Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Rendre clair et passionnant le monde de la finance n'était pas chose facile. Pari réussi pourtant pour Gavras et son coscénariste Jean-Claude Grumberg.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Metro
par Mehdi Omaïs
POUR: Costa-Gravas installe un climat et une tension assez délétères pour faire de cette ascension foudroyante un bon moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Humanité
par Jérôme Alexandre Nielsberg
Costa-Gavras livre un pamphlet plutôt convenu sur le système financier, adapté du roman de Stéphane Osmont.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce plaidoyer généreux pourra agacer par son manichéisme, comme les apartés face à la caméra de son héros, un inutile personnage de prostituée de luxe et l'outrance assumée de sa scène finale. (...) Dans son premier rôle dramatique, Gad Elmaleh tire son épingle du jeu au sein d'une distribution soignée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Des péripéties menées à un train d'enfer (...) compressé par un montage agressif. Ce qui ne suffit pas à donner sa cohérence au film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Tout ça manque un peu de nuances, comme d'habitude. Mais on finit par s'y faire....
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Olivier De Bruyn
Brutalement contemporain, "Le Capital", malgré ses maladresses, demeure toutefois souvent réjouissant dans sa description féroce d'un univers sans foi ni loi.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par François Forestier
Comme "Z", "l'Aveu" ou "Missing", le film est né de la réalité, et Costa s'amuse à reprendre le titre de Marx : "le Capital" est, ici, une fable effrayante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Alexis Gilliat
Costa-Gavras tombe dans le piège qu'il s'était tendu, et n'échappe à l'enlisement que parce qu'ayant du métier, il sait introduire le mouvement dans une démonstration. Sans le brio et l'éloquence d'autrefois.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Vision un rien naïve peut-être mais généreuse sur les dégâts provoqués par le capitalisme sauvage. Dommage qu'il (le film) n'ait pas su contourner le didactisme souvent inhérent à ce genre de démonstrations, s'encombrant de surcroît d'une fumeuse histoire de poule de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
"Le Capital" a les ingrédients d'un bon petit thriller du dimanche soir (...) il se laisse regarder mais manque d'un vrai suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Pas déplaisante à suivre, cette charge contre le capitalisme perd son impact en se maintenant tout du long dans un non-choix entre la caricature et l'analyse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si cette adaptation du "Capital" de Stéphane Osmont vaut pour sa description réaliste des milieux financiers, sa charge politique est tellement lourde qu'elle fait rapidement plouf.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
Tel un ragoût, "Le capital" mélange des ingrédients variés pour remettre au goût du jour la vieille recette de l'indignation vertueuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Que Costa-Gavras, icône du cinéma militant, mette dans sa ligne de mire la finance était alléchant. Hélas, il se contente d'un constat pessimiste rebattu.
Ecran Large
par Sandy Gillet
Si l'on frôle ici régulièrement la catastrophe, on n'évite pas la caricature, le trait grossier, la diatribe vainement distanciée, le style ampoulé au possible. Qu'il est loin le temps de L'aveu, de Z ou même plus récemment de "Amen".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Metro
par Marilyne Letertre
CONTRE: La déception est malheureusement à la hauteur de l'attente.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Transfuge
par Damien Aubel
Louable combat s'il en est, mais les bonnes intentions épicées de colère militante se diluent ici dans un sous-"Wall Street" qui se rêve en tragédie shakespearienne.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Jacques Morice
Rire et malaise : il y avait déjà ça dans "Le Couperet", autre pamphlet social, autrement plus réussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Rendre clair et passionnant le monde de la finance n'était pas chose facile. Pari réussi pourtant pour Gavras et son coscénariste Jean-Claude Grumberg.
Metro
POUR: Costa-Gravas installe un climat et une tension assez délétères pour faire de cette ascension foudroyante un bon moment de cinéma.
L'Humanité
Costa-Gavras livre un pamphlet plutôt convenu sur le système financier, adapté du roman de Stéphane Osmont.
La Croix
Ce plaidoyer généreux pourra agacer par son manichéisme, comme les apartés face à la caméra de son héros, un inutile personnage de prostituée de luxe et l'outrance assumée de sa scène finale. (...) Dans son premier rôle dramatique, Gad Elmaleh tire son épingle du jeu au sein d'une distribution soignée.
Le Monde
Des péripéties menées à un train d'enfer (...) compressé par un montage agressif. Ce qui ne suffit pas à donner sa cohérence au film.
Ouest France
Tout ça manque un peu de nuances, comme d'habitude. Mais on finit par s'y faire....
Positif
Brutalement contemporain, "Le Capital", malgré ses maladresses, demeure toutefois souvent réjouissant dans sa description féroce d'un univers sans foi ni loi.
TéléCinéObs
Comme "Z", "l'Aveu" ou "Missing", le film est né de la réalité, et Costa s'amuse à reprendre le titre de Marx : "le Capital" est, ici, une fable effrayante.
Critikat.com
Costa-Gavras tombe dans le piège qu'il s'était tendu, et n'échappe à l'enlisement que parce qu'ayant du métier, il sait introduire le mouvement dans une démonstration. Sans le brio et l'éloquence d'autrefois.
Le Journal du Dimanche
Vision un rien naïve peut-être mais généreuse sur les dégâts provoqués par le capitalisme sauvage. Dommage qu'il (le film) n'ait pas su contourner le didactisme souvent inhérent à ce genre de démonstrations, s'encombrant de surcroît d'une fumeuse histoire de poule de luxe.
Le Parisien
"Le Capital" a les ingrédients d'un bon petit thriller du dimanche soir (...) il se laisse regarder mais manque d'un vrai suspense.
Les Fiches du Cinéma
Pas déplaisante à suivre, cette charge contre le capitalisme perd son impact en se maintenant tout du long dans un non-choix entre la caricature et l'analyse.
Les Inrockuptibles
Si cette adaptation du "Capital" de Stéphane Osmont vaut pour sa description réaliste des milieux financiers, sa charge politique est tellement lourde qu'elle fait rapidement plouf.
Première
Tel un ragoût, "Le capital" mélange des ingrédients variés pour remettre au goût du jour la vieille recette de l'indignation vertueuse.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Que Costa-Gavras, icône du cinéma militant, mette dans sa ligne de mire la finance était alléchant. Hélas, il se contente d'un constat pessimiste rebattu.
Ecran Large
Si l'on frôle ici régulièrement la catastrophe, on n'évite pas la caricature, le trait grossier, la diatribe vainement distanciée, le style ampoulé au possible. Qu'il est loin le temps de L'aveu, de Z ou même plus récemment de "Amen".
Metro
CONTRE: La déception est malheureusement à la hauteur de l'attente.
Transfuge
Louable combat s'il en est, mais les bonnes intentions épicées de colère militante se diluent ici dans un sous-"Wall Street" qui se rêve en tragédie shakespearienne.
Télérama
Rire et malaise : il y avait déjà ça dans "Le Couperet", autre pamphlet social, autrement plus réussi.