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    The Immigrant
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    377 critiques spectateurs

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    danleboss
    danleboss

    1 abonné 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    un film plein d’émotion et qui est pas a l'eau de rose. on est avec cotillard de a à z. tres beau jeu d'actrice . j'ai passer un excellent moment.
    EspritReveur01
    EspritReveur01

    1 abonné 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Un jeu d'acteurs excellent dans ce trio dont le contexte se situe en 1920 avec les difficultés de l'époque face au rêve américain. Joaquin Phoenix est toujours autant impliqué lorsqu'il joue un rôle et Cotillard qui a dû apprendre de nombreuses répliques polonaise pour que le rôle lui soit délivré. Après Blood Ties, elle tient toujours un rôle où elle est contrainte à être impliqué dans la prostitution, mais ce rôle lui correspond mieux car il est plus humain et sa place y est mieux mise en avant.

    La prise de vue finale est tout simplement parfaite d'un point de vue artistique, je l'ai trouvé vraiment parlante et touchante.

    Je mettrais un 3,6/5 voir un 3,7 pour ce moment poignant que je viens de passer.
    pierre72
    pierre72

    142 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    James Gray semble avoir le ticket avec la presse française, moins avec les festivals ou son pays natal qui le boudent ostensiblement. Jusqu'à présent, je n'avais pas été non plus été très emballé par ses précédentes oeuvres... J'ai pensé qu'en se dirigeant vers le mélo, il allait transcender le genre et du coup, armé d'un paquet de mouchoirs en papier, j'ai pris mon ticket pour New-York années 20....
    A l'arrivée du bateau, au milieu d'une cohorte d'immigrants, la caméra s'arrête sur deux pauvres polonaises, la mine grave, la tenue austère, avançant la mine angoissée vers un ailleurs prometteur. Hélas, l'une se fera mettre en quarantaine pour cause de tuberculose et l'autre dirigée vers la file "expulsion immédiate". Elle, c'est Ewa, aux airs de mater dolorosa, qui suinte l'ennui, la tristesse et la droiture. Ewa, c'est Marion Cotillard, les yeux cernés de marron par une maquilleuse sadique, qui pense qu'ainsi elle fera harassée et au bord du suicide. Raté ! Elle est remarquée par un maquereau de bas étage (Joaquin Phoenix, pour le moment très bien parce que sobre) qui, sûrement par son oeil exercé à repérer les filles qui feront de bonnes gagneuses, la prend sous son aîle et la ramène chez elle. Pour le remercier, Ewa/Marion lui gratifie de sa nouvelle expression étudiée spécialement pour le mélo : je baisse les yeux, je grimace légérement des lèvres et je pleure.
    Le proxénète travaille dans un cabaret où les filles dansent un peu dénudées, histoire de faire saliver le client avant de leur proposer des services plus personnels. Bien que toujours la mine sombre, peu souriante, Ewa/Marion, accepte de danser puis de se prostituer afin de réunir un max de fric pour libérer sa soeur. La première fois qu'elle monte sur scène en statue de la liberté, elle baisse les yeux, grimace des lèvres et pleure un peu. Visiblement, malgré son allure rigide et ses airs revêches, Ewa/Marion fait exploser le compteur grâce, sans doute, à ses talents multiples, ce qui est étonnant car elle ne desserre pas les lèvres du film et a un air de bigotte sortant de la messe et n'ayant qu'une envie, celle d'y retourner.
    Mais l'amour la surprend. Au détour d'un cabaret, elle rencontre un magicien, Orlando, beau et gentil, cousin du maquereau, qu'elle séduit en baissant les yeux, frémissant des lèvres et en versant....Stop Marion, pas là, c'est du bonheur !!! De toutes les façons tu ne vas y arriver, on a pas prévu le menthol pour cette scène !
    Comme les deux hommes se détestent, il va y avoir un peu d'action, la jalousie étant un super rebondissement dans les mélos et l'occasion pour la vingtième fois de faire souffrir Ewa/Marion , de lui faire baisser les lèvres , grimacer légèrement du nez et...non, ça Marion Cotillard ne sait pas le faire !
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Du James Gray tout craché ! Nous retrouvons les thèmes récurrents : la famille et la désillusion du rêve américain. Il y a deux histoires de famille. La première concerne le personnage de Marion Cotillard et celui de sa soeur. Cotillard est solidaire car elle veut la retrouver. Elle s'oppose avec la famille de Joaquin Phoenix et Jeremy Rener qui, elle, se détruit. Le thème du rêve américain est le plus visible. Ewa est une immigrante polonaise qui arrive aux Etats-Unis. Elle doit se prostituer pour gagner de l'argent et retrouver sa soeur. Elle vit dans un milieu pauvre et se fait manipuler par le personnage de Joaquin Phoenix. Cette désillusion est accentuée par la qualité d'image. L'image n'est pas propre et ce n'est pas une belle ville de New York que James Gray nous dévoile. Un troisième thème vient s'ajouter à la liste, celui du triangle amoureux. Il s'agissait du thème central dans "Two Lovers". Ici, ce triangle est composé de Rener, Phoenix et Cotillard. L'avenir de ce triangle n'est pas le même que celui qu'on voit dans son précédent film. Gray s'attaque à un sujet réel et qui touche encore nos sociétés : les réseaux de prostitution. Phoenix fait croire à Cotillard qu'elle va être heureuse et lui fait comprendre qu'elle doit se prostituer si elle veut s'en sortir. Il a un pouvoir sur elle, d'autant plus qu'il l'a sorti de la misère. L'intrigue se passe dans les années 1920 et l'époque est parfaitement retranscrite dans les décors et les costumes. Les acteurs sont excellents et le montage est fluide et agréable. Comme tout amateur de Coppola qui se respecte, il utilise des couleurs jaunâtres, ce qui donne une certaine atmosphère. Un film que je conseille !
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    40 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Un très beau film, remarquablement joué par Marion Cotillard (qui n'est pas ma tasse de thé) mais qui vit son personnage et transcrit idéalement toutes les émotions et sa progressive descente aux enfers. Joaquin Phoenix mériterait un oscar pour ce second rôle qui lui va à merveille ! Film déconseiller à Najat Vallaud-Belkacem, grande prêtresse moralisatrice car on y parle beaucoup trop de prostitués et de proxénètes !
    Cédric A.
    Cédric A.

