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Un visiteur
1,5
Publiée le 14 juillet 2016
Un film raté, sensé dénoncé les dérives du monde de la finance, c'est caricatural et mal joué, à commencé par Gal Elmaleh très mauvais, décidément les banques ne lui réussissent pas.
Un film militant de plus dans la filmographie de Costa-Gavras, peut-être pas le plus habile mais très dense et bien documenté. Le réalisateur parvient à tenir la distance et maintenir l'intérêt du spectateur jusqu'au bout, jouant sur de subtils rebondissements. Tout n'est pas parfait ni d'une cohérence totale, mais le casting est brillant (Gad Elmaleh au premier chef), le scénario développe quelques fulgurances acerbes bien exploitées par une mise en scène efficace.
Prévisible au possible, le Capital montre un côté plutôt sombre du monde de la finance. En acteur principal, Gad Elmaleh fait une bonne performance, toutefois sans faire d'éclats. Bref, un film prévisible, au scénario pas toujours passionnant.
J'ai énormément apprécié ce film qui n'est destiné, à mon avis, qu'à des gens qui cherchent les travers du monde de la finance en général et de l'économie. Gad Elmaleh campe un personnage détestable dont l'on suit la vie (trépidante) avec grand intérêt, parce qu'il fait partie des décideurs de ce monde. Président d'une grande banque aux ramifications internationales, il sera mis à rude épreuve... L'on peut voir cette histoire comme celle d'un squale qui risque d'être dévoré par un mégalodon. Je ne sais pas si ce film est représentatif du milieu de la finance qui est décrit ici avec un grand cynisme, mais cela demeure très intéressant d'un point de vue psychologique et sociologique.
un film intéressant sur le monde de la finance mais dont le scénario manque un peu de consistance. Gad Elmaleh n'est pas hyper convaincant dans son rôle. Se laisse regarder.
Un film absolument magnifique de réalisme où beaucoup de vérités sur le monde de la finance sont impitoyablement révélées. On y voit les manipulations les plus cyniques du plus haut au plus bas échelon de la société humaine. Les dialogues sont géniaux. L'interprétation est parfaite. Le scénario est dynamique et très bien rythmé. Malheureusement, il est clair que ce chef d’œuvre n'est pas à la portée de tous et que les amateurs de téléréalité et autres émissions de seconde zone seront déçus. Il n'y a pas d'échanges de coups de feu et Gad Elmaleh ne fait pas le guignol. (Pour autant, il interprète ici son personnage d'une façon extraordinaire.)
Malheureusement, la qualité des films de Costa-Gavras décroit. Pour ne citer que les 3 derniers : j’avais adoré « Le Couperet » (2005), j’avais beaucoup aimé « Eden à l’Ouest » (2009) et « Le Capital » m’a beaucoup moins plu. Certaines ficelles sont très grosses, voire certains faits hautement improbables et la digression sur le mannequin-prostituée est de trop. Mais, il y a un côté cynique hautement réjouissant et quelques rouages de la vie au sommet de l’entreprise très clairement expliqués. Je suis assez clément avec ce film car mes deux précédentes expériences cinématographiques de spectateur dans le monde de la Finance (« Margin Call » cette année et « Krach » il y a deux ans) m’avaient laissé un souvenir moins plaisant.
Costa-Gavras s'attaque au monde de la finance, avec ce thriller dans lequel un PDG français est aux prises avec des actionnaires corrompus, et des Américains voraces. L'intention est noble, et le film fait preuve d'une certaine pédagogie pour aborder l'univers des banques. Cependant, la pédagogie dérive parfois vers la simplicité, notamment avec des personnages très manichéens. Si bien que la critique du réalisateur s'apparente plus à de l'enfonçage de portes ouvertes, d'autant plus que l'intrigue demeure basique. Néanmoins, on y trouve de bons acteurs (Gabriel Byrne en requin sans état d'âme, Gad Elmaleh à contre-emploi en patron froid et dur), et une mise en scène sobre et efficace. On quand même connu Costa-Gavras largement plus en forme.
