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    Eaux sauvages
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    Eni Gmatik
    Eni Gmatik

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Un chef d'oeuvre poignant qui retrace les déboires d'un groupe de randonneurs attachants.
    Les monologues profonds questionnent l'âme dans ses grandes largeurs.
    Les scènes de romances prennent aux tripes, il s'en dégage une douceur magnifiée par une bande son formidable.
    La photographie et la réalisation font largement penser à celle de "La vie d'Adèle" dans son perfectionnement et sa justesse.
    Audrey L
    Audrey L

    627 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2023
    A voir absolument en VF. Eaux sauvages est l'histoire d'une équipe de touristes qui fait du canyoning et se fait attaquer par un timbré, ce qui semble assez classique sur le papier, sauf qu'il faut compter sur les dialoguistes en roue libre (on ne vous fera pas l'affront de vous remettre la longue tirade sur le karma, il faut l'entendre pour la croire), sur la mise en scène qui ne se choque jamais de la surexposition aveuglante de ses acteurs (on en prend plein les rétines... Faites passer les lunettes de soleil), sur la durée totale qui se coltine une bonne demi-heure de trop (on ne la justifie jamais), sur des acteurs qui s'amusent (du fait qu'il savent ouvertement ne pas jouer dans un chef-d’œuvre, et leur bonhommie se sent) et quelques rares scènes pêchues (on se demande ce qu'on fait là 90% du temps, et on raccroche ponctuellement lors des attaques). Eaux sauvages est un pur nanar sans pulpes, dont l'affiche est déjà bien moche, dont les dialogues nous propose des cours de philosophie de bar (à 4h du matin, après une quinzaine de bières et un bol de cacahuètes douteuses) qui donnent lieu à des répliques instantanément mémorables, une surexposition qui crame nos yeux à chaque seconde (pauvres acteurs), à une intrigue bas du front qui aboutit sur une non-fin (pas de pellicule, de budget, non ?) et une durée trop longue pour le produit proposé. Merci Nanarland pour cette découverte, pas forcément désagréable (les répliques venues d'une autre planète nous ont tapé dans l'oreille), mais pas forcément agréable non plus (passé la surprise, on ne se réveille plus que pour écouter les philosophies ivres mortes de quelques personnages).
    Yves-Alain Frieden
    Yves-Alain Frieden

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 avril 2022
    Épouvantablement long, des dialogues et des monologue qui n'en finissent plus et qui ne veut absolument rien dire.
    Sans parler des doublure fr qui aujourd'hui passerai plus du tout.
    A voir absolument tellement que c'est nanardesque.
    Pseudofile
    Pseudofile