    1 abonné 42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    James Gray nous plonge dans le New-York des années 20, les décors, la lumière sont réussis. La performance de Marion Cotillard est comme à l'accoutumé fine, émouvante, incroyable. Ce film est d'une simplicité dans les plans, dans les jeux d'acteurs assez émouvante. À voir !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    James Gray signe un vrai film classique, très beau visuellement, d’une intensité dramatique progressive et très bien interprété. Pourtant, il manque un peu d’une vraie émotion et d’un peu de vie pour en faire un très grand long métrage.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    94 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    A l'aune de ses images continuellement ton sépia et tonalités mordorées, le film figé et terriblement propre sur lui finit par sentir la naphtaline. De moins en moins inspiré, le réalisateur de The Yards continue à traiter des thèmes qui l'obsèdent : le dilemme, la culpabilité et l'abnégation. L'immigrante Ewa venue de Pologne (où l'enseignement de l'anglais au début du 20ème siècle semblait particulièrement performant) devient le noyau nucléaire autour duquel deux cousins entrent en fusion. Rien de bien captivant même s'il faut reconnaitre que le sujet est plutôt traité de manière modeste, comme par le petit bout de la lorgnette. Tandis que Joaquin Phoenix en fait des tonnes, la française Marion Cotillard ne parait être en mesure que d'afficher la même expression. Tout ceci manque de souffle et ne parvient jamais à nous intéresser ni nous émouvoir. Un bel écrin qui ne contient à peu près rien.
    traversay1
    traversay1

    3 647 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    James Gray sait se faire désirer. 5 films en 20 ans, c'est peu. Mais comme la déception est rarement au rendez-vous.... De son aveu même, The Immigrant est son oeuvre la plus ambitieuse, celle où il aura mis le plus de lui-même. Effectivement, c'est un "grand" sujet, celui de l'arrivée en Amérique d'européens au lendemain de la première guerre mondiale. Un thème tant de fois traité au cinéma qu'on a du mal à croire qu'il puisse être renouvelé. A moins de trouver un angle particulier, un prisme original. Le scénario de The Immigrant n'est pas exceptionnel mais il tient la route et avec cinquante nuances de Gray, on pouvait espérer un grand film. Il n'est pourtant que correct, sans plus, d'un grand classicisme, la superbe photo de Darius Khondji ne pouvant masquer une mise en scène comme tenue en laisse, le réalisateur s'interdisant cette fois tout lyrisme et toute fièvre. C'est un choix, mais il n'y a rien de plus frustrant qu'un mélodrame qui vous tient à distance. D'autant plus dommage que James Gray prouve une fois de plus qu'il est un immense directeur d'acteurs, Marion Cotillard et Joaquin Phoenix sont impeccables et Jeremy Renner crève l'écran dans un rôle court mais marquant. Sobre et sombre, figé dans une reconstitution patinée, The Immigrant ne mérite pas d'être qualifié de ratage mais de relative désillusion, de la part d'un des plus talentueux cinéastes actuels.
    Akamaru
    Akamaru

