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    The Immigrant
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    377 critiques spectateurs

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    halou
    halou

    123 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    James Gray a enchaîné 4 très bons films depuis son commencement sans rien à jeter en choisissant toujours ses acteurs avec justesse et notamment le talentueux Phoenix. Sa nouvelle création dispose encore d'une belle brochette d'acteurs, sa qualité d'image est toujours au point et l'histoire est intéressante d'un point de vue historique mais le tout manque comme ses précédentes œuvres d'une force, d'une intensité qui prend le spectateur aux tripes. D'une grande qualité malgré tout.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2013
    Drame prenant. Marion Cotillard et J. Phoenix très bons dans leur rôle. On ne voit pas le temps passer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    James Gray a présenté ce film à l'institut Lumière à Lyon et quel bon moment... Il pourrait être acteur ! Marion Cotillard j'accroche moyen, Joaquin Phoenix j'adore !!! L'histoire est simple et les désillusions se devinent un peu vite pour ma part, la jeune éva n'a pas de chance, c'est le moins qu'on puisse dire, le rêve américain va tourner court pour elle... Un sentiment à la Lars Von Trier dans ce film, peut être la présence de la religion ? Elle s'enfonce dans une forme d'horreur, de déception en déception, elle fait des choses tout en sachant que c'est mal, mais elle veut atteindre son but... Dans sa descente aux enfers elle entraînera un homme et en "sauvera" un autre, magistral Joaquin Phoenix. La photo sombre et Sépia du film, la bo, la mise en scène permettent l’immersion dans le NY des années 20. Le film est tout en retenu et ne bascule jamais dans le "sortez vos mouchoirs" et pourtant ! Bien moins "profond et touchant" que "Two Lovers" et bien moins "percutant" que "La nuit nous appartient" James Gray réussi un film simple et beau sans prendre trop de risques...
    Julien D
    Julien D

    37 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2013
    Un film digne du 7eme art

    Cinq ans après Two Lovers le réalisateur américain James Gray revient à la réalisation juste après avoir produit cette année Blood Ties de Guillaume Canet, il fait rappel à son acteur fétiche l'excellent Joaquin Phoenix qu'on retrouve au côté de Jeremy Renner et la française Marion Cottilard.

    C'est l'un des meilleurs films de James Gray lui qu'on voit dans chacun de ses films il y a toujours un sujet d'immigration à New-York a croire que ça l'obsède, mais cette fois si c'est diffèrent de ce qui a fait auparavant et tant mieux sinon sa sentirai un peu le réchauffer d'ailleurs ce long métrage et le plus intimiste et sobre comparé à ces anciens films en plus ici c'est la première fois qu'il montre Ellis Island, lieu empreint d'une histoire très forte il a fait une chose remarquable la façon de tout reconstruire il en a fait un chef-d’œuvre la comment il a réglé ces plans c'est vraiment bien travaillé et la représentation des années 20 est bien construit il parle des sujets qui touchent à l'époque notamment de la concurrence du cinéma face au théâtre qui commence à être en déclin à cause de celui-ci et du sujet de la prohibition. de plus de cela ce film possède une distribution prestigieuse c'est la meilleure prestation de Marion Cottilard, car non seulement pour la 1ere fois Gray laisse la place du premier rôle à une femme donc pour les amateurs ça va faire une drôle de surprise et la façon dont elle interprète son personnage est incroyable elle a vraiment bien travaillé la langue polonaise avec ce soupçon d'allemand qu'elle apporte ce qui est tout à fait normal, car son personnage vient de Silésie, une région située entre l'Allemagne et la Pologne (pour cela il faut voir le film en vo) quant à ces expressions qui son digne d'une actrice d'un film muet le metteur en scène la beaucoup mise en avant et il a bien fait, car on a vu un autre talent de l'actrice avec des airs expressifs (pour son rôle elle mérite le prix de l'interprétation je ne comprends pas pourquoi Lea Seydoux la raflé). Et la subtilité d'avoir conçu le personnage de Joaquin Phoenix est époustouflant cet homme qu'on croit bon à la première apparition et qu'au faite il juge que sur l'argent avant tout, même s'il doit y sacrifier les personnes qu'il aime. Cet imposant personnage lui va à ravir il y met toute son ampleur de la fureur d'un homme jaloux pourtant lui devenue puissant grâce à sa troupe de libertine à la french cancan théâtrale de bas de gamme et qui finira tout recroquevillé emportant toute sa déchéance c'est juste énorme. Face à un Jeremy Renner incroyable dans ce film on a peur que son rôle qu'il a tenu dans les vengeurs lui soit calqué dieu heureusement non car son personnage qui est perçu par Joaquin un vrai goujat à cause d'une jalousie et qu'au faite il est cet homme pacifique Americain Hursle.
    Quand a la bande sonore dommage qu'elle ne soit pas si poignante ou qu'elle ne joue pas des airs de cette époque elle aurait plus nous faire jouer nos émotions, sinon c'est dommage que le réalisateur ne s’est focalisé que sur le trio infernal d'acteurs car le peu de choses qu'il nous ait montré sur la fameuse ile nous sommes désemparé il aurait du attardé un peu dessus on aurait été au bout de nos surprise.
    Sinon ça reste une œuvre à voir mais quelque chose nous dit que ça ne sera pas la seule collaboration de Marion Cottilard auprès de James Gray.
    JoRod
    JoRod