    8 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2022
    Un thriller psychologique intense qui commence comme un - long - documentaire sur le rafting dans le Grand Canyon. Voilà ce qu'est - censé - être ce film.
    Mais... quelle mise en scène! Quelle direction d'acteurs! Quels acteurs même!, Quel montage audio/vidéo. Et pour parfaire le tout quelle version française! Comme aurait dit Pierre Richard dans ‘La carapate’ c'est "must". Nanarland doit l'avoir plébiscité, il faut le voir et l'entendre pour le croire. Et quand on ne croit en rien, on acquiesce à cette sublimation de la nullité.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 570 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2019
    Quand Nanarland classe quelque chose parmi ses meilleures trouvailles tous genres et toutes périodes confondues, je me dois de m’y plonger avec la délectation du goret dans sa flaque de boue. Une fois n’est pas coutume, je ne reviens pas déçu du voyage : à l’échelle de la nullité surréaliste, Savage water est une authentique perle rare, même si ce n’est pas entièrement de sa faute. A première vue - en fait, au bout de vingt minutes puisque le scénario prend tout son temps pour présenter chaque personnage, y compris et surtout ceux qui ne joueront aucun rôle dans l’histoire - le film évoque une version primitive, fauchée et misérable de “La rivière sauvage� avec Meryl Streep sauf qu’en fait, l’inspiration viendrait serait plutôt à chercher du côté de ‘Délivrance� : quand les gens sont sur la rivière, il ne se passe absolument rien : le courant est calme, les touristes font ‘Youpiiiie� dès qu’il y a une vague (puisque la même bande sonore est recyclée à chaque scène), on flanque un gamin ou une dame à l’eau pour rigoler, tandis que la nuit et le jour, le soleil et le brouillard évoluent d’une seconde à l’autre parce que le réalisateur n’avait pas pris la peine d’y réfléchir dans son planning. C’est quand ils accostent pour passer la nuit (ou le jour) sur les rives de la rivière qu’un psychopathe les tue les uns après les autres...enfin, les deux premiers, on n’est pas sûrs mais la dernière, oui. Et on voit très bien que c’est le psy qui a fait le coup. Rhooo, ça va hein...je ne vous ai pas spoilés : déjà, vous ne verrez jamais le film et puis, il n’y avait aucune raison ni logique particulière à ce que ce soit le psy, le coupable, c’est juste qu’il en fallait bien un. De toute façon, monté et filmé n’importe comment, bourré de dialogues ahurissants de vacuité qui ne servent qu’à faire durer le calvaire, bercé par la même musique de mauvais western qui tourne en boucle et parsemé de flashbacks impossibles à différencier des scènes qui se déroulent au présent, ‘Savage water’ déroute, au point que très vite, on ne sache plus en direction de quoi notre attention de spectateur doit s’orienter en priorité. Ce degré zéro de la mise en scène n’a pas empêché certain illuminés de voir en ‘Savage water’ l’ultime témoignage filmique de l’ère hippie, une démonstration tardive de la faillite des idéaux communautaire lorsqu’ils s’écrasent sur la réalité de la nature humaine. Honnêtement, compte tenu de certains éléments présents de la film, je veux bien croire qu’il soit possible, a posteriori, d’arriver à cette conclusion...mais c’est surtout la preuve que, comme la numérologie, on peut prouver n’importe quoi avec un peu d’adresse et beaucoup de mauvaise foi. Toutefois, ce qui permet réellement à ‘Savage water’ de transcender sa nature de film de merde est, une fois de plus, sa version française : celle-ci fait partie de la catégorie ô combien délectable des trucs qui semblent avoir été doublée par le distributeur français, sa femme et son beau-frère, le premier ayant sans doute dit aux deux autres “On est trois, on n’a jamais fait de théâtre, même pas de la diction, mais je suis sûr qu’on peut arriver à doubler tous les personnages. Et j’ai une petite Chartreuse dont vous me direz des nouvelles�. Couplé à ces dialogues qui voudraient bien avoir l’air mais n’ont pas l’air du tout, le résultat fait des étincelles...et devrait rappeler des souvenirs d’étudiants à certains : vous vous souvenez de ce moments où, miraculeusement à jeûn, vous vous retrouviez au milieu d’un groupe de gens ivres et/ou défoncés qui commençaient à manipuler des concepts cosmiques et pérorer sur le sens de la vie et la logique de l’univers ? Hé bien, les dialogues de Savage water vous feront le même effet !
    Kiwi98
    Kiwi98

    261 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2015
    On connaît tous « Eaux Sauvages », un film qui réside au fond de nos cœurs, un film qui parle de rien, de tout, de n’importe quoi, de n’importe qui, et n’importe comment. Un film qui est sans doute le plus bel ovni de l’histoire du cinéma (les mots sont pesés), un film comme il n’en existe nul autre, un nanar fait par un grand maitre.

