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    The Immigrant
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    377 critiques spectateurs

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    laurence l
    laurence l

    139 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Comme j'ai pu le lire dans d'autre critiques, je n'ai pas été transporté par cette histoire, les décors sont parfait, l'époque très bien rendu mais malheureusement je n'ai pas adhéré à cette e car les acteurs sont bien dans leurs rôles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Difficile à commenter. Triste histoire, triste destin, triste époque. Belles interprétations, beau tableau.*Il faut aimer l'époque sinon ça peut sembler plat.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 677 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    L’histoire lui semblant à juste titre très bien écrite, James Gray, auteur (avec Ric Menello) et réalisateur privilégie le récit au détriment d’une mise en scène, tout à fait classique. Mais cette réalisation sans véritable relief se fond très bien dans la reconstitution du New-York des années 1920, et donne un éclat particulier aux jeux des acteurs, dont Marion Cotillard s’extraie avec une profondeur qui à ce jour ne lui avait peut-être pas encore été donnée. La métamorphose de son personnage est extraordinaire.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    une histoire sur le drame de l'immigration ou tous les aspects du drame se jouent (Maladie, prostitution et trio amoureux) Marion Cotillard est toujours aussi bluffante et les autres ne sont pas en reste ,la reconstitution de l'époque est soignée ,un vrai grand spectacle spoiler: dommage que Jeremy renner meurt a la fin
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 décembre 2013
    Très bon film où Cotillard est impressionnante ( je l ai vu en vo ), elle arrive à avoir ce petit accent de l'est qui est tout à fait crédible selon moi. Ses compagnons de route sont très bon également et le sujet abordé délicat car il me pose la question suivante : qu'est ce qui a changé en 90 ans ?
    Marclille
    Marclille

    25 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Désolant au sens propre du terme. Marion Cotillard a son habitude développe un jeu léthargique, l'histoire
    génère un ennui prononcé. On aurait cru pouvoir s'interesser aux aspects techniques du film, comme la photographie par exemple... mais l'abus du sépia vous donnera des nausées avant la fin de cette interminable histoire sans intérêt ni rebondissement. Les personnages larvaires sont horripilants, rien ne peut sauver ce film pour lequel la critique, pour d'obscures raisons, envoie des spectateurs dans les salles
    assister à ce film soporifique. N'y allez pas.
    christian M.
    christian M.

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Un pur James, GRAY. Joachim Phoenix Marion Cotillard éblouissants. Tous les éléments de la tragédie.L'amour (fraternelle, un homme une femme) les règles d'une société, l'immigration, le caractère de l'humain etc.. la reconstitution des années vingt,la photographie, les couleurs. Et lIMAGE FINALE ! ont retrouve l'ambiance de LITTLE ODESSA en plus sophistiqué de réalisation .passé beaucoup de bonheur cinématographique. Il méritait à CANNES, davantage que les frères COHEN;
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    On retrouve dans ce film les grandes obsessions du réalisateur : l'écartèlement amoureux ; le sacrifice etc. Corbillard est somptueuse. Un beau spectacle magnifiquement photographié.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    Catégorie mélo congelé! Scénario convenu au possible, réalisation parfaitement académique. Marion Cotillard fait avec talent ce qu'on lui demande de faire. Joachim Phoenix est, hélàs, égal à lui même.. Jeremy Renner aurait pu être intéressant si son rôle avait été un tant soit peu développé. Les couleurs jaunasse marronnasse sont rapidement insupportables, à croire qu'il n'y a jamais un rayon de soleil à New York. Vague sauce russe façon caricature de Dostoïevski. Le compositeur de la bande son utilise, sans le dire, Wagner et Gounod, et d'autres sans doute. Tout cela fait un produit qui emballe "Le monde" et "Télérama". James gray, qui avait bien commencé (The Yards, Little Odessa) continue bien mal. Film simplement ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    2h de film, un ennui terrible.
    Marion Cotillard massacre le peu de crédibilité du scénario.
    x n'a rien à faire ici, il mérite mieux
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Le cinéma de James Gray confronte toujours ses personnages à des situations qui les forcent à revoir leur sens moral. Dans The yards, Leo témoigne contre sa famille qui l’avait pourtant aidé à sa sortie de prison. Joaquin Phoenix dans La nuit nous appartient ne trouve pas d’autre solution que d’entrer dans un corps de métier qu’il déteste pour venger son frère. Le scenario pousse toujours les personnages de Gray à dépasser leur condition, à prendre des décisions morales fortes que leur impose la vie.
    Dans The immigrant Ewa se voit elle contrainte de remettre en cause sa foi, en vendant son corps, afin de sortir sa sœur d’ Ellis Island. Les personnages de Gray ne sont donc jamais figés dans leur intégrité. Le scenario les forcent à se remettre en cause, mais sans pour autant les changer. Il questionne simplement le bien fonde de ce en quoi ils croient. Le film pose la question de savoir jusqu’où est-on prêt à aller pour trouver le bonheur. Pourquoi s’accrocher a des valeurs abstraites quand le concret de la vie nous pousse dans nos derniers retranchements. Ce n’est pas pour autant de dire que ce sont des personnages faibles, loin de la. Rarement au cinéma je me retrouve face a un film qui me met face a des dilemmes de la force de ceux de Gray. The immigrant ne déroge donc pas à la règle, on navigue en terrain connu, mais le film ne se cantonne pas non plus à ces questionnements.
    Le dernier film de Gray est en effet celui qui est le plus américain, dans le sens de celui qui parle le plus de son pays. Il est évidemment question dans The immigrant du rêve américain. Ou plus exactement du non rêve américain car le film est loin d’être un rêve. Des le premier plan on se doute que tout ne va pas être rose. En filmant la statue de la Liberté de dos, dans le brouillard en travelling arrière le symbole prend un tout autre sens. L’Amérique n’aura rien d’accueillant, rien d’une terre de liberté. De toute façon et on va l’apprendre quelques minutes après, les des étaient déjà pipes avant que Ewa et sa sœur n’aient pose le pied a terre. Pourtant, dans la longue file d’attente, les deux sœurs sourient encore, s’imaginent un avenir heureux. Ca ne durera pas longtemps. Leurs premiers contacts avec l’Amérique sont maladie, expulsion, mensonges, corruption, proxénétisme. Voilà l’image de l’Amérique pour ces immigrantes.
    Le film se sert de trois notions fortes pour parler de l’Amérique. L’argent, le revolver et le spectacle.