    63 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    James Gray, cinéaste mal-aimé en ses terres et réalisateur du grandiose La nuit nous appartient et du déchirant Two lovers, fait son retour avec un film d’époque, tourné dans le New-York des années vingt. Le film se penche sur l’histoire de deux sœurs immigrées, Ewa (Marion Cotillard) et Magda, fuyant leur Pologne natale dans l’espoir d’une vie meilleure aux Etats-Unis. Mais Magda, est atteinte de la tuberculose, et se voit contrainte d’être mise en quarantaine. Ewa, seule et désemparée, tombe alors dans les filets de Bruno (Joaquin Phoenix), souteneur louche à la tête d’un cabaret. L’œuvre est belle et touchante. Le classicisme est la marque de fabrique du réalisateur américain qui signe, une nouvelle fois, une mise en scène d’une grande élégance ; notamment grâce à un excellent travail sur la lumière donnant un teint brumeux et sombre à l’image. Mais il faut souligner que l’œuvre est un ton en dessous de ces précédentes œuvres, que ce soit en termes de puissance ou de narration, laissant une impression d’inachèvement. Marion Cotillard montre pour la première fois qu’elle est capable d’une performance dans la langue de Shakespeare. Fragile et attachante, elle est superbement dirigée par James Gray. Joaquin Phoenix est, quant à lui, toujours au sommet de son art…
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    150 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2014
    Un chef d'oeuvre de James Gray qui réunit Marion Cotillard qui a été révélé par la Môme. Un très beau film sur l'arrivée des immigrants aux Etats-Unis. Joaquin Phoenix joue l'un de ses plus beaux rôles de sa carrière. Jeremy Renner change de registre et exerce une grande performance.
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2014
    James Gray livre ici une œuvre remarquable portée par un casting de choix. Le scénario est superbement écrit et la reconstitution des années 1920 est très réussie.
    Un très bon moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    ce film confirme deux choses : James Gray est un des meilleurs réalisateurs du moment. Et il est difficile de jouer face à Joachim Phoenix. Le meilleur film vu à Cannes cette année. Classique intemporelle et instantanée...
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 133 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2013
    (...) Que dire de The Immigrant au final ? Il s’agit sans conteste d’un drame maitrisé techniquement mais qui peine à réellement intéresser le spectateur. Par pitié Monsieur Gray, arrêtez de vous reposer sur vos acquis, vous êtes doués, on le sait et vous le savez mais plus de cœur et moins d’académisme ne feraient pas de mal à votre prochaine réalisation…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 mai 2013
    Vu à Cannes.

    Une histoire déjà vue des centaines de fois (une femme tiraillée entre deux frères) et malgré le bon jeu de Joaquin Phoenix et Jeremy Renner, Cotillard semble toujours en faire trop. La caméra de James Gray sauve le film avec une belle mise en scène et de beaux décors.
    Freaks101
    Freaks101

    152 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2014
    Pauvre James Gray, boudé une fois de plus par la critique et le public. Certes « The immigrant » n’a pas le lyrisme de « La nuit nous appartient » ou de « The yards » cela reste tout de même un beau film, où l’on retrouve les thématiques du réalisateur. Il est une fois de plus question de pardon et de rédemption. Le personnage de la jeune immigrante, plutôt bien campé par Marion Cotillard, reste moins ambigu que celui de Joachim Phœnix. Chez elle il n’est question que de survie, avec tout ce que cela comporte de compromis, le parcours de son « souteneur » vers le pardon est plus sinueux, bien évidemment tout cela implique une lecture morale très religieuse. Mais celle ci est loin d’être manichéenne, les personnages de Gray sont avant tout humain, avec leurs défauts et leurs faiblesses. L’auteur en profite également pour mettre à mal le mythe de l’Amérique comme terre d’accueil, le parcours de cette jeune polonaise vers la terre promise ressemble plus à un chemin de croix. Cette vision peu reluisant explique peut être aussi l’échec du film aux Etats Unis.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    32 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2014
    James Gray filme très bien Marion Cotillard et Joaquin Phoenix et nous plonge dans ce New-York des années 20. Cependant l'histoire tourne un peu en rond avant d'arriver vers une fin prévisible.
    matt240490
    matt240490

    86 abonnés 1 063 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2013
    En partie connu pour son travail sur The Yards et La Nuit nous Appartient, James Gray signe son retour cinq ans après Two Lovers avec The Immigrant, un drame politico-romantique contant les mésaventures de Ewa Cybulski, une clandestine polonaise qui tente par tous les moyens de survivre dans l’hostile et dangereuse jungle américaine, durant les années 20. Et, pour interpréter cette héroïne déchirée entre l’adoption de valeurs immorales et la survie de sa sœur, c’est en la personne de Marion Cotillard que James Gray confie le rôle. Une belle affiche donc, véhiculée par de solides atouts. Analyse.

