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    Le Capital
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    338 critiques spectateurs

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    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2016
    Costa-Gavras s'attaque au monde de la finance, avec ce thriller dans lequel un PDG français est aux prises avec des actionnaires corrompus, et des Américains voraces. L'intention est noble, et le film fait preuve d'une certaine pédagogie pour aborder l'univers des banques. Cependant, la pédagogie dérive parfois vers la simplicité, notamment avec des personnages très manichéens. Si bien que la critique du réalisateur s'apparente plus à de l'enfonçage de portes ouvertes, d'autant plus que l'intrigue demeure basique. Néanmoins, on y trouve de bons acteurs (Gabriel Byrne en requin sans état d'âme, Gad Elmaleh à contre-emploi en patron froid et dur), et une mise en scène sobre et efficace. On quand même connu Costa-Gavras largement plus en forme.
    this is my movies
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    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    Costa-Gavras est assurément l'un des réalisateurs les plus important de notre époque et son cinéma militant ne se contente pas d'un discours engagé mais il se double d'une mise en scène percutante et maîtrisée. Malheureusement, il se prend les pieds dans le tapis avec une critique trop facile et superficielle de notre monde moderne, bien moins étudiée et complexe que dans "Le couperet". Il réitère d'ailleurs son choix de placer un acteur comique dans un rôle dramatique car il faut bien trouver des financements pour un tel film. Si G. Elmaleh n'est pas mauvais, il n'a clairement pas la carrure pour un tel rôle. Dans beaucoup de ses scènes, on ressent trop ses efforts pour se mettre au niveau, entourer en plus de monstres de l'interprétation. Le script se révèle convenu et trop didactique et le montage enchaîne les scènes à un rythme effréné, ce qui fait qu'on ne voit pas le temps passer. C'est virulent bien sûr, parfois un peu complexe et d'une cruauté assez inouïe mais ça sent le travail bâclé. Vraiment dommage. D'autres films sur
    hubertselby
    hubertselby

    68 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Film froid qui dépeint la haute finance, Gad adopte une position d'acteur monolithique tout le long du film, ok on veut que son perso soit froid et implacable comme le monde dans lequel il évolue mais il peut mieux faire... mais le pire ce sont les apartés,certes ils sont brefs et peu nombreux mais ça gâche le film, ça lui donne un côté BD grand-guignolesque et c'est dommage.
    Les requins s'entre dévorent et ne laisse pas de miettes, les salariés n'existent pas, c'est normal on nous fait évoluer dans de sphères trop hautes et l'histoire spoiler: de fesse avec le mannequin
    n'apporte rien.
    Je suis très heureux de retrouver Natacha Régnier hormis cela...
    On en sort en ayant la haine de tout de monde là, mais avait-on besoin de ce dernier pour l'avoir ?
    Christine G
    Christine G

    17 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2012
    je pense qu'au moins ce film a le mérite de montrer de quoi nous sommes entourés et des conséquences que nous supportons tous dans notre vie de tous les jours de tous les requins tant de la finance que de la politique
    je pense que peu de gens ignorent tout ce systéme et il est au moins pour une fois mis en évidence!!
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 novembre 2012
    De pire en pire ! Après le mitigé "Amen" et les décevants "Le couperet" et "Eden à l’ouest", Costa Gavras nous prouve avec ce lamentable "Le capital" qu’il n’a plus sa verve contestataire de la grande époque de "Z" et "L’aveu". En adaptant le roman de Stéphane Osmont, pourtant réputé pour son analyse clairvoyante et néfaste du système financier, le cinéaste avait matière à réaliser une excellente charge sociale, mais son traitement sans profondeur du sujet, la narration répétitive, la multiplication des clichés les plus grossiers et le jeu morne de Gad Elmaleh sont autant de poids empêchant au film de trouver son efficacité protestataire. Aucun intérêt donc à suivre cette petite intrigue financière aussi naïve que mal fagotée.
    Alain D.
    Alain D.

    584 abonnés 3 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2019
    Un Thriller osé De Costa-Gavras ne s'adressant pas à tous les publics, tant le sujet du "Capital" et des marchés financier est peu ragoutant et rarement affronté au cinéma. Costa-Gavras dénonce courageusement la guerre des banques, le capitalisme sauvage, le gout de l'argent dans un milieu de requins sans scrupules que sont certains magnats de la finance avides de stock options.
    Le film nous propose des dialogues et des scènes savoureuses comme le repas de familial ou le speech devant la "famille" des actionnaires. La distribution nous offre de jolis seconds rôles avec Hippolyte Girardot, Daniel Mesguich, ou Philippe Duclos dans le rôle du policier retraité. Au premier plan, et tout à fait crédible dans un registre inattendu, Gad Elmaleh porte véritablement le film.
    Thierry M
    Thierry M

    159 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    Bon film avec un Gad Elmaleh jamais vu aussi bon. Histoire qui donnent froid dans le dos.
    laurence l
    laurence l

    136 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 novembre 2012
    Pas mal pour l'interprétation de Gad Elmaleh mais que ressort-on de ce film à part une démonstration de cet univers de requin où tous est bon pour le POUVOIR, le profit en tous genre.
    La morale il n'y en a pas vérité ou fantasme ?
    Par contre l'ennui est présent devant ce film ou on a du mal à apprécier les personnages.
    La personne qui était présente à mes côté à éprouvé la même chose
    Oriwa
    Oriwa

    63 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2013
    Manipulations... En fait je dirai juste "merci Canal +" pour avoir eu presque deux jours tout en clair : regarder un film un samedi soir c'était plutôt cool !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 novembre 2012
    C'est la crise ma bonne dame. Une crise internationalisée, qui frappe sans répit l'honnête travailleur, pour mieux engraisser des contingents entiers de banquiers anglo-saxons qui vivent à Miami sur des yachts entourés de call-girls de luxe, à brasser leurs millions et à préparer leur prochaine attaque nucléaire sur le contraignant modèle social européen. Heureusement, il reste le capitalisme "à la française", fait de jeux de pouvoirs, d'intrigues de palais, de consanguinité et de réunions au sommet chez Papa. De débonnaires patrons un peu cyniques, mais pas tellement méchants, qui auraient presque des scrupules à préparer les charrettes de licenciés dans leur hotel particulier à 50 millions d'euros. Non, vous n'êtes pas sur M6 en deuxième partie de soirée, vous êtes dans le nouveau film de Costa-Gavras.

