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    The Immigrant
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    377 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Marion Cotillard est sublime dans ce film ...allez le voir et vous verrez par vous même
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Film long très très long....on a du mal a y croire. Scénario un peu trop facile a mon goût. C est dommage car le thème aurait pu être intéressant. Marion Cotillard est assez fade malgré un bon accent polonais. Je déconseille ce film. En sortant de la salle les autres spectateurs étaient du meme avis que moi
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Je l'ai déjà dit ici, James Gray est selon moi le meilleur cinéaste en activité au monde. En quatre films, il a réussi l'exploit d'être traité par ses pairs comme un réalisateur de génie, malheureusement peu reconnu par la presse spécialisée outre-atlantique et boudé par les spectateurs américains. Aussi, jusque là, chaque film qu'il réalisait était meilleur que le précédent, ce qui ajoutait au côté légendaire de la chose. Two Lovers, le dernier en date, est mon film préféré et j'étais curieux de voir comment James Gray allait s'en sortir pour continuer sur la même dynamique avec son nouveau film. The Immigrant se passe au début du siècle dernier, au cœur du système d'immigration américain et de l'endroit de transition obligatoire pour ceux qui débarquaient sur la côte Est, Ellis Island. Marion Cotillard joue le rôle d'une immigrée polonaise qui arrive aux USA avec sa sœur malade, laquelle se retrouve coincée sur l'île en attendant d'être soignée. Marion se retrouve seule, livrée à elle-même, dans un monde qu'elle ne connaît pas. Elle trouve alors une solution, moyennant sacrifice, auprès d'un personnage sombre et mystérieux, l'inévitable Joaquin Phoenix, qui lui propose son aide pour tirer sa sœur d'affaire. Évidemment, cette aide n'est pas gratuite, et la petite Polonaise devra vendre corps et âme pour sauver la seule personne de sa famille qui compte encore pour elle. Les deux acteurs principaux sont excellents ; Cotillard avec son accent polonais qu'elle a dû travailler énormément tant il paraît naturel, et Joaquin Phoenix tiraillé entre l'amour qu'il porte pour sa préférée et sa cupidité qui le pousse à la manipuler à ses propres fins. Vu du côté de Marion, on est fasciné par cette espèce de syndrome de Stockholm auquel elle fait face. Il faut dire que son proxénète est le seul à pouvoir l'aider et que malgré tout le mal qu'il lui fait, elle lui doit presque la vie. Celle qui ne sait même pas manger une banane en arrivant là où tout est possible se familiarisera très (trop) rapidement avec l'anatomie masculine pour sauver sa sœur. Jeremy Renner a un rôle de détonateur, peut-être moins crédible et moins évident que les deux autres, mais il parvient à s'en sortir tout à fait convenablement. Sur le plan visuel, le film est magnifique. Les couleurs, les plans, la lumière, offrent le meilleur du possible et sont un régal pour les yeux. Au final, ce film est à mon avis le moins bon de James Gray, mais il n'en reste pas un bon film pour autant.
    Speedy G
    Speedy G

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    J'y allais pour James Gray. Quelle déception ! Le film est d'un ennui intersidéral et Cotillard est irritante. Un calvaire...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Je ne sais pas quoi penser de ce film. C'était très long, je m'attendais à autre chose. Je l'ai vu en VO il faut admettre que Marion Cotillard joue très bien en anglais avec l'accent slave. Mais je n'ai pas très bien compris pourquoi le dénouement est aussi linéaire, il ne se passe quasiment rien durant tout le film, alors qu'avec ce synopsis on aurait pu avoir quelque chose de grandiose car tout était là (NY, les années folles, la danse, le milieu de la prostitution, la corruption, l'immigration..) et non. Tout cela reste plat.
    guifed
    guifed

    66 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Entre tragédie shakespearienne et satire sur l'American Dream, James Gray a voulu mettre en perspective deux idéaux porteurs d'espoir et briseurs de vie: le rêve d'un au-delà meilleur, et l'illusion de l'amour. Avec The Immigrant, ne vous attendez donc pas à un film larmoyant à souhait sur la misère qu'ont pu connaître les immigrés du début du XXème. James Gray a visé plus haut, plus fort, plus noir et plus complexe. Mais encore fallait-il atteindre ce but affiché. La réalisation s'avère au final plutôt fade, malgré les quelques jaillissements photographiques de l'excellent Darius Khondji. Marion Cotillard, elle, resplendit comme jamais. Elle montre encore son incroyable faculté à pénétrer au plus profond de ses rôles, à les incarner jusqu'à la moelle. Joaquin Phoenix est lui aussi parfait en escroc invétéré.
    Malgré ces belles performances, on ne ressent pas grand chose, la mayonnaise ne prend jamais vraiment. Ne reste plus qu'à saluer l'ambition. La prochaine fois, autant mettre les moyens, Monsieur Gray?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Après le très intimiste Two Lovers (2008), James Gray réembarque pour la quatrième fois Joaquim Phoenix dans son univers mais cette fois dans une fresque d’époque se voulant plus classiquement grandiose et lui permettant d’aller jusqu’au bout de ses habituelles ambitions esthétiques. Œuvre visuellement travaillée au millimètre près, The Immigrant est comme un grand tableau de la Renaissance exposé derrière une vitrine : aveuglant de beauté mais très loin des hommes.