    « Eaux Sauvages » c’est un archétype, une œuvre faite par un réalisateur qui semble être à fond sous le coup du LSD, une œuvre folle comme personne n’aurait pu en concevoir, un film qui s’accepte et qui dure. Rien de plus simple, le film dure une heure et demi, il faut attendre une heure pour avoir un peu d’action, et avant ? De la mise en place, des dialogues, du blabla… La vie, l’organisation, la nature, le grand aire. Ce qui est dingue, c’est l’écriture, c’est d’une longueur inconcevable, comme cette scène hallucinante ou les aventuriers discutent du chemin à parcourir, ça dure… Mon Dieu ça dure… Le film est un ramassis de clichés à proprement parler dingue, c’est du néant narratif, de la boue dans laquelle on patauge en redemandant du rab.

    Une bouillie, du masochisme à faire pâlir le cassoulet périmé de mamie maboule, un masochisme qui part des doublages. En effet « Eaux Sauvages » en VO, c’est comme du Kubrick en VF, c’est impossible. Les doublages qui font de ce métrage un iceberg culte sur lequel s’écrase la philosophie, les comédiens qui semblent lire leur texte en même temps qu’ils le découvrent. Ce qui donne des séquences dithyrambiques, notamment celle ou un gentil gars nous fait une « réflexion » sur le karma, là il faut attacher sa ceinture sinon c’est directement le par brise. Et des répliques …«- Arf j’ai les poils du nez qui brulent… » « -T’sais heu… Temps qu’c’est pas les poils du c$l… »

    Tout cela pour en arriver à ce qui ressemble au trip cinématographique le plus anxiogène, débile et pseudo philosophique le plus magnifique de l’histoire du nanar. Ou les codes sont foutus à la poubelle, ou l’anti conformisme s’abreuve une cuve de vins blancs à huit heures du matin. Assurément l’un des plus grands.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 août 2013
    Autant on s'amuse des doublages ratés (inexpressivité, bafouillages, hésitations, accents mal imités...) et des dialogues incohérents (philosophie de comptoir, répliques sans queue ni tête), autant les scènes de meublages (les dialogues n'en finissent pas) et l'image atroce gâchent un peu le plaisir. Au final, un nanar assez moyen qui bien doublé ne serait qu'un simple navet.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Qu'est l'Homme face aux forces inexorables de la nature ? Rien sinon une brindille portée par le flot tumultueux de la vie, allant de ruisseaux en rivières, de remous en rapides, jusqu'à la chute finale, l'océan de conscience partagée de l'Humanité, le Karma.
    Splendide allégorie de la vie, cette aventure montre comment une bande hétéroclite de touristes, venant de lieux et milieux divers, vont réagir en face de la Vie gravée dans l'eau et la pierre, au cœur du Grand Canyon, fruit du travail de Dieu et du Colorado.
    Tous sont réunis dans un but commun, la recherche de la vérité, de sa vérité, de son karma.
    Mais ne vous laissez pas berner par l'aspect pseudo intello de l'affiche, si ce chef-d’œuvre comporte sa part de dialogues insondables à la portée philosophique lumineuse, il n'hésite pas à avancer en eau profonde dès qu'il s'agit d'action. Des plans énergiques, un éclairage audacieux, et un suspens constant, tous les éléments clés d'un grand thriller sont là.
    On aura beau le comparer à d'autres films comme "2001 Odyssée de l'espace", "Citizen Kane", "Fight Club" ou encore "Dumbo", ce film reste pour moi l'apogée, l'aboutissement du cinéma, voir de la narration en soi.
    Quoi qu'en dise les aigris, ce film est véritablement une Upanishad moderne, une grande leçon de vie et un miroir tendu au spectateur dans lequel on se redécouvre sous un jour nouveau.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 janvier 2013
    zzzzzz. hein quoi ? heu.. Ha ha ha, bon assez rigoler je peux voir le vrai film maintenant ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 novembre 2012
    Qu'est-ce que je viens de regarder? Ils sont sérieux sur la jaquette quand ils ont écrit: souvenez-vous de Délivrance en épigraphe. La mise en scène est juste catastrophique; les faux raccords de lumière sont nombreux et c'est comme ça durant tout le film. Où était-elle la scripte durant le tournage? Mais ce nanar en diamant vaut surtout son pesant d'or pour son doublage d'amateur et ses répliques incompréhensibles qui se veulent être philosophiques. Ex: "Si on connaît pas la réponse, puis s'il faut pas trouver quelque chose de suffisamment gros pour que ça puisse paraître vrai, bah alors il faut trouver quelque chose qui soit tellement énorme que personne ne saura si c'est des conneries" Ou l'arabe qui apprend son texte en direct. On pourrait croire qu'il s'est surpris de qu'est-ce qu'il dit: "Les femmes doivent être respectées et nous... nous les gardons occupées à... à la maison." Parlant de l'arabe, les accents sont souvent aléatoires et trop poussés. Comme le personnage de l'allemand qui a un accent anglais ou l'arabe qui a un accent de constipé. Les répliques sont involontairement drôles et vous en rirez durant même les moments les plus sérieux. À voir dans une vie si vous êtes déprimé comme la bande sonore de ce film. Un film à rangé entre Jaguar Force et du crépuscule de la liberté qui sont des chef-d’œuvre du nanar de doublages.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2012
    Ce film est a mourir de rire!! Bavars comme c'est pas permis! Chaque dialogue est aussi drôle et culte qu'inutile... c'est dire! La moitié des phrases interminables de ce film vous resterons en têtes et vous feront pouffer de rire sans aucune raison apparante...
    Frédéric L
    Frédéric L

