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Un visiteur
3,5
Publiée le 20 novembre 2012
Bonnne prestation de GAD, et de l'ensemble du castinq : les excellents Bernard LE COCQ et Hyppolite GIRARDOT. Le sujet de la finance avec ses méandres et son cynisme est bien traité et à la portée de tout le monde. Le mécanisme tentaculaire et implacable des marchés est non seulement réaliste mais encore en dessous de la réalité !!!! Dormez tranquilles bonnes gens, les politiciens qui nous gouvernent sont à leurs bottes !!!!
Le même mercredi, 14 novembre 2012, le cinéma français nous a proposé 2 films dont les sujets sont alléchants tout en étant aux antipodes l'un de l'autre : dans "Après mai", la jeunesse gauchiste du début des années 70; dans "Le Capital", le monde de la banque, le monde du fric qui, un peu partout dans le monde, a pris le pouvoir et mène les politiques par le bout du nez. Dans les 2 cas, malheureusement, c'est raté ! Pas pour les mêmes raisons : "Après mai" est torpillé par le jeu des (pseudo) comédiens et l'absence de vie et de peps qui en ressort alors que ce fut la période la plus joyeuse de l'histoire de la jeunesse; "Le Capital" est torpillé par le choix d'une représentation caricaturale du sujet traité. Résultat : la dénonciation du monde du fric qui était probablement recherchée par le réalisateur tombe complètement à l'eau , dans la mesure où on n'arrive pas du tout à croire ce qu'on nous montre alors que la réalité est peut-être encore pire. Le rapprochement de "Après mai" et de "le Capital" permet 2 réflexions : on se désole de constater que les luttes et les analyses politiques des années 70 ont fini par donner naissance au monde que l'on connait aujourd'hui; on s'amuse à constater que, dans les 2 films, les hommes, même au plus haut niveau de pouvoir, se laissent mener par le bout du nez (ou plutôt par le bout d'autre chose !) dès lors qu'ils flashent sur une personne de l'autre sexe.
Images soignées, éclairages recherchés, mise en scène efficace. Pas de doute, nous sommes bien dans un film d'un grand réalisateur. (point) Le reste n'est qu'anecdotes sexuelles et financières de base. on observe ce monde cruel et inconnu, pour le profane que je suis, sans grand intérêt parce inutile. Wall Street de O Stone avait quand même un peu plus de gueule en termes de cynisme et de cruauté; IL Y AVAIT UNE BONNE HISTOIRE.
Gravas nous sert, là, une soupe tiède presque sans gout. Industrielle en somme, emballée soigneusement pour plaire, et être compris par le plus grand nombre. RV dimanche soir à la télé!
Entre un scénario ne tenant pas debout et des jeux d'acteurs à peine convaincant, sans parler d'un rythme très irrégulier, Le Capital est une vraie déception en cette fin d'année 2012
le gros plus de ce film, c'est qu'il nous montre comment ça se passe à l'interieur d'une grosse banque, et comment des gens sans scrupules, se servent de leurs positions pour se faire encore plus d'argent, sans se soucier de leurs employés. ces gens ne pensent, respirent, mangent, vivent que pour l'argent. ils n'en ont jamais assez. on pense à une maladie mentale obsessionnelle. un peu comme les politiques. d'ailleurs, ces deux mondes, sont étroitement liés, c'est également bien présenté dans le film. et non, la banque n'est pas un milieu éthique! bon, ça, n'importe qui avec un compte le sait déjà ^^ mention spéciale aux acteurs, tous excellents (Gad Elmaleh en tête), ils ont bien bossé, même si le reste est assez anecdotique.
Rien à redire sur la prestation de Gad. Sobre et copiée sur celle de L'Hermite dans "ma part du gâteau". Par contre, le film enfonce des portes ouvertes, survol un sujet pourtant fourni et caricature l'ensemble en manquant de punch. Certes, les banquiers sont des êtres nuisibles. Mais les politiques le sont davantage parce qu'ils pillent les institutions et le peuple pour maintenir les nuisibles. Et de cela, Costa Gavras n'en a pas parlé. La fin nous laisse mi-figue mi-raisin. Premier chakra: sexe, argent, pouvoir... C'est infantile, pipi-caca, freudien, whatever... mais insuffisant.