    James Gray est un virtuose, nul doute là-dessus. The Immigrant est, encore, une vibrante preuve de sa capacité à illuminer chaque scène, chaque plan et chaque centimètre offert à la sensibilité de ses caméras. Jeu d’ombres et de lumières magnifiquement orchestré, son film atteint une forme de perfection esthétique où nombre de ses plans évoquent presque des tableaux de maître tant la richesse des gammes de couleur à l’écran semble venue d’ailleurs.

    Les amoureux du style seront donc sans doute éblouis par la grâce visuelle parcourant The Immigrant. Ajoutez à cela deux acteurs oscarisés ou oscarisables avec Marion Cotillard et Joaquim Phoenix, une plongée dans les profondeurs mythiques du rêve américain et vous obtiendrez un film semblant venir d’un autre temps, celui des grands mélodrames de l’âge d’or d’Hollywood. Il suffirait presque de fermer les yeux quelques secondes pour imaginer Audrey Hepburn, Cary Grant et Humphrey Bogart apparaître à l’écran comme aux plus belles heures du cinéma américain. Une machine à Oscars en quelque sorte, qui ne semble d’ailleurs pas avoir peur d’afficher ses ambitions de sublime.

    Il manque pourtant quelque chose à The Immigrant une fois passée cette épaisse couche de vernis et de poussière délicatement instillée. Tout est en effet tellement poli, tellement ciré, tellement soigné dans le monde de James Gray qu’il ne semble y avoir de place pour rien d’autre que son obsession de la pureté, étouffant littéralement toute émotion qui n’entrerait pas dans sa grande machine esthétisante. Dans ce cinéma, expurgé de toute liberté de jeu, il n’y a plus de places pour les corps, qui pleurent mécaniquement comme des poupées de cire mais ressemblent plus à des créatures du Musée Grévin qu’à des êtres de chair.

    Purs esprits, ses personnages semblent en effet tous habités par la même peur de se dévoiler que le film de James Gray est effrayé à l’idée de sortir une seconde de son pesant carcan formel. Peu aidés en cela par des répliques souvent toutes faites et une trame dramatique assez prévisible, ses acteurs paraissent coincés dans une armure de velours, ne sachant que faire de la psychologie pour le moins sommaire de leurs personnages. Même Joaquim Phoenix semble incapable de transcender ce discours policé à l’extrême, ses accès de violence frisant parfois la caricature. Un problème que ne peut avoir Jeremy Renner, esclave d’un personnage traversant le film comme un fantôme.

    Le seul élément de discours identifiable du film est au final à chercher dans un catéchisme mystico-religieux aussi pénible que confus, culminant dans une scène finale qui constitue tout sauf un sommet, Joaquim Phoenix essayant en un plan d’instiller toute la rage et l’émotion manquant au reste du film, pari malheureusement impossible. Croyant pouvoir combler son manque d’audace scénaristique et psychologique par une surenchère d’effets de style, The Immigrant se fait statique et finit presque par provoquer l’ennui, le formidable moteur esthétique de James Gray semblant tourner dans le vide.

