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    Du Vent dans mes mollets
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    531 critiques spectateurs

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    Aulanius
    Aulanius

    196 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2012
    Une comédie dramatique sympa dans l'ensemble. La jeune actrice principale est superbe et dégage vraiment quelque chose. Sa bouille atypique et sa prestation ne peut que faire d'elle, une future actrice français digne de ce nom. Cependant, je ne suis pas fan d'Agnès Jaoui, qui pour moi, ne correspond pas trop à son personnage. C'est un peu comme Denis Podalydès que je trouve insipide comme à son habitude. Après, ce n'est que mon avis. Mais Isabelle Carré, même si elle n'a pas un rôle notable, me surprend au contraire. J'ai bien apprécié l'ambiance générale et la relation qu'il y a entre les deux copines de classe. C'est assez touchant et je dois avouer que quelques émotions en ressortent. Gros bémol sur lequel je n'aurai pas penser parler, la bande originale. Le choix des musiques est vraiment mauvais et je suis particulièrement déçu que la musique de "La boom" ait été utilisée. Ce n'est vraiment pas original et beaucoup trop kitch. La fin est un peu longue et je pense que quelques passages auraient pu être supprimés au montage. Mais, je dois dire dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment. Le cinéma hexagonal nous prouve que parfois, il peut sortir des longs-métrages qui méritent d'êtres vus. Je commençais à m'inquiéter depuis certaines prod' qui pourraient nous faire honte. En bref ... à découvrir. 12/20.
    framboise32
    framboise32

    149 abonnés 1 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2012
    Le film est une chronique familiale et aborde notamment le thème de la mort. La petite fille vit avec sa maman “empâtée” et envahissante. Le papa, installateur de cuisines Mobalpa, parle toujours son enfance douloureuse. La copine Valérie, petite fille à la langue bien pendue, n’est pas la dernière à faire des bétises. Sa maman divorcée va semer le doute chez les Gladstein. L'histoire se déroule dans les années 80, nostalgie... la musique, les voitures, les vêtements, l'ambiance tout y est

    Le casting est parfaitement choisi. Agnès Jaoui est parfaite en mère fatiguée, et envahissante. Le père est incarné par le talentueux Denis Podalydès. Les deux jeunes actrices Juliette Gombert et Anna Lemarchand incarnent malicieusement les deux chipies. Judith Magre est la grand mère, Isabella Rossellini est la psy…

    Du vent dans mes mollets est une comédie espiègle, mélangeant légèreté et gravité. A ne pas manquer.

