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Décidément l’Académie Française doit payer horriblement mal pour que Denis Podalydès soit obligé de jouer dans ce genre de film névrotique. Agnès Jaoui ne sait plus jouer et les 2 petites filles n'arrivent pas à sauver ce film assez glauque finalement.
La bonne surprise de la rentrée ! C’est très frais, pas commun et tellement bien joué, aussi bien par les adultes que par les enfants (les deux filles sont extra). Le scénario est plus profond qu’il n’y paraît de prime abord et la double lecture des événements par les adultes et les enfants ainsi que les éléments graphiques des représentations oniriques donnent à ce film dont je n’attendais pas grand-chose beaucoup d’originalité et pas mal d’émotions pour le spectateur. Quelques maladresses et longueurs cependant mais vraiment un film à voir pour sortir heureux d’une projection. En plus, la bande originale est vraiment très bien choisie et les décors et costumes des années 80 vraiment extra.
L'histoire d'une petite fille avec pleins de petits problèmes de son âge, et ceux de ses parents en prime.
Encore un coup de la mafia du sentier bobo parisienne, avec les mêmes acteurs, les mêmes ritournelles sur la mémoire mais beaucoup plus d'ironie, sinon de détachement, peut-être même que la réalisatrice (ou la romancière ?) voudrait que l'on parle de son peuple d'une autre manière désormais. Et c'est tant mieux. Les spectateurs qui voudraient prendre l'histoire au premier degré seront forcément à côté de la plaque, c'est du grand délire, et ça fonctionne, bien que l'on puisse être réservé sur le “Monsieur Plus” d'émotion, de gags et d'absurdie.
Encore une fois avec un “scénario tire-larme mais on rigole quand même”, ce sont les acteurs qui sauvent l'ensemble du grand n'importe quoi. Isabelle est rayonnante comme souvent, Denis est parfait comme toujours et Jaoui... supportable pour une fois. Mais ce sont les deux jeunes chipies qui font la différence, vulgaires et charmantes comme de vraies pestes de cour de récréation. On adhère alors aux gags forcés et aux situations plus abracadantesques les unes que les autres.
Si l'on n'est pas trop regardant, le parfait exemple de la feelgood movie à la parisienne, pour une fois réussi : détente et no prise de tête.
Encore un coup de la mafia du sentier bobo parisienne, avec les mêmes acteurs, les mêmes ritournelles sur la mémoire mais beaucoup plus d'ironie, sinon de détachement, peut-être même que la réalisatrice (ou la romancière ?) voudrait que l'on parle de son peuple d'une autre manière désormais. Et c'est tant mieux. Les spectateurs qui voudraient prendre l'histoire au premier degré seront forcément à côté de la plaque, c'est du grand délire, et ça fonctionne, bien que l'on puisse être réservé sur le “Monsieur Plus” d'émotion, de gags et d'absurdie.
Encore une fois avec un “scénario tire-larme mais on rigole quand même”, ce sont les acteurs qui sauvent l'ensemble du grand n'importe quoi. Isabelle est rayonnante comme souvent, Denis est parfait comme toujours et Jaoui... supportable pour une fois. Mais ce sont les deux jeunes chipies qui font la différence, vulgaires et charmantes comme de vraies pestes de cour de récréation. On adhère alors aux gags forcés et aux situations plus abracadantesques les unes que les autres.
Si l'on n'est pas trop regardant, le parfait exemple de la feelgood movie à la parisienne, pour une fois réussi : détente et no prise de tête.
Un film qui ne décolle jamais, ce qui est dommage car l'idée de départ est intéressante. Hélas, le scénario s'empâte au bout d'une demi-heure, rattrapé par les conventions. Pourtant, Podalydes est remarquable (comme toujours) et Isabelle Carré formidable.
On ne peut aimer qui si on est concerné par ces souvenirs d'enfance. Or, je n'étais pas une petite fille dans les années 80 et mes bêtises de petit garçon n'ayant rien à voir avec l' histoire personnelle de la réalisatrice, ça m'est donc passé complètement à côté. D'ailleurs je ne l'aurais pas prise comme copine.
Vivifiante et intelligente comédie emplie de tendresse où se côtoient en permanence les notions d’amour et de mort que ce « Du Vent dans mes Mollets ». Carine Tardieu passe avec brio le cap du second film et on lui pardonnera une mise en scène parfois un peu trop tape-à-l’œil. La part belle revient à l’ensemble des acteurs, tous formidables de justesse (les deux gamines sont épatantes) dont surtout Agnès Jaoui, dans un rôle où on ne l’attendait pas forcément, qui se révèle drôle, émouvante et parfaitement convaincante en mère juive tunisienne. Assurément sa plus belle prestation à ce jour.