    3 134 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Comment le très talentueux James Gray qui a réinventé le polar familial et sentimental a t-il pu passer autant à côté avec son cinquième film? L'accueil tiède à Cannes était donc justifié. "The Immigrant" prend position dans le New York des années 20 où l'on suit le destin plutôt tragique d'une jeune polonaise,séparée de force de sa sœur tuberculeuse des son arrivée à Ellis Island. Sans moyen de s'en sortir,elle tombe dans les griffes d'un escroc invétéré et sans pitié. Le rêve américain à l'envers,symbolisé par la figure omniprésente de la statue de la liberté. La photographie de Darius Khondji est superbe,nous projetant sans peine dans les cloaques d'une époque mal famée. Une fois de plus,Marion Cotillard étonne avec un accent irréprochable et de grands yeux qui disent toute la douleur du monde. Joaquin Phœnix,d'une intensité supérieure,n'est jamais meilleur qu'en salaud qui sait l'être. Quant à Jeremy Renner,il est le brasier qui allume le drame à venir. Techniquement impeccable,ce mélodrame d'un autre temps souffre terriblement d'être si peu incarné,si académique,d'un classicisme étouffant voire rébarbatif. Où est le souffle passionnel de "Two Lovers"? La noirceur shakespearienne de "La nuit nous appartient"? James Gray devrait se relancer au plus vite avec un sujet plus osé et passionnant.
    Piwi47
    Piwi47

    46 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    « The Immigrant », nouveau long-métrage en demi-teinte du cinéaste James Gray, est nappé d’un classicisme délicieux (photo splendide de Khondji, mise en scène sublime). Le contenu est, en revanche, nettement moins onctueux et n’atteint jamais la puissance de ses précédents films.
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    Quand, un jour de janvier 1921, venues de leur lointaine Pologne, Ewa et Magda débarquent à Ellis Island, elles ont la tête farcie de projets et de rêves. Oh ! Rien d'ivraisemblable : elles comptent sur l'aide d'un oncle et d'une tante déjà installés à New-York et elles imaginent qu'elles prendront racine dans ce nouveau pays en s'y mariant et en y ayant plein d'enfants ! Cette terre qu'elles découvrent et qu'elles imaginent, cette terre dominée par l'imposante statue de la liberté n'offre-t-elle pas la garantie d'un bonheur simple et durable ?
    Mais il va falloir très vite déchanter : Magda, soupçonnée d'être tuberculeuse, est retenue en quarantaine à Ellis Island, tandis qu'Ewa, à qui il est arrivée une sombre aventure durant le voyage en bateau, est désignée pour être rapatriée de force dans son pays d'origine. A peine sont-ils prononcés que tous les rêves s'effondrent ! Peut-être pas cependant, à cause d'un homme providentiel, un certain Bruno, qui parvient à la délivrer, la faisant embarquer pour New-York.
    Mais, une fois de plus, les illusions s'effondrent : l'homme providentiel n'est qu'un souteneur qui exhibe « ses filles » sur la scène d'un boui-boui des plus glauques et les contraint à se prostituer !
    Que peut faire Ewa dans cette ville inconnue, elle dont le seul objectif est à présent de faire soigner et délivrer sa sœur Magda ? Pour ce faire, il faut de l'argent, beaucoup d'argent. Pourra-t-elle compter sur le secours de sa tante et de son oncle ? Ce dernier, déjà bien installé, ne veut pas s'encombrer d'une parente aux mœurs douteuses. Voilà donc Ewa prisonnière de son « sauveur » Bruno et contrainte de s'exhiber sur la scène de l'infâme gargote en tenant le rôle (ô ironie!) de la statue de la liberté et de se prostituer comme les autres filles.
    Mais il ne faut pas se contenter des apparences : tout n'est pas aussi simple qu'on pourrait l'imaginer. Bruno n'est pas uniquement un « salaud » et l'on se rend compte, au fur et à mesure du récit, que, pour la première fois de sa vie probablement, naît en lui ce sentiment inconnu et fort encombrant qui s'appelle l'amour. D'autant plus encombrant et douloureux qu'apparaît un rival en la personne d'Orlando, un magicien ! Nous voilà rassurés, en quelque sorte : si l'on craignait d'avoir affaire à une histoire un rien simplette, on se rend vite compte qu'au contraire les personnages dont il est ici question sont habités de sentiments complexes et contradictoires. Et le film prend toute son épaisseur : il intrigue, il passionne, il fascine...
    Oui, la vie intérieure de ces personnages se laisse deviner et celle d'Ewa nous conduit même jusqu'à des sommets de beauté. Que lui reste-t-il, quelle noblesse peut-elle encore revendiquer, à qui peut-elle se fier ? Il lui reste la foi, il lui reste la prière et la confiance en Dieu ! Une des plus sublimes scènes nous la montre, suivie et épiée par son jaloux de souteneur, allant à l'église pour y entendre la messe. Celle-ci terminée, les pas d'Ewa la conduisent tout naturellement au confessionnal. C'est vrai, au prêtre qui lui demande de quitter Bruno, elle répond qu'elle ne le peut pas, que, toute à son projet de guérir et de délivrer sa sœur, elle va devoir rester en enfer ! Mais ce qui est vrai aussi, c'est que, même en enfer, même en vendant son corps, même en étant une femme avilie, Ewa n'est pas atteinte dans son cœur. Son corps est souillée, son cœur est pur.
    Récemment, en revoyant « La Porte du Paradis », la splendide fresque de Michael Cimino, je songeais irrésistiblement aux romans russes, et le personnage de prostituée interprétée par Isabelle Huppert me rappelait une autre prostituée, celle que Dostoïevski avait imaginé pour « Crime et Châtiment » et qui se prénomme Sonia. Mais cette comparaison avec Sonia est encore plus juste à propos du personnage d'Ewa. Comme la prostituée de Dostoïevski, cette dernière, malgré les apparences, incarne l'être le plus noble, le plus digne et le plus pur qui soit.
    Avec subtilité, sans la moindre trace de prosélytisme, James Gray, dans ce film, nous donne à voir ou à entrevoir la grandeur de la foi, la beauté de la prière et la noblesse du pardon. Bien sûr, il n'est pas nécessaire d'être croyant pour apprécier : tout le monde pourra y trouver son compte car le réalisateur nous propose l'un des plus bouleversants portraits de femme qu'on ait vu au cinéma depuis longue date. Marion Cotillard en Ewa a trouvé là l'un de ses meilleurs rôles : elle excelle en tout point, de même d'ailleurs que Joaquin Phoenix en Bruno ! Ce film magnifique est, sans aucun doute, l'un de mes préférés de l'année 2013 (une année pourtant très riche en beaux événements cinématographiques!). 9,5/10
    ffred
    ffred

