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Nicolas V
On reprend les mêmes clowns des temps modernes et on recommence. Sans être un grand fan de la comédie très premier degré aux gags basiques il faut quand même reconnaître une certaine inventivité concernant les gags.
Il faut apprécier ce Jim Carrey totalement délirant ce qui permet au film de ne pas prendre une ride et de ne souffrir d aucun temps mort.
De temps en temps , débrancher le cerveau devant ce genre de film, ne fait pas de mal. Après rien ne vous empêche d équilibrer avec inception.
Il faut apprécier ce Jim Carrey totalement délirant ce qui permet au film de ne pas prendre une ride et de ne souffrir d aucun temps mort.
De temps en temps , débrancher le cerveau devant ce genre de film, ne fait pas de mal. Après rien ne vous empêche d équilibrer avec inception.
Voici nos deux idiots américains préférés de retour 20 ans après pour de nouvelles aventures idiotes et délirantes. Avant d'embarquer à bord avec eux pour ce long périple, pensez à débrancher votre cerveau et savourer ces crétineries, ces jeux de mots idiots et préparer vous à sourire de nombreuses fois. C'est un film des frères Farelly, donc niveau humour, cela ne vole pas haut, mais c'est crétin à souhait et cela fait parfois du bien de voir ça. On a donc plaisir à retrouver nos héros, Jim Carrey en tête, avec un scénario pas trop mauvais et un lancement de l'histoire extra. D'ailleurs la conclusion est juste énorme et inattendue et donc très bien. A cela, on peut ajouter une bande son très bonne. On est donc très loin du film de l'année, mais ça nous divertit et c'est bien la le principal !
A titre personnel, c'est en une époque triste et misérable pour moi que j'avais découvert "Dumb and Dumber", lors d'un bien maussade dimanche après-midi de la fin des années 90 sur Canal . Et je me souviens d'un film trash et fou qui m'avait égayé tout de même le temps d'une bonne paire d'heures. Maintenant que tout va bien, peut-être suis-je devenu plus exigeant, mais cette suite m'a semble moins piquante. Il est vrai que nos héros ont vieilli, même si Jim Carrey est aussi déjanté que d'habitude. Et quelques étincelles de-ci, de-là, n'arrivent pas à faire de "Dumb & Dumber de" l'expérience délirante que l'on pouvait espérer.
L'adage « plus c'est con, plus c'est bon » se vérifie de temps en temps dans le film. L'humour crétin, les personnages débiles qui naviguent entre burlesque et mauvais goût me laissent pantois. À tel point qu'il m'est difficile d'émettre un avis. Malgré des moments de gêne, je préfère encore ce film aux fausses comédies chiantes et sans saveur.
Insupportable, inssaisissable, démodé. Les adjectifs pour décrire ce deuxième volet sont nombreux et pas avantageux du tout. On se croirait dans ces parodies de films cultes, avec un humour encore plus potache, plus lourd, et surtout un problème de cible : le public n'a pas dû rire à toutes les blagues, preuve que Dumb & Dumber a mal vieilli. Un pari totalement raté !
Dumb and Dumber de est la suite logique du premier volet datant de vingt ans. Non seulement, on retrouve les personnages du premier volet mais apparemment on retrouve également le scénario du premier car certains gags se répètent entre les deux films, en plus du fait que la construction soit identique entre les deux volets. C’est la présence de Jim Carrey et de Jeff Daniel qui permet d’apporter de l’énergie au film, d’autant plus que celui-ci repose énormément sur eux. Les Frères Farrelly au fond du gouffre depuis un long moment retrouvent un peu de lumière certainement pour un court moment.
Une déception : Un film parfois drôle mais souvent lourdingue avec des gags sentant le réchauffé car largement inspirés du premier opus. Du coup le film laisse un sentiment de frustration , tant les frères Farelly ont peine à se renouveler et à proposer une œuvre novatrice. Mêmes les principaux protagonistes paraissent peu inspirés c'est pour dire. Certains gags font mouche, mais le film est loin d'être à la hauteur des attentes. Dommage.
Clairement en dessous de son aîné, cette suite une vingtaine d'années plus tard enchaine les gags loufoques, les blagues lourdingues et les situations saugrenues tout en ayant du mal à nous décrocher le moindre sourire. Les acteurs ont vieilli, leur humour aussi et le tout ne fonctionne plus comme dans les années 90. Dumb et Dumber De tombe à plat du début à la fin...
une joie de retrouvé dumb and dumber. Un film bien débile dans le bon sans du terme. un rigole bien, a voir
film lent, pas toujours drôle, le début est très lent, j'ai failli quitter la salle d'ennui. A partir du milieu du film, on sent enfin un élan de comédie légère plutôt agréable. Jim Carrey semble être en petite forme et malheureusement cela se ressent sur le film. Une suite bien inutile ma fois, mais on aurait pu sen douter.
Opus oscillant entre la gênance la plus inconfortable et de francs éclats de rire, en reprenant quelques illustres éléments de son similaire aïeul, le tout au long d'une trame potable. Débile à souhait, comme attendu !
spoiler:
Dans la lignée du 1er opus,
l'effet de surprise en moins. On s'attache tout de même par de rares moment à la comédie lourdingue des Farrelly.
l'effet de surprise en moins. On s'attache tout de même par de rares moment à la comédie lourdingue des Farrelly.
J'avoue avoir été plié de rire pas mal de fois, par contre le scénario est vraiment sans intérêt. Le film est à mater pour le duo de compères qui sont absolument débiles, et on en redemande !
c'est pas ce que j'ai pas aime le film, y'a des gags et des vannes bien lourdes et potache comme je les aimes, mais après c'est aussi efficace qu'un sceau sans fond et ça devient énervant vers la fin. Jim carrey illustre bien ce défaut tant il m'a énerve, heureusement que Jeff Daniels était là pour tout rattraper.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Les frères Farrelly auront tout de même mis 20 ans pour se décider à remettre le couvert. Certes, l'enthousiasme est bien là, mais on sait pertinemment que c'est une erreur de vouloir relancer sur le tard des grands classiques qui ont marqué leur époque, comme l'ont fait Patrice Leconte avec Les Bronzés, ou Jean-Marie Poiré avec Les Visiteurs. La spontanéité s'estompe avec les années, et les acteurs n'y croient plus de la même manière. On sent davantage le surjeu et le parti pris du gag forcé. Jim Carrey et Jeff Daniels, bien que flétris, endossent toujours à merveille ces costumes de grands gamins immatures avec autant de motivation à exploiter le comique scatophage et la bouffonnerie de haute voltige. Un scénario qui ne vole pas haut, et qui tend même à revisiter les moments phares du premier film, sortit en 94. Qu'est ce qu'on avait pu se marrer devant ces deux débiles, à se rouler par terre. Mais ce retour pas franchement attendu déçois inévitablement. Quelques bonnes répliques, des situations purement atypiques qui n'arrivent qu'à Harry et Lloyd, mais le défouloir s'arrête là. Inutile de s'étendre sur le prétexte bien désuet de retrouver l'enfant de l'un ou de l'autre, conçu moultes années en arrière, pour une greffe de rein. C'est un peu léger, mais indiscutablement, ces deux bobines ne laissent pas indifférent. Un paradoxe de nostalgie dans l'air du temps. 3,5/5
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