En cette chaleur de mois d’août, Du vent dans mes mollets est la dose de fraicheur qu’il nous fallait. Après un pitch un brin insignifiant, rien ne semblait laisser présager un long-métrage aussi beau et drôle à la fois, tant par des répliques hilarantes que par une grande présence de poésie, à travers la découverte du monde par deux petites filles que tout semble opposer, de prime abord. Par ailleurs, deux brillantes fillettes interprétées par Juliette Gombert et Anna Lemarchand. Ces dernières réussissent là où la plupart des gamins échouent : jamais elles n’horripilent et elles s’avèrent même plutôt attachantes ! Sans jamais tomber dans l’excès, elles forment ainsi le moteur d’une chronique juvénile imprévisible et joyeuse, où se succèdent la découverte incongrue du sexe, de la vie, de l’amour et enfin de la mort. Tout cette petite aventure ne serait certainement par aussi réussie sans la crème des comédiens français. À savoir Denis Podalydès, Agnès Jaoui ou encore la superbe Isabelle Carré. Un beau monde pour un long-métrage plutôt réussi, en dépit d’un style visuel plutôt bâclé. En effet, si l’on peut parfois déceler quelques efforts dans la photographie, on ne trouve rien de bien transcendant par ici, hormis une sorte de côté artificiel qui émane de cette tentative de retranscription des années 80. Fort heureusement, il s’agit là d’un défaut mineur qui ne suffira pas à gâcher le visionnage du film. Bien entendu, on peut aussi reprocher à Du vent dans mes mollets de jouer un peu trop la carte de l’optimisme, bien que le film soit – en quelques sortes – vu par des yeux d’enfant. Enfin, si Du vent dans mes mollets dispose d’un tel charme, c’est avant tout parce qu’il peut faire l’effet d’une réminiscence sur notre propre enfance, et ainsi rappeler les radotages des parents ou encore des éventuelles conneries de jeunesse. Tout cela en plus du côté burlesque, qui sévit particulièrement sur le personnage du père – incarné par Podalydès, à deux doigts de revivre l’idylle adultérine quelques semaines seulement après Adieu Berthe – qui semble attirer les ennuis comme la foudre. En conclusion, Du vent dans mes mollets est une comédie revigorante et poétique sans grande prétention, à laquelle vient se rattacher une excellente brochette d’acteurs.
Du Vent Dans Mes Mollets n'est pas un mauvais films, il se pose de vrais question, le temps passe vite, l'histoire bouge. Les acteurs sont très bons. Sans être extraordinaire le film avance, et est dotée d'une très belle fin, très émouvante.
Une bonne petite surprise, des petites actrices excellentes, même si le scénario peut paraître un peu pauvre, c'est une histoire simple toute en émotion.
un film qui continue à vous habiter, même après le clap de fin. très émouvant, il traite avec subtilité d'un nombre important de sujet, ce qui est la marque d'un très bon film.
bien
C'est un joli film bouleversant et profond.
Cela rend heureux et triste à la fois, j'y ai cru, j'ai marché.
En plus c'est intelligent et pas convenu d'avance.
Les acteurs sont tous formidables et vrais, les adultes comme les enfants.
Cela rend heureux et triste à la fois, j'y ai cru, j'ai marché.
En plus c'est intelligent et pas convenu d'avance.
Les acteurs sont tous formidables et vrais, les adultes comme les enfants.
Très bonne surprise de mois d'août. Un film drôle et touchant à la fois. On ressort ému de la salle. Un très bon moment.
une agréable surprise que ce film français aux dialogues assez savoureux et cocasses , et une thématique qui n'est pas facile autour de la mort , de l'enfance et son rapport à celle-ci .j'ai beaucoup ri aussi à la galerie de personnages bien campés et interprétés par Agnès Jaoui , Denis Podalydes , Judith Magre , Isabelle Carré et surtout les deux gamines qui sont magistrales ...alors on y emmène les enfants sans tarder ça les changera des trucs tartignoles et cuculapraline et ça leur permettra de (se) poser les vrais questions . !
Très joli film. Excellente surprise car après avoir vu la bande annonce je m'attendais à un film un peu gnan gnan or pas du tout. Les dialogues font mouche et l'intrigue est souvent désopilante tout en restant intelligente. Bravo à la réalisatrice et aux acteurs: excellent podalydes et drôlissime jaoui, et les enfants bien sûr ! Courrez-y en famille. A voir et même à revoir!
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