    18 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 juillet 2014
    Ce film est une très belle purge. Je vous l'assure, n'importe quel film de vacances sera mieux filmé, mieux monté, mieux rythmé que ce bouzin supra Z. Mais j'admets que, d'un, le doublage français, apocalyptiquement karmatésimal est une très grosse valeur ajoutée au film. Que de deux, c'est le seul survival à la Délivrance où il y a plus de monde à la fin du film qu'au début. Et que de trois, la tente à caca, c'est vachement pratique...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 139 abonnés 7 481 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2021
    Eaux sauvages (1979) n'a pas tardé à gagner ses lettres de noblesse, devenant ainsi l'un des plus célèbres « nanars audio ». Mais que lui vaut tant de reconnaissance ? Du haut de ses 90 minutes, si vous prenez le risque de le visionner, il est nécessaire que vous sachiez certaines choses à son sujet, sous peine d’abandonner le visionnage au bout du premier ¼ d’heure.

    Sachez tout d'abord qu'il est impératif de le voir en VF car l'originalité même de ce film repose essentiellement au sein de son doublage (complètement foireux et sous valium, à croire qu'il a été confier à des doubleurs inexpérimentés à moins qu’il ne s’agisse d’un délire entre eux). Ensuite, concernant le scénario, ne cherchez pas, il n'y en a pas, on a l'impression que les dialogues ont été écrits à la truelle par un scénariste sous ecstasy (où les protagonistes viennent raconter leur vie, parlant de tout et de rien, partant dans des délires philosophiques sur la fin du monde ou sur une explication du Karma version hippie).

    Le film narre l'histoire d'un groupe de touristes parti faire du rafting dans le Grand Canyon. Il faut attendre pas moins de 40 minutes pour qu'il se passe réellement quelque chose (à savoir, un meurtre et notamment celui spoiler: du « noir », oui, oui vous avez bien lu, il n’a pas de prénom, ses compagnons d’infortune l’appellent juste « le noir »).
    Car bien avant cela, on ne comprend pas réellement pourquoi un tel titre a pu être retenu pour ce film où il ne se passe rien, la mise en scène frôlant l'encéphalogramme plat, ajoutez à cela une B.O dépressive qui ressemble à une complainte mi-forestière, mi-country, avec quelques effets jazzy WTF dont on se demande ce qu’ils viennent foutre là (d’ailleurs, le main theme du film est un mix à la fois langoureux et seventies, qui se répètera en boucle durant tout le film, au point de vous rendre barge).