    Assez vite, il est donc question d’argent. D’une certaine manière il est responsable de la liberté d’Ewa, lorsque Bruno paye le garde pour la sortir de la ligne des expulsés, et de son asservissement. Elle a besoin d’argent pour sortir sa sœur d’Ellis Island. Pas d’autres moyens que de payer. Il y a beaucoup de scènes ou l’argent circule. Bruno paye le gardien, Ewa le vole de la quête de ses collègues, les flics se servent dans la chaussette de Bruno après l’avoir passé à tabac. Toujours l’argent est lie à une idée de perversion, jamais dans une vision positive.
    Le pistolet, et par extension la violence, aussi n’apportera rien de bon. Bruno et Emil sont des cousins en conflit, ce sont un peu les ancêtres de Leo et Willy de The yards et ils se battent comme les deux frères de La nuit nous appartient. On sent encore une fois dans cette famille une histoire compliquée, pleine de trahison et de ressentiment. Mais ce n’est pas au centre du film comme ca pouvait l’être dans les réalisations précédentes de Gray. Mais c’est toujours la, avec force. Des que le revolver est montre a l’image, on sent que le drame passe encore un cran.
    Peu avant l’introduction du flingue il y avait déjà eu deux affrontements entre les cousins. Au théâtre s’engage une course poursuite entre les cousins qui finisse par tout mettre sans dessus dessous. La scène, par sa chorégraphie, sa fluidité, son contrôle malgré le chaos m’a fait pense au final de La règle du jeu. Gray ne s’est par ailleurs jamais cache d’être un grand admirateur de Renoir. De toute façon on savait depuis La nuit nous appartient, tout la maitrise de Gray lors des scènes de foule.

    Je ne l’ai pas dit mais Bruno est donc le directeur d’une troupe de danseuse exotique de Cabaret. Il dirige son petit monde d’une main ferme mais juste selon une des employées. Il est le metteur en scène devant la camera.
    D’ un autre cote le film met Ewa, une fille perdu dans un monde qu’elle ne reconnaît pas, qui lui est devenu étranger. Mise cote a cote, ces deux idées n’ont pas grand chose à faire ensemble. Sauf quand on connaît la position de James Gray à Hollywood. Un type un peu a part, dont les films ne sortent qu’en catimini dans son pays. Ignoré par les critiques locales mais adulé en Europe. Jamais sélectionné pour les Oscar mais qui se retrouve assez régulièrement sur la Croisette. Et puis on a entendu aussi dans les interviews que ce film, il l’avait aussi fait pour son aspect personnel. Alors bien sur il parlait de sa famille, elle même passée par la case Ellis island. Mais le cœur du film c’est quand même cette fille perdu et seule dans ce milieu du spectacle. Et on se dit alors que Gray c’est un peu ce mix entre Bruno et Ewa.
    Les deux moments les plus forts du film sont des moment où le cinéma et la mise en scène tente de faire coexister ces deux personnages dans un même plan, ou du moins dans le même espace d’un plan. Lors de la première scène dans l'appartement de Bruno, la cloison sépare l'image en deux pour délimiter l'espace des 2 personnages. Et quand Ewa passe la porte, quand on pense qu’elle va finalement le rejoindre dans son espace, c'est pour en arrière plan passer dans une autre pièce.
    Et il y a ce plan final, le plus beau vu cette année et vu depuis un bon moment d’ailleurs au cinéma. Par un habile dispositif optique, les deux personnages sont cote a cote alors qu’il n’ont jamais etes plus eloigne, aussi bien physiquement que moralement. Cette fin m’a laisse sur les genoux, terrasse par le destin de ces deux personnages.

