Mon compte
    Le Capital
    Note moyenne
    2,3
    1616 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Capital ?

    338 critiques spectateurs

    5
    21 critiques
    4
    56 critiques
    3
    94 critiques
    2
    92 critiques
    1
    43 critiques
    0
    32 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Gardienne de la Galaxie 1975
    Gardienne de la Galaxie 1975

    24 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2012
    Laissons à Gad le loisir de nous distraire sur ce pamphlet acide sur la capitalisme basé sur l'oeuvre originale de Stéphane Osmont. Non ce film n'est pas un film de Gad Elmaleh VO1. Les humoristes tels que Bourvil ou Kad nous ont livrés des performances dramatiques hors du commun, il s'avère que l'on fait plus difficilement rire que pleurer, Gad a raison de croire en lui et de s'émanciper je trouve. N'en déplaise à VO1. Il a beaucoup bossé pour faire rire, son argent il l'a durement gagné depuis le début, aujourd'hui il a le droit d'être récompensé de ses efforts et de son talent. Merci !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    Pas le meilleur Costa Gavras. On est bien loin de films comme "l'aveu" ou "Amen". Le thème est rebattu : des vilains banquiers sans cœur et sans morale. Le propos reste superficiel. On s'arrête à un simple constat.
    Le choix de Gad à contre emploi est bien pensé. Mais à aucun moment on n'arrive à croire à son rôle de méchant. Au final, un film assez décevant.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Avec un titre pareil, placé sous le patronage du grand Karl, il faut assurer... Stéphane Osmont, l'auteur du livre éponyme qui a inspiré ce film, y est allé sans complexe. Costa-Gavras aussi. Sans complexe, mais avec l'artillerie lourde. Même si la démarche de critiquer le système financier international, avec ses spéculations, son amoralité, sa déconnexion de la vraie vie des gens, est louable, complexe donc intéressante, et même si le film n'est pas mal emballé, sur le mode du roman d'apprentissage, on a quand même droit à une belle brochette de clichés. À commencer par le portrait du personnage principal, un arriviste-opportuniste qui ne rêve que d'argent, de pouvoir et d'une top-model qu'il aimerait "posséder". Le monde de la finance est évidemment cynique, sans foi ni loi. Surtout du côté américain, où les businessmen ne reculent devant aucun coup bas, depuis leur yacht où se prélassent des bimbos en maillot de bain. Bon, ok, tout cela est peut-être en partie juste, mais le regard de Costa-Gavras ne nous propose rien de bien nouveau sous le soleil. C'est un peu dommage car il y avait de la matière et quelques bonnes idées de mise en scène, qui auraient pu faire mouche si elles avaient été plus développées : par exemple, quand le réalisateur nous propose des flashs de ce qu'auraient pu être les réactions du personnage central s'il s'était vraiment écouté. Mais on a l'impression que Costa-Gavras n'a pas forcément trouvé la bonne distance avec ce Marc Tourneuil dont on suit les aventures avec une certaine curiosité. On est à la fois dans une forme de complicité (le personnage s'adresse parfois à la caméra, donc à nous) et dans une condamnation. À ce titre, le choix de Gad Elmaleh dans un parfait contre-emploi participe de cette ambiguïté, car l'acteur force un minimum la sympathie... En matière de casting, Costa-Gavras nous refait d'ailleurs le coup de Missing, où il avait donné à Jack Lemmon, habitué aux comédies, un rôle sombre. Mais cela passait mieux dans ce film à la tonalité bien déterminée, réaliste et tragique. Ici, dans La Capital, ce qui pêche le plus, c'est peut-être le manque de détermination de la tonalité, cette valse-hésitation entre réalisme et satire. On ne sait pas bien sur quel pied danser, et ni l'une ni l'autre des pistes ne paraît vraiment aboutie.
    Pour info, l'expression "Robin des Bois moderne", ainsi que la phrase "Nous allons prendre aux pauvres pour donner aux riches" ont semble-t-il été empruntées à un discours de Barack Obama se moquant de la philosophie de son concurrent à la présidentielle 2012, Mitt Romney.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    la finance c est déjà très pénible comme sujet. Costa-machin depuis sa maison de retraite arrive à en tirer un film d une lourdinguerie inconcevable. autant dire que le respect du spectateur est aux oubliettes, elmaleh tout en devenant toujours meilleur acteur en choisit pour autant des rôles qui programme nt surement sa dégringolade d acteur avant celle d humoriste. seul bémol, ce film est un excellent somnifère pour les détraqués du sommeil. en clair, j ai roupillé les 4/5e de cette maudite séance. me voilà reposé. quand on vous dit que la finance est hypnotique. Costa en est définitivement un ardent défenseur. promulguons une loi pour lui interdire tout film à l avenir. laissons le enfin trépasser en paix avec sa prétendue âme. sic !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2012
    Tellement caricatural que ç'en devient ridicule - les gens riaient dans la salle. Et pourtant, je n'éprouve pas une sympathie particulière pour les banquiers, c'est le moins que l'on puisse dire...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2012
    Le Capital est un film inégal et moralisateur. Quand ça fonctionne, ça fonctionne vraiment. Mais le reste du temps on voit les ficelles grossières cousues par Costa Gavras soucieux de nous pointer du doigt les méchants de l'histoire. Et les méchants de l'histoire sont tous les personnages, sauf 2 (peut-être).
    Gad Elmaleh convainc vraiment dans ce rôle de banquier aux dents longues, surtout lorsque le scénario lui donne quelque chose à "becqueter". Le récit de son ascension au début du film est vraiment réussi et entraînant, et l'élaboration d'un plan financier diabolique vers la fin sont deux moments vraiment jouissifs et admirablement racontés et mis en scène.
    Costa Gavras utilise un parti pris intéressant mais qui parfois arrive comme un cheveu sur la soupe : un son anxiogène nous alerte qu'on passe dans un fantasme dans lequel Gad Elmaleh "pète un câble" et frappe quelqu'un, ou vire quelqu'un, ou pousse une gueulante... Et puis on revient dans la réalité. L'idée est bonne, et souvent le rendu est également entraînant, amusant et "jouissif". Mais narrativement parlant ça ne semble pas servir le film à 100%. L'intrigue parallèle de l'obsession du banquier pour une Top Model est carrément lourdingue car vraiment trop appuyée. Gad Elmaleh se retourne 10 fois sur elle et se déconcentre complètement lorsqu'il parle à des gens (pourtant) importants parce qu'il la voit... C'est du déjà-vu, et ça n'apporte pas grand chose à l'histoire...
    La galerie de personnages avides et machiavéliques (Bernard Lecoq et Gabriel Byrne en tête) est vraiment réussie par contre. Et "le" personnage bon du film (si on met de côté la femme de Gad Elmaleh) interprétée par Céline Sallette est également très intéressant. Mais Costa Gavras tue ce personnage en même temps qu'il tue celui de Gad Elmaleh vers la fin du film lorsqu'il invoque un discours "anti-rêveur" et "pro-Capital". Au final, on comprend de quel côté il est, et on comprend le pessimisme qu'il exprime en bouclant la boucle dans un sentiment d'insatisfaction (de ma part, en tout cas).