    http://framboisemood.wordpress.com/
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Le casting est exelent , mais c'est les 2 petites filles qui brille aux mileux de cette belle histoire , super sympas avec une fin surprenante.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    116 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2012
    Du Vent dans mes mollets est une comédie gentillette sans plus. Racontée par une fillette sur une tranche de sa vie, cette histoire par moment drôle et par moment émouvante reste surtout gnangnan !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 août 2012
    Une jolie histoire que ce film, comédie touchante et nostalgique servie par d'excellents comédiens, mention spéciale aux deux petites filles.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    A la fin de ma critique de "La tête de Maman", je concluais ainsi : "Comme souvent dans les premiers films, Carine Tardieu a voulu traiter beaucoup de sujets, et montrer toute la palette des effets qu'elle pense maîtriser. Cet excès d'ambition, certes explicable, fait de la "Tête de Maman" un film fourre-tout parfois un peu racoleur. Une sincérité perceptible et quelques trouvailles originales peuvent nous donner envie de la revoir dans un projet mieux cerné." N’ayant qu’une parole, je suis donc allé voir cette adaptation du roman de Raphaëlle Moussafir. Je peux comprendre ce qui a attiré Carine Tardieu dans ce livre en relisant le pitch de "La tête de Maman" puisqu’on y retrouve à peu près les mêmes composantes : une mère névrosée, un père absent, une grand-mère complice, et une fille mal dans sa peau.
    Peut-on parler ici de projet mieux cerné ? En un sens oui, puisqu’il y a une cohérence narrative, quand bien même celle-ci vient faire son marché dans le magasin des poncifs : la mère juive donc étouffante, la petite fille coincée qui se déniaise au contact de la bad girl de la classe quitte à abandonner son rêve de devenir amie avec la future reine du bal, la grand-mère qui s’allie à sa petite-fille pour mieux enfoncer sa fille. Le scénario est donc cohérent, mais sans réelle surprise, du fait de la volonté de plaire dans un registre "L’Elégance du Hérisson", mélange de personnages soigneusement décalés (mais finalement terriblement stéréotypés), d'écart entre un point de vue enfantin et l’incohérence des adultes (mais finalement affreusement artificiel) et de recours aux grosses ficelles de l’émotion et des bons sentiments.
    Je pointais déjà dans ma critique précédente le décalage entre l’ambition de la mise en scène et la maigre proportion de réussite dans ces tentatives. Ici, même constat, avec un déchet encore plus grand. Au rayon des idées qui fonctionnent (soyons honnête, j’ai dû rire trois fois, ce qui est plutôt un bon score pour une comédie française), quelques trouvailles presque subliminales : le tableau d’acuité visuelle d’Agnès Jaoui – sa mère est ophtalmologiste - qui compose des mots en rapport avec son état du moment (chouchoukha, ménopause, salope, Michel), l’image mentale que Rachel se fait de la déportation de son père (un garçon seul à la table familiale, avec une blouse Mobalpa – son père est installateur de cuisines – épinglée d’une étoile jaune), euh, et puis c’est tout.
    La liste des scènes qui font flop est, elle, interminable : citons la pauvre Isabella Rossellini obligée d’assumer une réplique telle que « Chez Mme Trebla, c’est le lieu du blablabla », l’institutrice fringuée comme Karen Chéryl en plus allumeuse qui proclame à la classe le jour de la rentrée « Soyez gentils avec Marina, sa maman n’est plus de ce monde », ou les dialogues très écrits mis dans la bouche des malheureuses gamines qui les débitent sans les comprendre. Les idées pachydermiques pullulent : Rachel qui dort avec son cartable, la musique de "La Boum" qui résonne quand elle rencontre le frère de Valérie, Colette qui n’arrive pas à tutoyer la séduisante mère de Valérie, et puisque Colette est séfarade, l’insistance autour des boulettes, aussi léger que la publicité pour Candia Silhouette active.
    On aurait pu espérer quelque chose d’un casting à première vue intéressant : Agnès Jaoui qui fait un tournant à la Simone Signoret-Madame Rosa, Denis Podalydès, Isabella Rossellini, Isabelle Carré et Judith Magre. Ils se démènent tant bien que mal pour essayer de donner vie à des répliques téléphonées ou faire vivre des scènes improbables. A ce jeu, c’est sans doute Isabelle Carré qui s’en sort le mieux, parvenant à rendre crédible son personnage de mère célibataire fragile et enfantine, comme si son aura avait réussi à maintenir à distance toutes les scories imposées par la direction d’acteurs.
    "Du Vent dans mes mollets" fait partie de ces films destinés à plaire, et particulièrement aux lecteurs d’Anna Gavalda, Eric-Emmanuel Schmitt ou Muriel Barbery. Pour cela, il ne recule devant rien, et comme il ne réussit jamais à susciter l’émotion par la grâce naturelle de son récit ou la sincérité de son propos, il ne recule devant aucun truc, le plus énorme et le plus putassier étant l’épisode final, souligné à coup de flash-back au ralenti, de filtre Davidhamiltonnien, de fleurs de pissenlit tournant dans l’air et de musique lacrymale impérative. Je parlais de sincérité et de maladresses dans le premier film. Grave erreur : tout est fabriqué, et bien plus que de maladresse, c’est de malhonnêteté dont il faut parler ici.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2012
    Drôle et bouleversant... et ce n'est pas facile de marier les deux! Alors surtout oubliez la critique du journaliste de "Première" (il doit être pré-adolescent) et courez voir ce film et quand à la fin vous écouterez la chanson de Barbara, je vous défie de rester insensible aux dernières images de ce film magnifique...
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2012
    Rachel a 9 ans, un père revenu des camps de concentration, une mère juive tunisienne, une grand-mère quasi-mutique et un tas de névroses qu'elle soigne avec une étrange psy. La rencontre de Valérie, copine d'école survitaminée, et de sa mère célibataire, va embellir sa vie et bousculer la léthargie familiale.
    "Du vent dans mes mollets" est extrêmement drôle et parfois grave. Le casting en tous points parfait - Denis Podalydes, Agnés Jaoui (exceptionnelle !), Isabelle Carré, Isabella Rosselini et deux petites filles douées - distille les situations et répliques hilarantes. Les scènes sont parfois un peu trop appuyées mais l'ensemble fonctionne et on passe un excellent moment.
    A lire sur http://zabouille.over-blog.com/
    L_huitre
    L_huitre

