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    The Place Beyond the Pines
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 mai 2016
    Un film puissant et marquant sur le destin de deux hommes.
    Les acteurs sont remarquables (fantastique Ryan Gosling et le parfait Bradley Cooper), la réalisation est très juste et la musique est très bonne également.
    Les relations entre les personnages sont très travaillées et l'histoire est poignante du début jusqu'à la fin.
    Il n'y a aucune longueur dans ce film (pour un film de 2h20).

    Bref, "The Place Beyond The Pines" est une pépite cinématographique, avec ses scènes marquantes et son histoire extrêmement touchante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 février 2017
    Un très bon thriller. A Place Beyond The Pines est particulier par sa forme : il est divisé en 3 parties et chacune a un personnage principal différent. La première partie se concentre sur Ryan Gosling, la deuxième sur Bradley Cooper et la dernière sur Dane DeHaan. Même si le deuxième partie est la plus imposante vis à vis du scénario, les autres n'en sont pas moins indispensables et très bien menées. Il y a des prises de risques qui payent, on oscille entre braquages, flics ripoux et jeunes désœuvrés, autant de personnages liés, charismatiques et très bien interprétés. Un film émouvant qui met en avant ses personnages, leurs principes et leurs défauts. Très bien mené avec une ambiance noire et réaliste.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    "The place beyond the pines" est un chef - d'oeuvre tout simplement . Il dégage une émotion très forte . Le scénario est maîtrisé à la perfection . Ryan Gosling est exceptionnel , Bradley Cooper également . le film est un thriller unique qui se doit d'être visionné par tous amateur de thriller .
    Eric Maillard
    Eric Maillard

    325 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2013
    D'abord, je n'ai pas aimé. Puis j'y ai repensé, beaucoup.
    jess Ouaffe
    jess Ouaffe

    3 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Film Inutile.
    on pourrait s'arrêter là, mais j'ai déjà perdu 2h30 de ma vie, alors on y va.
    attention, je révèle des moments du film, comme le fait qu'il y ait une course-poursuite mais c'est pas grave, vous comprendrez quand même, et je ne risque pas de tuer le suspens.

    Histoire:
    Sans originalité, plate comme la Flandre après le passage d'un scraper.

    acteurs:
    Absents même quand ils sont là. La "mélancolie" dans l’œil de Gosling n'est qu'un vide insondable comparable à la magie des effets de sourcil de Roger Moore.
    Ils ont dû garder les passages de concentration avant le clap au montage et benner les rushs des scènes, c'est pas possible de jouer aussi fade, ou alors ils ont décidé de détrôner Pattinson.

    raccourcis fumeux,
    l'arrestation de 3 000 pourris dure 12 s.
    spoiler: j'ai un peu de thunes alors j'achète un lit bébé à mon fils de 1 an même si je ne suis pas plus présent, mais j'ai un peu d'argent alors je vais le dépenser pour lui, et quoi de mieux qu'un lit car il dort à un an dans un lit pour adulte, (t'as qu'à essayer avec le tien pour voir !!) et je le sais car je l'ai lu dans le regard de sa mère ou mieux, elle m'a dit: si tu as un peu d'argent, achète donc un lit, il dort dans un lit pour adultes et je suis inquiète, même si son père adoptif me dit de ne pas m'en faire.

    Au fait : je me demande par quelle réflexion le metteur en scène est passé pour devoir nous infliger une telle justification : j'offre un lit à mon fils de 1 an car il dort dans un lit d'adulte sans protection.
    Si tu as eu un gosse, tu sais combien tu ne le laisserais pas dormir sur un lit d'adulte, c'est tellement invraisemblable que ça en devient comique.
    --- comment on va justifier qu'il monte un lit bébé ?
    --- ben on n'a qu'à dire qu'il n'y en a pas!
    --- pas con ! t'es nommé responsable des idées à la con!

    Clichés dignes d'une série de M6.
    flics véreux, gosse de riche drogué qui parle verlan, immigrés clandestins qui subissent les avanies de la police, manque même pas le curé qui baptise et fait pleurer le (z)héros.
    Vraiment, la larme tatouée au coin de l’œil, et pourquoi pas j'aime maman sur le ventre ?
    ou mieux: hate sur la main droite et love sur la gauche (en fait ça, ça y est..)
    Un moment j'ai cru que c'était un remake de la saison 3 de starsky et hutch (la saison entière tellement c'était long), celle avec des flics véreux, un gosse de riche drogué qui parle verlan, des immigrés clandestins qui subissent les avanies de la police, et un curé italien qui baptise le fils du héros et le fait pleurer.

    spoiler: le héros demande à la mère de ne pas informer son fils de son passé, le père adoptif le fera, tout en précisant qu'il sera toujours là pour lui, le tout sur une musique mélancolique.