    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/11/le-capital.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 octobre 2012
    Le scénario est tiré d’un livre homonyme, Le Capital, écrit sous pseudonyme par un énarque caustique, Stéphane Osmont. Clin d’oeil à Marx, tout à l’intérieur de l’ouvrage tourne autour du pouvoir de l’argent. Le conseiller (Gad Elmaleh) du président (Daniel Mesguisch) de la grande banque d’investissement Phénix, est nommée C.E.O. à la place de son patron quand un AVC prive ce dernier de certaines capacités.
    Le motif du film s’effiloche rapidement et la déception croit à mesure que l’histoire se déroule. Le film collectionne tellement d’invraisemblances de caractères et de défauts de structures qu’on en vient très vite à regretter Margin Call, remarquable film sur un sujet similaire. La distribution est inconstante et le rôle principal mal tenu. La démonstration sur le pouvoir de l’argent et l’attraction que celui-ci représente est extrêmement caricaturale. Tous les personnages sont au mieux manichéens et le plus souvent grotesques tant leurs traits sont grossiers.
    La salle était pleine d’amoureux de Costa Gavras, mais malgré leur admiration et le verre de champagne à la sortie, les commentaires n’étaient pas très élogieux. Du “film de trop” au “si seulement il avait eu un scénario”, on entendait surtout des commentaires navrés. Les premiers films de Costa Gavras nous incitaient à la résistance et à l’action pour un monde meilleur. Celui-ci nous fait comprendre qu’il n’y a rien à faire, que nous sommes aux mains de gens qui jouent entre eux à un jeu auquel nous ne pouvons participer quels que soient nos efforts. Jeu mortel pour nous et, finalement, pour eux aussi, celui-ci nous laisse dans l’attente désespérée que “tout pète”, mot final énoncé par ce cynique C.E.O. dans la dernière image de ce film décevant. Triste.
    La critique est sur Franglaisreview: http://franglaisreview.com/2012/09/24/le-capital/
    Lionel-g
    Lionel-g

    2 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2012
    si on avait des doutes sur la nature des banquiers, costa gavras nous en décrit la vraie nature. un peu trop technique, mais gad se révèle trés crédible dans le rôle.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top