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Votre avis sur Father's Day ?
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On est vraiment dans le style Grindhouse , ce genre de film des années 60 américains à la pellicule abimée avec sa pub bien pourrie au beau milieu du film , le genre de truc que l'on devait regarder dans les drive-in
Archi gore à souhait et complétement déjanté, ce film aux effets spéciaux remarquable est guidé par des acteurs fous non démunis d'un sens de l'humour assez noir et incohérents.
Ça part un peu dans tous les sens, quelques longueurs parfois trainent en milieu de film mais malgré un scénario simple , on découvre les meurtres les plus horrible qui soient (tiens je savais pas qu'on pouvait faire ça ...) beurk!
Un must...dans son genre!
Archi gore à souhait et complétement déjanté, ce film aux effets spéciaux remarquable est guidé par des acteurs fous non démunis d'un sens de l'humour assez noir et incohérents.
Ça part un peu dans tous les sens, quelques longueurs parfois trainent en milieu de film mais malgré un scénario simple , on découvre les meurtres les plus horrible qui soient (tiens je savais pas qu'on pouvait faire ça ...) beurk!
Un must...dans son genre!
tres bonne serie z , avec tout ce qu'il faut . A voir !
Si vous avez 1h39 à perdre... trouvez autre chose à faire que de regarder ce film.
Il est à zapper.
Il est à zapper.
Moins excessif (et transgressif) que ses ancêtres filmés par Lloyd, Father's Day se révèle toutefois être un bon cru de la maison, sa facture Z ne l'handicape jamais dans son rythme ou son esthétique. Pour le coup, il détrône aisément les nouvelles figures du film Grindhouse (se plaçant au niveau de Planète Terreur, soit au dessus de Machete et Boulevard de la mort) par un pitch aussi simple que barré. Un violeur psychopathe sadique, du gore à la pelle, une équipée composée d'un prêtre, d'un tueur à gages et d'un homo dont les dialogues seront toujours ponctués d'un comique fonctionnel, et un dénouement complètement fou se passant en enfer, et voilà un divertissement pas cher, à l'esthétique cohérente (l'image est belle) et à la trame couillue, divertissant largement sur son heure quarante. La Troma s'ouvre clairement à son époque, et prouve que les productions les moins fortunées sont souvent les plus surprenantes. Un bel essai !
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