mais la plupart du temps l'envie d'éteindre la télé se fait sentir. Avec plus d'explications sur le pourquoi du comment et une bonne réalisation ça aurait pu être une référence, pas compliqué car aucun autre film ne rentre dans cette catégorie méli-mélo de genre improbable.
Après, certaines scènes sont pas mal, ça commence à devenir intéressant une fois que la bande des violent kind entre en scène, et là c'est un pur délire avec une musique année cinquante qui prend le relais de celle des bikers.

Le début est correct puis ça tourne rapidement au n'importe quoi. Complètement indigeste. Rarement vu un film aussi nul.

L'idée de départ n'était pas mauvaise, mais la nullité de la réalisation et les scènes de violence au premier degré noient le tout dans une déplorable soupe aux navets.

Pas vraiment bien ce film.Le début commençait pourtant pas mal mais la deuxieme partie est franchement bidon.Deja, il faut bien admettre que la musique du film est une catastrophe,tendence ados,elle saoule plus qu'autre chose.On a l'impression de voir un telefilm à petit budget avec des acteurs franchement pas convaincant .Beaucoup de fautes pour la réalisation (c'est le tout 1er film du réalisateur?) .
Ce qui déroute aussi,c'est le coté "fantastique" qui arrive en deuxieme partie.Pourquoi 2 etoiles? Pour le coté "Orange mécanique" bien réalisé , en fin de film.