Ce film n'est pas capital en soi mais c'est un bon film j'ai trouvé. Gad Elmaleh y est magistral dans ce rôle à contre-emploi. Les acteurs secondaires sont eux aussi très bons. L'histoire est simple, facile à suivre, on n'est pas pris dans des conversations techniques impossible à suivre, les conversation sont d'ailleurs très brèves (ordre et obéissance au grand patron !), mais cette histoire tient la route, ça semble si évident que c'est le genre de scénario qui se passe sous nos yeux tous les jours de l'année ou presque.
Un film à la Costa Gavras, c’est à dire avec un fort message politique. Hélas à trop vouloir mettre le message en avant, le film en temps qu’ objet de cinéma en pâtit et le procès du capitalisme est un peu grotesque par moments et outrancier. La nuance permet au spectateur de penser et de garder son libre arbitre au lieu de penser à sa place et de l’enfermer dans une idéologie servie sur un plateau de façon caricaturale. Il reste l’excellent jeu de Gad Elmaleh dans un registre inattendu.
"L'argent, c'est tout!" Phrase de Tourneuil(Gad Elmaleh) qui résume le principal à retenir de ce film que je n'ai pas trouvé aussi dégeu que ça, notamment Gad Elmaleh justement, qui n'est ni ridicule, ni hors sujet. Il est peut-être un poil trop dans la caricature, il en fait un poil trop mais il est malgré tout, convaincant avec son air froid et déterminé. Il en fait beaucoup parce que le personnage que met en scène Costa Gavras, dont j'attendais quand même mieux et plus objectif ( as t il eu des soucis avec son banquier pour les dégommer de cette façon???). en effet, Costa Gavras n'y va pas avec le dos de la cuillère et c'est le principal défaut du film je dirai puisqu'il n'y aucun attachement possible à l'un ou l'autre des personnages, tous véreux et corrompus ( la dernière scène enfonce le clou!) Je suis pas dans le domaine alors je n'ai pas bien saisi le plan qu'élabore Tourneuil pour sauver sa tête mais j'en ai compris les grandes lignes et le film est passé vite malgré tout. Un film dispensable donc puisque pas vraiment objectif, il nous donne juste le point de vue du cinéaste sur ce monde mystérieux dont il ne vaut mieux pas tout savoir je crois!!!
C'est typiquement le genre de film où pour tout comprendre il faut avoir un Bac 5 en finance et en économie. Malgré tout on arrive à comprendre l'essentiel de l'histoire où tout ce que l'on voit ce sont des dialogues entre des hommes en costards. Mais je me suis laissé tenter par le fait que ce soit Gad Elmaleh le personnage principal. Bonne pioche ! Gad joue son rôle parfaitement, lui qui en plus porte bien le costume, a de l'assurance et a l'accent quand il parle anglais. Le film nous montre la vie d'un cadre devenu président d'une des plus grandes banques européennes. On y voit l'évolution du personnage de Gad qui devient totalement obnubilé par le pouvoir et l'argent, et qui perd toute morale et conscience. Loin d'être exceptionnel, ce film se laisse regarder, en nous prouvant que l'argent rend fou et que Gad Elmaleh est un bon comédien hors comédie.
Un film pas très bien réalisé mais bien écrit, qui traite son sujet avec intelligence et Gad Elmaleh joue bien pour une fois même s'il me semble un choix curieux (tout comme d'autres membres du casting, mis à part Gabriel Byrne). Le film souffre surtout de longueurs et d'un côté caricatural trop présent.
On y croit tout simplement pas (les acteurs, le scénario etc.)! Habituellement, une fois exploité au cinéma, les films se retrouvent quelques années après sur le petit écran. Dans ce cas, je pense que, passer uniquement par la case "petit écran" aurait suffit! Pour finir, je reprendrai les mots de l'internaute Antoine T. "Costa-Grava aurait-il oublier ce qu'était le cinéma?
Un très bon gad elmaleh froid à contre courant de ses précédents rôles, dans les rouages politicos financiers certes un peu compliqué à suivre mais très réaliste.