    1 730 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    Jusqu'ici, pour moi, James Gray n'avait réalisé que des chefs d'oeuvres (de Little Odessa à Two lovers en passant par le formidable La nuit nous appartient). Je partais donc avec un capital confiance au top malgré un accueil cannois mitigé. Sans dire que The Immigrant est (totalement) raté, il s'agit là de son moins bon film. Une histoire classique mise en scène de façon très académique. Sur le fond, l'histoire est belle. Mais elle est traitée de façon bien trop...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    New York 1921. Ewa et Magda, deux sœurs Polonaises candidates à la « terre promise » débarquent à Ellis Island, sas d’accès des candidats à l’immigration. Soupçonnée de tuberculose, Magda est placée en quarantaine. Dès lors Ewa n’aura qu’une obsession : faire sortir sa sœur. Et comme elle n’a pas un dollar dans sa jarretière, elle devient une « proie » facile pour les mauvaises rencontres…
    Par exemple pour Bruno, beau mec et vilain mac, qui anime une revue d’effeuilleuses et prélève son pourcentage sur les filles. Bruno aime posséder, mais il peut aussi tomber amoureux. Voire devenir jaloux quand un saltimbanque fait du gringue à sa protégée. Et Ewa peut accepter la soumission et la prostitution pour atteindre son but, tout en restant ferme sur certains principes : ses sentiments ne sont pas à vendre !
    Bref, le trio amoureux est en place, la tragédie peut commencer. Une tragédie presque trop classique, un peu vieillotte et pas très inventive, à l’image de dialogues assez plats. La grande histoire vire au mélo « sauce américaine ». Brillamment filmé, avec un New York certifié d’époque, baigné d’une lumière froide ; avec un tandem super-pro : Joaquim Phoenix acteur fétiche du réalisateur, toujours impeccable dans la douleur et Marion Cotillard, la plus anglo-saxonne des actrices françaises « expressive comme une actrice de muet », dixit James Gray
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 novembre 2013
    Super film par un super réalisateur. Les acteurs sont dirigés à la perfection. Cotillard et Phoenix sont éblouissants. La photographie du film est superbe, bien léchée sans que ça ne fasse faux film des années 20. spoiler: Et que dire de la dernière scène du film..
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