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Borderie + Constantine + femmes aguichantes + humour, recette éprouvée depuis « La môme vert de gris ». « Ces dames préférent le mambo » apartient à ce filon populaire des années cinquante. Plus private eye qu’agent secret ou capitaine d’opérette, Eddie Constantine, qui rencontre un succès certain, offre une prestation convenue et bien rodée. Face à lui Lino Ventura dans le rôle du méchant. Malheureusement, leur bagarre ne fonctionne pas car le chanteur Eddie Constantine semble bien frêle face à l’ancien champion d’Europe poids moyen de lutte (1950). On retiendra essentiellement un film sans temps morts, agréable et amusant, avec la vénéneuse Lise Bourdin, mais surtout Pascale Roberts, utilisée plus habilement que d’habitude, laissant des regrets quant à sa carrière sous exploitée. Très dépassé mais un charme désuet certain pour ce film dont le seul but est de divertir et qui y parvient agréablement.
je viens de voir ce film que je trouve admirable et très en rapport du monde dans la fin des années cinquante où l'on pouvait encore tout se permettre avec humour, sur les femmes, sur les hommes, sur l'alcool, la drogue, sans aucun interdit ni procès à la clef - c'était un autre monde -
Je trouve ignoble d'avoir critiqué le thème ainsi que le jeu des acteurs par la plupart des intervenants
Je trouve ignoble d'avoir critiqué le thème ainsi que le jeu des acteurs par la plupart des intervenants
Vous êtes sérieux les gars ? Une histoire de carte au trésor en plein XX° siècle ? Si l’histoire première prête à sourire de par son caractère achronique, ce qu’ils en font par la suite n’a aucun intérêt entre des règlements de compte de bac à sable, des histoires de séductions à deux sous avec des femmes objet qui tombent comme des mouches, ou le trafic qui arrive comme un cheveux sur la soupe. Les dialogues sont navrants, d’une bêtise terrifiante, et les acteurs qui les déclament sont d’un médiocre inquiétant. Le fameux Eddie Constantine est une parodie ambulante, grande gueule pas crédible une seconde que ce soit en tant que séducteur ou grosse brute, et le fait qu’il soit le seul possédant un accent achève notre patience. Une pseudo aventure de série B franchement désagréable.
Le film commercial type de l'époque, le départ fait illusion la suite n'est qu'une suite de scènes qui se ressemblent et sans intéret, Lino Ventura n'a qu'un role minime et pas vraiment inoubliable.
Rèalisè par Bernard Borderie, cinèaste rarement inspirè mais du moins dèpourvu de toute prètention autre que celle d'assurer la recette, "Ces dames préfèrent le mambo" est un petit film sympathique des annèes 50 qui se regarde sans rèel ennui! Des cigarettes, du Whisky et surtout des p'tites pèpèes: rien ne manque à cette inènarrable comèdie policière, pas même le flegme de notre Lemmy Caution favori, même si cette fois Eddie Constantine n'est pas Lemmy Caution mais un capitaine de marine plutôt maladroit! Du pur divertissement dans un noir et blanc èclatant avec la prèsence du grand Lino Ventura...
Lemmy Caution héros d'une nouvelle comédie policière, se déroulant en Amérique centrale.
Les ingrédients de la réussite sont là: atmosphère poisseuse d'un port en marge sous les tropiques, trois belles femmes qui intriguent, un trésor, une histoire aux multiples rebondissements, de bonnes bagarres en perspectives, l'humour décontracté d'Eddie Constantine, et une prise de vue en format large. Malheureusement les tribulations du yacht où l'essentiel se joue le conduisent presque à un naufrage!
L'intrigue est touffue à souhait. Ce qui est gênant, ce n'est pas son invraisemblance, ce sont les interminables explications auxquelles elle donne lieu, même si celles-ci sont présentées au second degré.
A terre, seules les échauffourées sont réussies, et la partie tournée en mer est d'un ennui!... Quand au final, il détonne par son côté artificiel, et son humour tombe à plat.
Pour ce genre de spectacle, le rythme est essentiel, et l'ensemble en manque beaucoup.
Réaliser un film qui ne se prend pas au sérieux n'empêche pas de le réaliser sérieusement, et ici ce n'est manifestement pas le cas.
Les ingrédients de la réussite sont là: atmosphère poisseuse d'un port en marge sous les tropiques, trois belles femmes qui intriguent, un trésor, une histoire aux multiples rebondissements, de bonnes bagarres en perspectives, l'humour décontracté d'Eddie Constantine, et une prise de vue en format large. Malheureusement les tribulations du yacht où l'essentiel se joue le conduisent presque à un naufrage!
L'intrigue est touffue à souhait. Ce qui est gênant, ce n'est pas son invraisemblance, ce sont les interminables explications auxquelles elle donne lieu, même si celles-ci sont présentées au second degré.
A terre, seules les échauffourées sont réussies, et la partie tournée en mer est d'un ennui!... Quand au final, il détonne par son côté artificiel, et son humour tombe à plat.
Pour ce genre de spectacle, le rythme est essentiel, et l'ensemble en manque beaucoup.
Réaliser un film qui ne se prend pas au sérieux n'empêche pas de le réaliser sérieusement, et ici ce n'est manifestement pas le cas.
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