    Concernant les protagonistes, on a droit à toute une palette de personnages stéréotypés, avec des guides (qui n'en ont pas l'air), un couple d'allemands et un riche fils d'émir (appelé Mahomad dans la VO & Mahmoud dans la VF, d’ailleurs on se demande bien ce qu'il vient faire là celui-là, en dehors de jouer les gros chacals à vouloir draguer lourdement tout ce qui lui passe sous la main). C'est d'ailleurs grâce au doublage que l'on parvient à faire la distinction entre tous les protagonistes, les doubleurs ayant pris soin d'insister « lourdement » sur les accents pourris (il faut bien le reconnaître, entre les allemands et l'arabe, on obtient un résultat des plus catastrophique, sans oublier que d’une scène à l’autre, Mahmoud en oublie son accent et devient un type lambda, à l’image des autres protagonistes).

    Ajouter à tout cela, une absence flagrante de bruitage pendant les ¾ du film et les rares à se faire entendre décrédibilisent l’ensemble de la scène (à l’image des séquences en rafting où le bruit des vagues ressemblent à des clapotis dans une bassine), sans oublier des scènes de dialogues qui sont réutilisés un bon nombre de fois (dans un souci d’économie évidemment) lors des scènes de rafting (mettez bout à bout toutes les séquences de rafting, vous constaterez qu'il s'agit à chaque fois des mêmes dialogues, des mêmes intonations de voix et d'éclats de rires). A signaler aussi les quelques séquences tournées façon "nuit américaine" qui viennent encore plus décrédibiliser le film (avec ou sans "nuit américaine" puisqu’on voit même l’un des protagonistes s’éclairer d’une lampe torche en… plein jour !).

    Une perle rare en la matière, si vous vous étiez toujours demandé ce que pouvait rendre Délivrance (1972) de John Boorman s’il avait été réalisé sous ecstasy et interprété par des hippies… Ce film vaut assurément le coup d'œil (et surtout, ouvrez bien grands vos oreilles !), cependant, vous risquez fort d’en ressortir avec une vilaine conjonctivite, la qualité de l’image étant des plus catastrophique, on a l’impression d’avoir affaire à un très mauvais VHSrip.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    84 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Un chef-d’œuvre absolu, l'un des meilleurs films de tous les temps, dont la portée philosophique dépasse l'entendement. On sent l'influence de "2001 : L'Odyssée de l'Espace" dans la réalisation et le scénario (film qu'il surpasse aisément). Les dialogues comme les personnages vous feront vibrer, dans une prestation magnifiée par une équipe de doubleurs avant-gardistes en diable. Un film à voir absolument, ne serait-ce que pour comprendre comment enfiler un gilet de sauvetage ou faire un nœud carré, apprendre les bonnes manières (ne pas se servir à manger avec les mains, ne pas uriner sur la tente à caca quand elle est occupée...) et surtout en prendre plein la poire !
    Comme l'écrivait Victor Hugo, "l'art, c'est la création propre à l'homme. L'art est le produit nécessaire et fatal d'une intelligence limitée, comme la nature est le produit nécessaire et fatal d'une intelligence infinie. L'art est à l'homme ce que la nature est à Dieu." Ce film en est la parfaite illustration.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 août 2012
    comme dit nanarland dans sa critique :" nous sommes des chercheurs d or et des fois , nous trouvons une enorme pépité " et bien cette pepite c est : eaux sauvages et franchement ,j ai vu beaucoup de nanars , et bien eaux sauvages reste dans mon top 5 et pour cause : acteurs dans l amateurisme brut , montage epileptique, doublage catastrophique , scene entiere a contre jour , replique sans queue ni tete , scenario incoherant tout ca fusione pour crer cette chose immonde , je termine par cette replique qui résume bien ce nanar : "oh merde ! j ai les poils du nez qui brulent !" - " tu sais , tant que c est pas les poils du cul !" ... magistral ...
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