    Malgre les doutes et la crainte au depart, Gray reussi a faire un nouveau chef d’oeuvre, absolument coherente avec son travail precedent mais qui va aussi au dela, qui se renouvelle. C’est un auteur dont on aurait pu avoir peur qu’il s’enferme dans ses thematiques mais qui montre qu’il a encore des choses a dire. Et ce n’est pas son prochain projet de film en foret amazonienne qui viendra dire le contraire.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    600 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    je le craignais un peu, ce sujet est trop proche de la vie des parents de Gray, il s’y est trop investi et a poussé le réalisme au delà du raisonnable oubliant que le cinéma a besoin, comme nous, de respirer. De plus, son affection congénitale pour les losers lui a fait perdre toute mesure. New York s’asphyxie sous les teintes sombres, les intérieurs sont les plus petits possibles, les policiers tous pourris sans exceptions, et le couple Bruno/Ewa autodestructeur. C’est un film si étouffant qu’il a gâché le plaisir que je venais logiquement chercher, puisque les 4 précédents du réalisateurs comportaient de beaux moments d’émotions. Lorqu’on choisit le réalisme à ce point, il faut être crédible, or dans ‘’The immigrant’’ ce n’est plus le cas...Si la société américaine avait été comme cela en 1920, elle se serait sclérosée. Tout ici est surdimensionné. Dans ces conditions le rôle de Marion Cotillard est hors de la réalité. Pour réussir son ‘’Ange de la rue” (action en 1928) Borzage y avait mis le symbolisme necessaire. Ici, Bruno va même jusqu’à écouter Ewa à la porte du confessionnal. L’effet sera paradoxal, il acquerra le sens du sacrifice qui aura forcement un aspect masochiste. Quant à Ewa, c’est la découverte du pardon qui la libérera de l’emprise de Bruno... Où donc James Gray a t il voulu nous entraîner avec ces conflits psychologiques extravagants? Qu’avons nous appris sur l’immigration qui a rendu si forte les Etats Unis ? En dehors de rencontrer un parano et un affabulateur, en dehors d'admirer Joaquin Phoexix toujours aussi percutant, il nous reste juste notre Marion qui a bien du mal à exister. Cela tombe bien, c’est dans la sobriété qu’elle est la meilleure.
    Thierry-Gautier
    Thierry-Gautier

    42 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 février 2014
    Comment le réalisateur de Two lovers et surtout du magnifique La nuit nous appartient a-t-il pu faire un film pareil ? Rien à dire sur le jeu d'acteurs (quel casting !), les décors, la photo, la réalisation... mais l'histoire devient rapidement insupportable. Deux jeunes polonaises rêvent d'immigrer aux EU et le sort s'abat sur elles, pas une fois ou deux, mais tout au long du film. Le mélo est si sombre qu'il perd rapidement toute crédibilité et au bout d'une heure on se dit Non, trop c'est trop.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Tous les ingrédients pour faire un bon film... et à l'arrivée, c'est totalement raté!! La question principale est: qui de Joaquin Phœnix, Jeremy Renner et Marion Cotillard est le plus décevant ? Je crois, à la réflexion, que la palme revient à ce pauvre Jeremy qui aurait mieux fait de se concentrer sur le prochain Jason Bourne. Joaquin lui, est dix fois moins bon que dans Gladiator et Marion fait du Marion qui fait du Marion qui fait du Marion... Le plus étonnant est de voir qu'il y a des gens qui aiment ça!
    Christophe Altero
    Christophe Altero

    4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Une entame chromo années 1920 sous les auspices du "7th Heaven" de Borzage qui trébuche sur une Marie-Madeleine statuaire de la plaie Cotillard vampirisant même Joaquin Phoenix. Premier faux-pas du grand James Gray.
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