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    The Immigrant
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    3,1
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    377 critiques spectateurs

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    Jmartine
    Jmartine

    169 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2020
    Quelle déception et quel ennui !!! avons vu le même film que les critiques ? Quel plantage !!! long mélo sans aspérité...à éviter...d'ailleurs le film ne fait pas recette..
    saligo1
    saligo1

    44 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2013
    Film à la mise en scène trop minimaliste, ce fond "jaune" très peu pour moi, ça rend limite claustro !
    En tout et pour tout, le film se déroule dans 3 décors différents....
    Au niveau des acteurs, j'ai adoré Joaquin Phoenix (comme d'hab, j'ai envie de dire) en "proxénète" à la fois dur et tendre avec ses filles, Marion Cotillard bof (comme d'hab, j'ai envie de dire) avec son même regard perdu pendant tout le film.
    Je ne comprends pas bien pourquoi spoiler: tous les hommes sont en adoration devant elle
    , les deux scènes où elle dégage quelque chose, spoiler: c'est celle où elle reçoit un policier et se fait payer
    et spoiler: quand elle fait la statue de la liberté
    sinon elle ressemble plus à une nonne qu'à autre chose et le côté coincé ça va 2 secondes !!
    Film pas assez dynamique et sans réel intérêt, je n'y ai pas vu de message caché.
    Bref, je mets 2 étoiles : une pour Joaquin et une spoiler: car on a évité la fin larmoyante !
    Miltiade
    Miltiade

    40 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    La force du cinéma de James Gray était celle des tragédies grecques. Les personnages de « La nuit nous appartient » et de « Two lovers », auxquels le spectateur s’identifiait instantanément, se retrouvaient plongés dans des dilemmes d’autant plus émouvants que le spectateur s’y sentait impliqué. « The immigrant » avait tout pour renouer avec ces prodiges : l’histoire est celle d’un mélodrame, les trajectoires des personnages sont passionnantes, la reconstitution historique est très réussie… Et surtout, les performances des acteurs sont fabuleuses : Marion Cotillard, aussi à l’aise en anglais qu’en polonais, est incroyable dans ce rôle qui rappelle, après la récente déconvenue de « The dark knight rises », qu’elle méritait bien son Oscar. A ses côtés, Joaquin Phoenix trouve ici encore un rôle où déployer l’ambigüité de son jeu, toujours sur le fil entre burlesque et drame – on ne sait jamais s’il va exploser de colère ou s’effondrer en pleurant…
    Et pourtant, l’émotion, qui ne demande qu’à affleurer, point rarement. La faute peut-être à une photographie de Darius Khondji très travaillée mais trop peu originale, qui donne un aspect éthéré à toute cette histoire. Au point que l’on se demande parfois par moments si on n’est pas en train de nous montrer un rêve… Ce manque de matérialité pourrait donc expliquer l’étonnant déficit émotionnel de ce film de James Gray.
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    On connaît J Gray pour son art de nous transporter dans l'histoire comme dans d'autres lieux . C'est chose réussie pour le film tant la reconstitution de New York au début du siècle est excellente . Tant l'ambiance est bien tendue . Pour autant on ne ressens rien . Tout est froid comme la belle M Cotillard !
    nestor13
    nestor13