    Telle la statue de la Liberté, son film est finalement un monstre froid, terriblement imposant de loin mais de plus en plus vide à mesure que l’on s’en approche.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Les trois acteurs de ce drame livrent d'excellentes performances. Marion Cotillard passe du polonais à l'anglais (avec accent polonais) de manière impressionnante et les personnages masculin sont touchant. On se demande toujours si le magicien n'est pas un menteur et jusqu'où va aller Bruno. Un bon James Gray !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    l'ambiance visuelle du film est assez réussie, et la situation de l'héroïne dramatique à souhait, pour cela Marion Cotillard était l'actrice idéale : elle incarne à la fois la résignation et la détermination sans devoir employer des trésors de jeu d'acteur grâce à son petit minoi irrésistible
    même si le film traine en longueur et s'adresse au spectateur de base (tout est très clairement expliqué, rien n'est évoqué avec légèreté), on passe quand même un bon moment
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Difficile de se dire que James Gray pour son grand retour après le dramatique Two Lovers ait pu faire un film si moyen. Si au niveau de la réalisation, des acteurs (Cotillard est.. géniale et Joaquin comme d'habitude) et de la photographie on approche la perfection, mais le scénario est tellement vu et revu (malgré les quelques petites touches sur l'histoire des états unis (immigration et tout ça) que le film nous plonge dans l'ennui.. Il ne nous reste plus qu'a admirer la beauté de chaque plan et Cotillard dans un de ses meilleurs rôle (même si elle parle polonais).
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Franchement ? nul et des acteurs peu credibles, a fuir !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Après avoir vu "The Yards", un véritable chef d'oeuvre, puis "La nuit nous appartient", un très bon film, "The Immigrant" laisse assez indifférent. Joaquin Phoenix et Jeremy Renner sont tous les deux fabuleux dans leur rôle, par contre Marion Cotillard... est un peu l'erreur de casting. Son personnage est assez banal, elle ne fait ressentir aucunes émotions et n'a pas un caractère très intéressant. Le jeu de l'actrice n'est pas au niveau de ses deux partenaires. Ce qui lui arrive est également déja vu et revu, se prostituer pour gagner sa vie manque cruellement d'originalité pour un film de la sorte. Le personnage de Jeremy Renner a été assez expédié, celui qui aurait pourtant pu être le plus intéressant, ce qui rajoute une certaine déception. L'intrigue tourne en rond, sans véritable résultat. Le contexte aurait pu donner une superbe histoire, malheureusement James Gray n'en a fait qu'un résultat plat et ennuyeux.
    Hallyne de Cinéglobe
    Hallyne de Cinéglobe

    24 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    James Gray nous emmène dans l'univers du rêve américain des années 20, en suivant le parcours de Magda (Marion Cotillard), une jeune polonaise fraîchement débarquée dans la ville. La reconstitution d'époque et la photographie sépia nous plongent dans une ambiance tragique, formelle, calibrée pour le grand écran.

    Recueillie par Bruno (Joaquin Phoenix) et son café-théâtre, Magda arpente rapidement les bas-fonds de la prostitution. Les personnages sont travaillés dans la profondeur pour donner à cette histoire une épaisseur plus émotionnelle. Le jeu passive de Marion Cotillard peut quant à lui susciter quelques hésitations.

    La mise en scène est relativement statique, avec des effets classiques qui ne donnent pas un montage très vivant. Le cinéaste nous enferme dans une bulle affective qui contraste avec la noirceur des images et qui fait bien ressortir toute l'ambiguïté de la situation. Ce point de vue est assez saisissant pour palier la platitude de l'action et d'un sujet assez vu.

    "The immigrant" demeure ainsi un film soigné et intimiste, centré sur la force des sentiments (le combat de Magda pour sauver sa soeur, sa relation avec les hommes). Le propos social et politique reste au final un peu réduit.

    Proprement réalisé, proprement tragique.
    Sabrina S
    Sabrina S

    40 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Excellent film. Très prenant. Une Marion Cotillard qui excelle toujours. Émotions au rendez vous. A voir !
    Myene
    Myene

    19 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2013
    Apparemment loupé le contact avec le public et la critique,les avis sont plutôt mitigés avec en filigrane un procès en classicisme qui ferait de cette oeuvre un poncif lénifiant, pour ma part je trouve le réalisateur au mieux de ce qui fait le sens de son oeuvre , les incertitudes de l’âme avec les conflits internes quasi cornéliens .Il est vrai que Gray est toujours moral depuis the Yards ici il est pour moi carrément Dostoievskien avec Marion Cottillard en héroïne entraînant dans sa chute la remise en cause de tous Pour apprécier ce film au rythme lent,à la reconstitution très léchée et au triangle amoureux stéréotypé Il faut aussi apprécier une lecture littéraire J'ai été’ intéressée par ces itinéraires de rédemptions croisées ou la dichotomie manichéenne est sans cesse remise en cause et ou les personnages ne se révèlent que dans l’abîme et ne s'épanouissent que par le pardon Ce sont des parcours christiques ou l'immigrée peut être l"âme, pour beaucoup ces références sont inconnues. Les acteurs se tirent tous bien de cette difficile partition on sent que le réalisateur a tiré le meilleur de la sensibilité de chacun .Pour moi cette réalisation un peu mal aimée est un futur film culte.
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