Costa-Gavras a réalisé trop de chefs d’œuvre pour que Le Capital retienne très longtemps l'attention, quand bien même le style demeure. Car le thème choisi, pour... capital qu'il soit, n'aurait pas dû se résoudre à enfoncer grossièrement les portes grand ouvertes de l'amoralité des banques. Dans nos sociétés, le fric pue depuis quelques siècles, c'est dénoncé par la plupart, les mêmes qui courent après chaque jour qui passe ! Pas de révélation ni d'analyse donc, dans ce film strictement narratif d'un état de fait aussi reconnu que condamnable. Gad Elmaleh, qu'il convient d'abstraire de ses rôles traditionnels pour l'apprécier ici, apporte avec le rôle principal le seul piment au film, dans la peau du salop-vertueux qu'on ne doit pourtant pas rencontrer souvent chez nos banquiers dirigeants ! Bref, Le capital n'est pas génial mais se laisse regarder, et on en a malgré tout pour son argent...
Plutôt pas mal, triste réalité du monde des finances, des banques et des mafieux manipulateurs. Grand rôle pour Gad Elmaleh et je trouve qu'il s'en sort plutôt bien mais si on remarque parfois quelles faiblesses dans l'ensemble ça reste pas mal pour lui, certain autres personnages du film sont inutile et rende le film plus compliqué et on s'y perd parfois avec tous les noms. Cependant quand on sort de ce film on a l'impression de sortir d'un cours d'éco tellement les notions fusionnent durant tout le film. La fin est superbe a mon gout.
C’est un film qui ne parle que de gros sous, de bourse et de manipulation mais qui est vraiment bien fait !!! Mention spécial pour Gad Elmaleh qui nous montre une autre facette de son jeux d’acteur qui la pour l’occasion n’est pas du tout mais alors pas du tout drôle !! Mais il est très impressionnant je trouve !! Peut-être une petite récompense qui c’est !! Le coq aussi que l’on voie de plus en plus au cinéma est très bien dans ce rôle Un film très intéressant avec un Gad parfait dans ce rôle Ma note : 15.5/20
Gravas ne fait jamais dans la demi-mesure pour tenter de convaincre dans ses films à petit budget. A trop charger la mule, on décroche rapidement. Certains interprètes dont Girardot et Lecoq tirent leur épingle du jeu quant à Gad Elmalhe, il est hélas toujours aussi mauvais. Pas fait pour le cinéma. Ah si pardon, ses meilleurs rôles restent la présentation des Césars ou la doublure des dessins animés.
Film moyen sur les méthodes du monde de la finance. Après un début prometteur, le film s'enlise, la faute notamment aux scènes avec la call girl qui semblent n'avoir comme but que d'allonger la durée du film. Gad fait le travail, je le trouve plutôt bon dans un rôlr sérieux.
Pas mal malgres un choix d'acteur principal etonnant , certains personnages feminin qui n'apporte rien au film et une critique du systeme bancaire pas toujours credible, la verite est bien pire...
Très bon film de Costa-Covras avec Gad Elmaleh totalement à contre-emploi. Habitué aux comédies légères et aux rôles pleins de bonhommie, il campe ici un PDG cynique et arriviste. Une satire de la finance mondiale un rien exagérée par moments (en particulier, à la fin) mais qui sonne très juste.
Le capital dénonce le système bancaire et ses dérives. Un sujet déjà très souvent exploité et n’apportant aucunes informations nouvelles. On n’apprend rien dans ce long métrage. Le capital se veut un film cynique. Et puis, le scénario tortueux nous perd, malgré la tension que le réalisateur installe tout au long du film. Certaines situations sont inutiles et on se demande ce qu’elles apportent (notamment les scènes avec la prostituée ??) Cela amène juste une confusion. De toute façon, le sujet est survolé, le propos est naïf, et le tout est caricatural !
Le capital est aussi le premier rôle « sérieux » de Gad Elmaleh, un peu coincé, un peu droit comme un i. Le reste du casting est de bonne qualité, Bernard Lecoq, Hyppolite Girardot, Daniel Mesguich…..
A vous de voir … mais si vous n’avez qu’un seul film à voir, évitez celui ci