    59 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    Pauvre Marion Cotillard : après avoir joué la pute dans le récent "Blood ties", le réalisateur de ce film la met à nouveau sur le trottoir dans cette poignante évocation. On va finir par se faire des idées sur elle, même si comme par hasard James Gray, aux manettes ici, était déjà coscénariste du polar de Guillaume Canet. Eh oui, pas facile effectivement de se faire une place au soleil lorsqu'une étrangère débarque dans l'Amérique des années 20... "The immigrant" est ainsi une histoire relativement classique sur le rêve américain, mais néanmoins fort bien menée et plutôt émouvante. Et si je n'ai pas forcément été convaincu par des décors que l'on sent légèrement en toc, j'ai été touché par de beaux acteurs et notamment par Joaquin Phoenix qui est le chouchou de toujours de Gray. Le petit frêre de River, qui nous avait fait croire pendant quelques mois qu'il ne se consacrerait désormais plus qu'à la musique (le filou !), reste donc bel et bien un pilier du septième art. Ouf !
    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 517 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    "The immigrant" a enthousiasmé la critique sans trouver son public (146.000 entrées seulement en première semaine)
    Il a eu sur moi le même effet paradoxal.
    J'ai du mal à trouver à y redire tant tout y est parfait : le superbe drame dostoievskien placé sous le signe de la rédemption, la reconstitution méticuleuse du New York des années 20 somptueusement éclairé par Darius Khondji, le jeu exceptionnel de Marion Cotillard et de Joaquin Phoenix.
    Et pourtant je suis resté extérieur à cette histoire trop classique, trop mélodramatique qui n'a rien fait résonner en moi. Au point de réprimer quelques bâillements (discrets) dans la dernière demie-heure.
    Bref, c'est un des films les plus réussis de l'année et que j'aurais en même temps le moins aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Ah!...Postérité, quand tu nous tiens. Gray l'a enfin accouché son masterpiece à l'âme étasuniennoslave, depuis le temps qu'il en rêvait nous en faisant rêver aussi. C'est un film noir car le rêve idéaliste naïf américain du bonheur est plus collant, poisseux, que le vice humain qui survit à tout et partout pire qu'une colonie de cafards. L'espoir est une fleur du mal plus vénéneuse que la torture psychologique. Qu'il fasse toujours plus beau à l'ouest n'empêche pas que les uniques somptuosités qui resteront à la postérité seront celles des ces quêtes spirituelles alambiquées et plus pures qu'un grand cognac; ça ne se passe pas sur tous les écrans, c'est sur ceux qui passent "The immigrant" qui sacrent Phoenix en tant qu'acteur de génie, et offrent enfin à Cotillard le rôle parfait de catin qu'elle semblait tant vouloir accrocher aux beau potentiel d'actrice qui émane d'elle, souvent mal employé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    L’interprétation des acteurs est exceptionelle, James Gray a un vraiment talent pour diriger ses personnages. Cependant je suis pas conquis par l'ensemble, un peu longuet et répétitif ..
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Moi qui suis fan du travail de James Gray, je ressors déçu de ce dernier film que j'ai trouvé ennuyeux et pauvre en émotion. De belles images, mais un jeu d'acteur trop superficiel et des scènes trop insipides ont rendu ces deux heures interminables. A quand un nouveau chef d'oeuvre digne de "Two Lovers"?
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    "The Immigrant" propose une superbe affiche, des décors réussis, un climat parfois oppressant et une Marion Cotillard parfois très belle : ça c'est pour les aspects positifs (très secondaires, il faut bien l'avouer...). Pour le reste, c'est long, d'une platitude pathétique (ok j'avoue : je me suis endormi sur la fin après avoir réussi à résister pendant plus de 01h30...), d'un jeu fade (Marion Cotillard chouine du début à la fin - et tant pis si elle a de bonnes raisons pour cela, elle est pénible ! -, Joaquin Phenix - pourtant que j'adore - ne semble pas très motivé, alors que Jeremy Renner tire peut être le mieux son épingle du jeu d'ensemble - sans autant d'éclat que d'habitude cependant), pour faire court. Un film que je vais rapidement oublier, malgré - encore une fois - la beauté de son affiche et la richesse potentielle de son sujet, comme quoi...
    Georges P.
    Georges P.