    C'est le boson de higgs de la philosophie, l'idée qui manquait pour faire tenir la réalité phénoménale, Kant est ici porté à un degré de vérité qui blesse dedans la tête tellement il est universel.

    Dialogue :
    je veux être là pour mon fils, mon père ne l'a pas été et vois ou j'en suis !
    putain (je peux dire putain, vu ce qui se dit dans les dialogues) le message: (respire) Si t'es pauvre et que ton père t'abandonne, tu vas mal finir, sauf si tu tentes de changer le destin mais il risque de se produire un évènement auquel un riche ne sera pas étranger qui contrariera ton objectif noble (tu suis? ). faut dire que c'est subtilement amené, et drôlement suggéré dans le dialogue. maintenant le déterminisme n'a qu'à bien se tenir, et la démonstration n'est pas piquée des hannetons. A la niche Heisenberg.
    C'est un bingo ! c'est comme ça qu'on dit ? (désolé, ça m'a échappé).

    C'est aussi un film d'action (des passages pour les fans de Drive, en fait) :
    spoiler: je monte un lit Ikea pour mon fils chez le père adoptif car je me suis fait ouvrir la porte par la belle-mère (ils vivent tous avec leur belle-mère dans cette ville) pendant son absence et le père adoptif veut me jeter, je lui père la gueule au bout de deux phrases
    . Il est certain que pour les fans de "Drive", le fait de placer deux phrases est une performance. Le simple fait de penser est un événement, alors attendre deux phrases avant le coup de poing, c'est carrément du niveau de la mouette.
    Comme il faut maintenir l'équilibre cosmique, le fils du héros cassera la gueule au fils du héros (l'autre).
    pas de chaos chez nous (cf. plus haut).

    la caméra bouge beaucoup.
    Lors de "scènes d'action", la steadycam a perdu un poids ou quoi?, on attrape mal à la tête tellement ça secoue, mon tonton fait mieux avec sa S***Y en promo Carouf.
    On est de retour chez M6 avec la descente dans l'immeuble au cul des flics. manque que les commentaires hachés et coupés au mauvais endroit dans la phrase pour colorer de ce rythme propre aux documentaires médiocres.

    spoiler: le coup des lunettes que le fils retrouve est tout simplement affligeant: dialogue : -- ah tu les as trouvées, elles étaient à ton père, essaye-les! --- tu crois ? --- oui, ton père aurait voulu ! (il les porte) ---- elles te vont super bien !


    cette scène, c'est du Hoodyard (un cousin éloigné du notre, Audiard, le vrai.

    spoiler: au fait, ces lunettes, il les trouve 15 ans après sur la table ou vivait son père, propres comme un cul de bébé!


    On a également la prise d'otage la plus rapide du monde, le coureur le plus lent (franchement, quand on rate un plan comme celui ou le piéton ne rattrape pas le vélo alors qu'il peut lui mettre la main sur l'épaule, on recommence la prise), la maison de procureur la plus minable de l'histoire (on croirait le pavillon d'un chef de rayon Leclerc en banlieue de Maubeuge),

    spoiler: autre truc de dingue : pour t'empêcher de rouler, je découpe ta brêle en deux. Enlever les clefs, trop simple..

    ça, faut avouer qu'on ne l'avait jamais vu, sauf dans un film de Stalone ou il faisait exploser un hélicoptère dans le même but.
    on se demande ce que ça vient foutre là dedans, comme la scène de rap, comme les clefs dans le sac,

    Pour les amateurs d'action, la poursuite par un flic esseulé du blondinet au guidon de sa mobylette (en respectant les limitations de vitesse car ils n'avaient pas obtenu la fermeture de la route pour tourner) relève du pathétique.
    la difficulté du démarrage de la moto est également un pur moment de suspens, il essaye deux fois avant que ça ne parte, sur M6, ils vont jusqu'à 3 fois, voire 4 !

    Quant à la scène finale, elle va rester culte, servir de modèle dans les écoles de cinéma comme tout, vraiment TOUT ce qu'il faut éviter, du sujet au cadrage en passant par le plan séquence, il ne manque que la perche son dans le champs. ça veut évoquer Easy Rider, ça ne supplante même pas Mammouth.

    De manière générale, les cadrages sont creux, des pompes de choses déjà faites, avec le trait tremblotant en plus. Il devrait regarder Breaking bad, notre apprenti metteur en scène, il y trouverait des idées à travailler, surtout pour les scènes avec la caravane. l'atmosphère de cette série est à des lieux de celle pataude du présent film. dans le genre destinée plus ou moins contrôlée, je donne tout le film pour la seule séquence du début de la série sus citée.