    82 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2012
    Un film à hauteur d'enfants... Voilà une juste critique de ce «Vent dans mes mollets» qui se classe dans le même registre que «Jeux Interdits» ou que «la Guerre des Boutons» première version. Les deux gamines sont criantes de vérité dans leur interprétation. Le regard qu'elle jettent sur le monde des adultes, n'est pas tendre. Elle s'en amusent avec leurs poupées. Mais on sent en même temps l'angoisse de petite fille de Rachel à la perspective de grandir, au milieu de sa mère possessive, de son père présent sur le mode intermittent et d'une grande-mère silencieuse et critique. Tout cela participe d'une chronique de la vie intime d'une famille. C'est léger comme le vent, mais c'est tellement juste que c'en est franchement savoureux. Tout tient à l'interprétation très juste des petites filles, mais aussi d'Agnès Jaoui hallucinante en virago juive, sans oublier Isabelle Carré qui est touchante de retenue. Bravo aussi à Isabelle Rosselini qui ose sortir de son statut d'icône avec le rôle de la psy. Honnêtement, ce film mérite vraiment le déplacement, si vous êtes à l'unisson d'un cinéma intimiste autour des émotions de l'enfance.
    Flowcoast
    Flowcoast

    58 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2013
    Réticent par rapport à ce film, j'ai été assez surpris par la qualité de celui ci. Un scénario assez prenant au départ. On ne tombe pas dans la facilité ; les personnages sont tous peu malins, et leurs gags sont plutôt percutants. Petit à petit, on aperçoit une certaine attirance entre les personnages mais on ne tombera jamais dans le cliché ou sinon, des clichés pour rire. Pour un film peu médiatisé, on pourrait dire que c'est un petit succès. C'est pas hyper bon non plus, mais ça se laisse regarder.
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2012
    Parcours initiatique d'une enfant pour réussir à passer outre l'énorme bagage familial qu'elle trimbale, et entre une mère (Agnès Jaoui) qui la surprotège pour compenser la négligence dont faisait preuve sa propre mère et un père (Denis Podalydès) rescapé d'Auschwitz qui ne cesse de remettre sur le tapis à quel point il a eu une enfance difficile, c'est vrai que c'est compliqué. La qualité de "Du vent dans mes mollets" est que chaque personnage, même le plus ridicule, renferme une part de souffrance. C'est le cas par exemple de l'institutrice, qui s'habille comme une p*te et couche avec le prof de sport mais est aussi mariée à un homme violent. Mais cette qualité ne suffit pas à contrebalancer les nombreux défauts du film. A commencer par une histoire très prévisible et qui n'évite pas toujours la mièvrerie. Et la mise en scène de Carine Tardieu, avec ses effets visuels horripilants, ne vient pas arranger les choses.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2013
    Un bon film plein de fraîcheur, mais qui tarde un peu à décoller. La fin est bouleversante, et les acteurs fantastiques. Très agréable à suivre cependant.
    aberdeen76
    aberdeen76

    45 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2013
    Une chronique familiale dans les années 80 : Rafraichissant mais pas totalement convaincant. Le film est ponctué de scènes sympathiques et quelques gags font mouche mais dans l'ensemble le scénario manque de profondeur et d'envergure. Un casting vraiment correct, une réalisation passable malgré quelques effets de style un peu kitsh, et une fin inattendue font que cela se regarde, mais au vu des critiques je m'attendais à mieux. Tout juste la moyenne.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2012
    Comédie à tiroirs mélangeant regards de l’enfance et chronique sociale adulte, Du Vent dans mes mollets ne manque ni d’humour ni de charme. Les deux petites filles espiègles interprétées par Juliette Gombert et Anna Lemarchand sont irrésistibles et semblent sortir d’un roman de Raymond Queneau. La distribution est une parfaite réussite avec une Agnès Jaoui magnifique en mère juive, une Isabelle Carré impeccable en voisine célibataire en quête de tendresse et un Denis Podalydès très juste en père nounours sensible. Les dialogues fusent et l’atmosphère des années quatre vingt parfume l’ensemble d’une senteur d’insouciance. La fin trop artificielle et tristement plombante vient un peu ternir ce très bon moment de cinéma sympathique et distrayant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 août 2015
    Rien d'étourdissant, rien de honteux non plus. Faut quand même reconnaitre que le film doit tout ou presque à ses acteurs, y compris les enfants très bien dirigés ici et qui restent des enfants à l'écran et non des mini-adultes (exercice bien compliqué à en juger par le nombre de film qui tombent dans ce travers). Quelques dialogues et situations piquants arrachent un sourire de temps en temps. Bon, ça survole pas vraiment le tout-venant moyen/honorable des comédies françaises, mais moi, dès qu'Isabelle Carré est sur l'écran, ça suffit à mon bonheur...
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