    74 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2014
    Une très bonne évocation de l'arrivée aux États Unis dans les années 20.
    chastag1
    chastag1

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    C'est incontestablement un excellent film avec d'excellents acteurs. Marion Cotillard joue juste, prête à tout pour sauver sa sœur, Joachim Phoenix a une présence formidable comme d'habitude, alors pourquoi sort-on de ce film sans être bouleversé, mystère. Il y manque quelque chose que je ne saurais définir pour qu'on sorte de la salle pas tout à fait comme on y était entré ... Peut-être s'attendait-on à autre chose qu'une histoire brève et un peu sordide même si le sacrifice de Phoenix à la fin du film racheté la médiocrité de son personnage.
    gjolivier1982
    gjolivier1982

    66 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    The Immigrant est un objet cinématographique dont on ressort mitigé. La mise en scène est souvent sublime, il y a des plans absolument magnifiques (dont le dernier) et des scènes qui sont vraiment touchées par la grâce, de plus l'interprétation de Marion Cotillard et de Phoenix est exceptionnelle. Malgré tout, l'ensemble sonne un peu froid et est un peu artificiel. Jeremy Renner n'est pas toujours très juste. Enfin, le montage manque très certainement de rythme et est un peu trop répétitif.
    Zoé B.
    Zoé B.

    465 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    "The Immigrant" ou l’envers du rêve américain. Avec ce 5ème film, inspiré semble-t--il de son histoire familiale, James Gray a choisi de plonger dans le passé. Nous sommes dans les années 20, l’époque où l’Europe ruinée par la grande guerre envoie ses pauvres par bateaux entiers. "Les Mariées" de Pantelis Voulgaris, et "Golden Door" d’Emmanuel Crialese, deux films européens, avaient déjà traité le sujet de l’immigration des femmes. La traversée en était le temps fort, c’était sur le bateau que se cristallisait l’espoir d’une vie meilleure. Mais Gray est américain. L’histoire d’Ewa, il l’a fait démarrer en Amérique, à Ellis Island, la grande gare de triage des immigrants, à la fois porte d’or et centre de rétention. Séparée de sa sœur, atteinte de tuberculose, condamnée à être renvoyée en Pologne, Ewa est sauvée in extremis par Bruno Weiss, un souteneur qui l’avait repérée - officiellement, patron d’une troupe de théâtre burlesque (la scène comme antichambre du bordel). Ewa va bien sûr devoir vendre son corps…. Après avoir inventé un genre, le film noir familial, et signé coup sur coup 3 chefs-d’œuvre ("Little Odessa", "The Yards"," La nuit nous appartient"), puis nous avoir surpris avec un pur film d’amour ("Two Lovers"), Gray livre ici son premier mélo. On retrouve évidemment quelques uns de ces thèmes fétiches : l’opposition du bien et du mal, comment leur discernement est compliqué par l’irruption du sentiment, la trahison, le sacrifice comme tentative de rédemption… On retrouve aussi, pour la 4ème fois, Joachin Phoenix, impérial ici en mac cupide et manipulateur, rongé par l’amour. Qui à part lui, pouvait rendre les tourments de cette âme malade, lui donner cette densité, cette versatilité magnifiques ? A ses côtés, Marion Cotillard est carrément époustouflante. Belle et expressive comme une actrice du muet, et à mille lieues de ses précédentes compositions, elle incarne une Ewa inoubliable. La mise en scène de Gray est classieuse, la photo de Darius Khondji d’une beauté saisissante. D’où vient alors que ça ne marche pas tout à fait ? Qu’on regarde cette histoire comme derrière une vitre, sans être touché vraiment, sans jamais retrouver les accents bouleversants de "Two Lovers" ?… L’intrigue peut-être, cette histoire d’un autre temps, qui tient d’ailleurs moins de Dostoievski, que de la Comtesse de Ségur ou d’Hector Malot, version adultes.
    lucilla-
    lucilla-

    60 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Certes, ce n'est pas le chef d'œuvre qu'est "Two lovers", mais c'est un très beau film, où la charge émotionnelle agit comme en sourdine, sans en avoir l'air.. C'est un mélodrame magnifique,un opéra tragique, qui accroche dès le début pour ne plus nous lâcher. "Mon cœur a le goût du poison".. On pense à Dostoïevski bien sûr et on garde le dernier plan en tête pour longtemps. Joaquin Phoenix est superbe et Marion Cotillard, dont je ne suis pas particulièrement fan pourtant, remarquable.
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