    Y a aussi la musique. Depuis Tarantino, les ricains se croient obligés de nous passer du vintage.
    Bon... Soit.. Un peu de zic vintage... Mais faut pas forcément nous jouer tata yoyo ou une bêlerie d'un succédané de maria carrée (j'ai fait exprès).

    Il y a quand même des messages forts:
    Les riches s'en sortent mieux que les pauvres, surtout si les riches font du tort au pauvres.
    beaucoup de flics sont pourris.
    Quand on est père, on éprouve du sentiment pour son fils et on projette sur celui des autres.
    On n'échappe pas à sa destinée.
    Moi d'abord
    Ensuite ma famille
    Puis les autres, s'il en reste
    musique : Oh! say, can you see, by the dawn's early light....

    Forcément, après Drive, c'est du lourd.

    Je suis cependant un peu déçu de n'avoir trouvé aucune trace de rédemption.
    ben ou elle est passée la rédemption du chrétien de base?
    Oukilé le flic verreux qui se suicide ( spoiler: j'y ai cru un moment en voyant dans les yeux du chef le reflet du JT
    vers la fin de l'une des 3 parties franchement distinctes (pour la coupure pub aux USA ?).

    Vivement son prochain opus: l'eau ça mouille, le feu ça brûle, c'est pas bien de mentir, avec jason Statham dans le rôle d'un facteur haltérophile philosophe qui se demande si dieu existe.

    je vois bien des gros plans sur son visage, dans un restaurant de hamburgers américains, un double cheese à la main, avec une musique de Vangelis (ou de Horslip pour mettre une touche irlandaise, très mélancolique L'irlande, faut en mettre!) on lirait le doute dans ses yeux, avec une larme à la fin :
    dieu est-il droitier ou dois-je ajouter de la mayo sur mon ketchup?
    plan suivant : flashback (ça manquait les flashback dans la petite maison derrière les pins) du père du héros qui sort acheter du ketchup et qui est fauché par une voiture dont le conducteur a eu une attaque au volant (à cause d'un excès de mayonnaise). finalement, il met du peanut butter pour lui donner plus de goût. Il n'a pas encore surmonté sa phobie de la mayonnaise. on découvrira à la fin que le fauché de la mayo était son père, 2 heures après la scène.
    on comprendra alors sa phobie instinctive de la mayo (putain le déterminisme et putain le trucage).

    J'ai failli oublier le seul point positif de ce film :
    Je dois confesser avoir été sensible à l'ambiance onirique des longs plans et des images qui comportent des couleurs et des ambiances propres à la méditation, avec des résonances musicales qui m'accompagnent encore à la manière des notes de Ry Cooder dans Paris Texas, que ce film n'est pas sans rappeler avec ses destinées inéluctables.
    Non, je déconne.
    Beardbooy
    Beardbooy

    6 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2013
    Ce film est un chef d’œuvre ! Le réalisateur arrive à nous tromper avec une bande annonce qui n'est pas du tout comme le film, le cheminement n'est pas le même, l'ambiance n'est pas la même. Celle du film est noir et donne à réfléchir sur les personnages, on doute avec eux, on souffre avec eux et on pleure avec eux... Les acteurs sont tout simplement géniaux. Ryan Gosling est tout simplement magistral dans le rôle d'un motard, prêt à tout pour assurer l'avenir de son fils, quitte à ce que les conséquences soient terribles pour lui et pour le personnage incarné par Bradley Cooper. Car même si l'affiche nous fait penser que Ryan Gosling est le personnage principal ce n'est pas le cas car il n'est présent physiquement que 1 heure environ et laisse ensuite la "vedette" à Bradley Cooper. Pourquoi je dit "physiquement ? Et bien car même pendant la 2eme partie du film, où on ne le voit pas, il reste gravé dans nos têtes et dans celles des autres personnages, en particulier dans celle de Avery Cross (Bradley Cooper). C'est en cela que le film est selon moi un chef-d’œuvre.
    Donc si vous avez lu cela, vous avez compris que je vous conseille ce film !
    FaRem
    FaRem

    7 531 abonnés 8 888 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2013
    Un bon film avec une bonne mise en scène et de très bons acteurs pour le reste ça reste assez prévisible même si tout est bien fait.
    pierrre s.
    pierrre s.