    Fidèle à sa mise en scène et aux desseins non sans sérieux mis en avant dans ses métrages, Gray opte une nouvelle fois pour une approche terre-à-terre, sérieuse et pragmatique. Dans des décors froids et sombres, la belle Ewa se retrouve ballotée malgré elle, contrainte à vendre son corps et son âme -au diable-, en échange de soins accordés à sa sœur laissée en retrait aux portes de la Terre Promise. Car, dans cette aventure qui révélera par la suite les faces cachées de nombreux protagonistes, tout se paie, et le boulet de plus en plus lourd que traîne sans cesse Ewa, constituera le fil conducteur d’un récit parfois trop long.

    À ses côtés, l’immense Joaquin Phoenix signe une prestation hors du commun et prend part, comme Jeremy Renner, à un triangle amoureux dont les conséquences fatales détermineront l’avenir de beaucoup. On réalise alors, à l’image de Gladiator ou de The Master, que c’est sous les traits sadiques et inhumains de ses personnages que l’acteur exploite au mieux ses capacités. Ici, sous ses airs de proxénète invétéré, il ne fera que confirmer la chose. Toutefois, le film ne s’intéresse pas tant à la descente aux enfers du personnage de Marion Cotillard, mais davantage au chemin inverse qu’entreprends Joaquin Phoenix. Et c’est là l’un des tours de force de The Immigrant : sombrer vers une mélancolie partagée, en inversant complètement la tendance et donner à Phoenix la compassion qu’il mérite. Ce ne sera finalement qu’après moult ennuis que chacun pourra se reconstruire, au prix de terribles sacrifices.

    Malgré tout, The Immigrant n’est pas le film de l’année, en raison d’un scénario trop peu impliquant par moment et de la sous-exploitation du personnage d’Orlando, qui aurait mérité davantage d’exposition. Toutefois, le sujet est maîtrisé, le jeu d’acteur relativement bon, tandis que la préface introductive soulève de nombreuses questions philosophiques : jusqu’où irions-nous pour ceux que nous aimons ? à quel prix payons-nous notre liberté ? Et là, James Gray fait ce qu’il sait faire le mieux : partir d’une approche dramatique pour soupeser de multiples raisonnements, à l’aide d’une mise en scène simple, mais efficace.
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    Plus le rôle est ingrat, plus Marion Cotillard se sublime. La force de ses expressions de visage efface à eux-seuls les difficultés de James Gray à nous livrer un scénario concis. Et c'est d'ailleurs très étalonnant, tant le réalisateur américain possède une filmographie haut de gamme. Joaquin Phoenix égale à lui-même, surement le meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 mars 2014
    Il y a des acteurs dont je suis la carrière religieusement et Joaquin Phoenix en fait partie. Alors à chaque nouveau film, je vais au cinéma, peu importe le réalisateur ou l’histoire, c’est mon côté groupie (parfaitement assumé). Mais ici un seul petit détail me faisait frémir : la présence de Marion Cotillard, que je déteste cordialement depuis son apparition (ratée) dans “The Dark Knight rises”, mais hors de question que je me prive de Joaquin Phoenix pour elle. Et finalement, je suis bien forcée d’avouer qu’elle était vraiment très bien dans ce nouveau film de James Gray, son interprétation était juste et sincère et elle était franchement plaisante. De toute façon, le casting du film est impeccable, Phoenix est toujours parfait dans ce genre de rôles de salopard, il sait être sombre et cruel, et qui mieux que lui aurait pu jouer le rôle de Bruno, personnage manipulateur au possible, et Jeremy Renner, excellent dans son rôle de magicien fantasque et romantique. L’histoire est touchante et prenante, on s’imagine facilement que cette histoire ait pu arriver à l’époque (et même encore aujourd’hui malheureusement) et on se laisse embarquer avec émotion dans la vie d’Ewa, jeune polonaise qui souhaite soigner sa soeur malade et vivre à New York. Ajoutez à cela un triangle amoureux des plus tragiques, et voilà comment James Gray arrive à transporter son public dans une Amérique des années 20 (à noter les sublimes costumes et décors) où chacun essaie de faire sa place. C’est un très beau film, dramatique, émouvant et terriblement sombre. A voir !
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