    A part l'excellent documentaire "Inside Job", la crise n'avait pas franchement inspiré les cinéastes américains ces dernières années. Et depuis le désastre moral et artistique orchestré l'an dernier par Cédric Klapisch, on le sait : la crise économique n'inspire pas franchement non plus les cinéastes français quand ils la regardent sous l'angle bancaire et financier. L'occasion quand même de confirmer le portrait du banquier français vendu au grand Satan : immoral, carriériste, d'une sexualité compulsive (merci DSK...), parfaitement anglophone et incarné par un acteur à contre-emploi. Après Gilles Lelouche, c'est donc Gad Elmaleh qui enfile les costards à dix mille boules, part en voyage avec des mannequins et se lime les dents sur le plancher de sa banque. Quelques semaines après les Seigneurs, le changement est pour le moins brutal. Encore un peu de patience et ce sera au tour Franck Dubosc...(ne riez pas, ça va finir par arriver)

    Le monde économique vu par Costa Gavras est donc simple : il y a les méchants, les très méchants et les très très méchants. Bienvenue dans l'univers de l'analyse et de la nuance, et tant pis si on mélange tout, entre OPA, licenciements boursiers, stocks options et délits d'initiés. Une telle volonté simplificatrice ne passe pas dans un film sur ce sujet, en tous cas pas quand on veut se prendre au sérieux. L'économie niveau CE1 a ses limites, et il ne suffit pas de faire balancer à ses personnages des horreurs capitalistes dans des salles de réunion pour porter un propos politique .Surtout quand, pour équilibrer, on nous fait passer en quatrième vitesse une femme et une famille "humaines", ainsi qu'une employée modèle qui a de gros remords. Manichéisme primaire, que l'on retrouve dans tous les personnages d'un grand cirque qui manque cruellement de charme... et de surprises.
    Sans être spécialement mauvais, Gad Elmaleh ne parvient pas à sauver une entreprise qui aura au moins le mérite de rappeler que Gabriel Byrne est toujours vivant (même si c'est humainement et pas artistiquement)

    C'aurait pu être une blague, quelque chose de grotesque, une gigantesque farce, à force de clichés, de poncifs, de scènes expéditives et parfois totalement surréalistes.(si vous vous demandiez comment piéger en trois minutes montre en main les plus grands rapaces du capitalisme anglo-saxon avec un Blackberry et une clé USB, vous allez être servis). Mais le film persiste à se prendre au sérieux et se plombe tout seul.
    C'aurait pu être un autre film, celui d'un "Insider" qui renverse le monde cloisonné du capitalisme français. Mais tout le monde est trop occupé à dézinguer du banquier pur porter une telle ambition.
    Ou alors c'aurait pu être un film à suspense sur la faiblesse humaine, vue à travers le scope hyper documenté d'un réalisateur brillant. Mais ce film existe déjà, il est sorti il y a quelques mois, il s'appelle "Margin Call"

    .

    DH84@over-Blog.com
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    très bon film, gad elmaleh est surprenant dans son rôlre
    Rik13
    Rik13

    22 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 décembre 2013
    On a connu Costa-Gavras en bien meilleure forme. Cette charge contre le milieu de la finance se prend beaucoup trop au sérieux et finit par ennuyer sur la longueur. Le réalisateur, pétri de bonnes intentions, a choisi un récit trop aseptisé pour ce qui aurait pu être un pamphlet social à caractère militant, mais qui s'avère être un portrait sans saveur d'un monde de requin sans scrupules. Et quel drole de choix que de donner le rôle principal à Gad Elmaleh, pas très convaincant dans ce registre. Un Costa-Gavras en toute petite forme.
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2013
    Associer Gad Elmaleh à Costa-Gavras équivaut à mettre du Ketchup dans du café.
    Ces deux là n'étaient pas faits pour se rencontrer.
    Gad Elmaleh est le grand problème de ce film.
    Son expérience dans le one-man-show (où il est très doué et a sa place) lui sert à se coller une expression sur le visage pour exprimer une émotion comme quand il campe un personnage sur scène.
    Mais son jeu d'acteur dans "Le capital" sonne continuellement faux.
    Au cinéma, comme Franck Dubosc, il est un comique populaire mais sans relief incapable de sortir de son registre de prédilection.
    Dommage, car cette histoire à la morale désenchantée et un brin cynique méritait un personnage principal autrement mieux interprété.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2018
    Un film mal accueilli, alors même qu'il épingle plutôt efficacement le capitalisme effréné des banques d'aujourd'hui. L'histoire avec le top-model interprété par la belle éthiopienne Liya Kebede sert de métaphore du fameux désir après lequel on ne finit jamais de courir...
    Aspro
    Aspro

    14 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2013
    fillm qui fait reflechir et dont je suis sur ne doit pas erte tres loin de la realite , fait mal au bide tout de meme toute ces combines
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