    363 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2019
    Une première partie intéressante principalement grâce au personnage de Ryan Gosling. La suite est beaucoup plus convenue voir parfois tirée par les cheveux.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    169 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2013
    Vraiment agréablement surprise par cette histoire si touchante. On se laisse porter pendant 2h20 par ces deux petits morceaux de vie qui sont raccrochés entre eux.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    164 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    un drame puissant se déroulant à la perfection dans un scénario habile et maîtrisé...excellent Ryan Goslin
    Parkko
    Parkko

    138 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2013
    C'est en repensant plusieurs fois à Blue Valentine que je m'étais rendu compte que j'avais réellement apprécié le film. Peut-être The place beyond the pines fera la même chose pour moi.
    J'en ressors globalement satisfait mais avec l'impression qu'on aurait pu avoir un film bien meilleur s'il n'était pas plombé par des défauts assez pénibles.
    Je n'ai pas envie d'en dire beaucoup dans ma critique car je pense qu'il faut aller voir le film sans s'attendre à rien, juste prendre le film tel qu'il est sans chercher à lire les résumés, les critiques etc. Le film est réussi à mon avis, je peux pas dire que j'ai adoré car la fin du film me déçoit sur plusieurs points, on tombe vraiment dans des travers que le film avait complètement évité mais bon Ciafrance est vraiment un mec à suivre, j'en suis persuadé, il a une sensibilité assez incroyable, autant on le remarquait sur Blue Valentine de façon logique, autant sur The place on le remarque tout autant alors que c'est un film de gangster à la base quand même. Donc vraiment ce mec est à suivre et ce film est à aller voir sans rien lire dessus.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2014
    Le découpage bizarre de ce remarquable film a pu lui nuire. Jugez en: Luke, le héros principal, et non des moindres puisqu'il s'agit du magnétique Ryan Gosling, couicque au premier tiers du film. Avery (Bradley Cooper) prend le relais, mais il va à son tour s'effacer devant les enfants.

    Le film de Derek Cianfrance parle de filiation. Il parle de pères et de fils -et de fils et de pères. Luke est cascadeur à moto. Il va, avec son spectacle, de ville en ville, et d'amourette en amourette. Lorsque qu'il revient dans la ville où vit Romina (Eva Mendes), il découvre qu'elle a un enfant. Et qu'il ne peut en être que le père; alors, cet enfant, il le veut. Il veut le couvrir de cadeaux, il veut se remettre avec Romina, alors même qu'elle s'est mariée avec quelque d'autre; il attaque des banques, en parfait amateur, pour se procurer de l'argent. Cela ne peut que mal finir.

    Avery est le jeune flic très ambitieux qui est responsable de sa mort, alors qu'il n'était pas en état de légitime défense. Même s'il en a un vague remords, ce personnage digne de House of Cards va poursuivre sa carrière jusqu'au plus haut niveau politique, s'étant fait un marchepied de ses anciens collègues (Ray Liotta) qu'il a dénoncés et envoyés au trou. Il adore son fils, sans voir que c'est un gamin qui tourne mal. La encore, la relation père /fils est déviante.

    Et un jour, les fils de Luke et d'Avery vont se retrouver dans la même classe. Le premier voudrait savoir qui était ce père naturel sur le compte duquel on lui a menti.

    Ce thriller sombre et très ambitieux est à voir absolument.
    petitbandit
    petitbandit

    78 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2013
    Film intéressant qui voit se succéder 3 histoires, reliées entre elles par la chronologie des faits. Les acteurs sont très bons, le scénario efficace, les scènes d'actions et la trame excellentes. La durée excessive fait perdre par moment un peu d'interet au film mais on arrive à rester captivé malgré tout.
    Egalement, une réflexion pertinente sur la filiation.
    Du bon cinéma à consommer sans hésiter...
    Leon9000
    Leon9000

    49 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2013
    Une mise en scène d'une justesse stupéfiante qui impressionne sans avoir recours au spectaculaire excessif ou aux effets pompeux d'auteur complexé. Les cadres et le découpage des plans sont en permanence judicieusement choisis et se mettent au service de la meilleure direction d'acteurs vue depuis longtemps. Tous les personnages prennent instantanément vie, sans avoir besoin de tirer inutilement le propos en longueur. L'intrigue qui comporte beaucoup de tristesse mais aussi quelques beaux moments d'humanité évolue également d'une manière inattendue mais cette narration audacieuse est constamment maitrisée par le réalisateur, décidément maître de son navire et qui a su tirer le meilleur potentiel de tous les outils cinématographiques qu'il avait à disposition. Réellement brillant.
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2013
    Excellente surprise ce film. Je ne m'attendais pas à passer un aussi bon moment. Les 2h20 passe très bien. On a une histoire découpée en trois parties bien distinctes (on a l'impression qu'on change de film) et finalement liées. Ryan Gosling est énorme tant le charisme de son personne impressionne et reste dans notre esprit tout le film il faut dire que le réalisateur lui à réservé les meilleurs moments/plans. Bradley Cooper est quant à lui remonté dans mon estime en incarnant ce perso un peu paumé et plein de doutes. Même si la troisième partie aurait mérité un meilleur approfondissement il n'en reste pas moins qu'on a ici un très bon film.
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