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    The Immigrant
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    3,1
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    377 critiques spectateurs

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    eckman
    eckman

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2014
    excellent filme avec des grands acteurs. Ambiance enorme mais sombre autant dans les decors que ds l'action. Phoenix splendide mais Cotillard ausi.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 janvier 2014
    Autant j'ai aimé Two Lovers, autant je n'ai pas apprécié ce film malgré son sujet intéressant. Quelques belles images certes mais voilà j'ai trouvé ce film déprimant. De plus cette œuvre n'a pratiquement aucun intérêt avec son sujet principal : l'immigration.
    Nous suivons une polonaise Ewa incarnée par Marion Cotillard et sa sœur Magda qui décident de venir vivre en Amérique à la recherche d'une vie meilleur. Seulement Magda est mise en quarantaine et Ewa va tout faire pour la sortir de cette situation.
    Bruno incarné par J. Phoenix est celui qui va faire subir à la femme qui l'aime une descente aux enfer.
    Ewa, polonaise n'a pas d'autre choix que de suivre Bruno par dette envers lui spoiler: (Bruno a évité à Magda l'expulsion car considéré comme une femme de petites vertus)
    et pour éviter l'expulsion à sa sœur.
    Le magicien cousin de Bruno est un personnage qui aurai mérité plus de profondeur.

    Plus le film avance et plus il s'éloigne du sujet principal. Dommage car beaucoup de questions aurait pu être abordées par ce long métrage : la place des immigrés en Amérique, l'intégration ect.... Et là pas du tout. Et pour cause; l'idée du trio amoureux est pour moi une très mauvaise idée. Comme la rivalité entre Phoenix et Renner spoiler: qui finira dans le meurtre.

    Ce film n'est pas très émouvant mise à part la dernière scène : spoiler: (Ewa est prête à pardonner tandis que Bruno effectue deux gestes ultimes : accepter de se rendre pour le meurtre et aide Ewa et sa sœur à s'échapper; il n'accepte pas le pardon de Ewa : "si tu lèche mon cœur tu verras qu'il a le goût du poison").
    il en est de même pour les acteurs.
    Phoenix est plutôt bien dans son rôle, Renner est pas mal même si il est difficile de juger car son rôle n'a pas beaucoup d'ampleur et quand à Cotillard même si c'est sa meilleur interprétation dans un film US je n'ai pas aimé le fait qu'elle garde la même expression dans plus de la moitié du film.
    Je m'attendais à mieux venant du réalisateur. il est compréhensible que le film soit reparti bredouille du festival de Cannes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 décembre 2013
    James Gray c'est tout simplement trompé de personnage principal. Son film ne touche jamais. N'intéresse vraiment que très peu. Car le destin de ses deux soeurs ne devait servir qu'à raconter l'histoire de celui qui les exploite et en souffre : le personnage de River Phoenix.
    + gros bémol sur l'image jaunasse et tendance de Darius Kondji le chef op!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    C'est mon 1er James Gray et si c'est son moins bon film, ça laisse augurer de bonnes choses pour la suite...J'ai pas été emballé malgré un casting intéressant mais on va mettre ça sur le compte d'un scénario qui m'a pas trop intéressé et qui sentait le déjà vu. Les acteurs s'en sortent bien, Renner et Phoenix laissent planer le doute .. bon ou méchant. Il y a juste Cotillard que j'ai trouvé par moment, un peu intimidé par l'ampleur du projet mais qui relève le défi haut la main. Un réalisateur à découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Une très belle palette de comédiens. Un New-York que l'on n'a pas du tout envie d'humer. Un très bon film auquel il manque néanmoins quelque chose. Sans doute ce qui lui a ravi des palmes à Cannes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    ....mais qu'est-ce qui cloche? On sort du dernier James Gray - son 5ème film en vingt ans ! - avec un sentiment curieux. Rien à voir avec de la déception. Juste une toute petite sensation d'insatisfaction. Parti pour s'abîmer dans un mélodrame crépusculaire, on en émerge par moments comme si on manquait d'oxygène émotionnel. Quand, par exemple, Bruno Weiss, mi-saltimbanque mi-proxénète, et son cousin Emil, illusionniste équivoque, s'étripent pour Ewa, la jeune Polonaise échouée à Ellis Island face à new York, en 1921, on sent que la triangulation amoureuse souffre de froideur et qu'on frôle l'incandescence pulpeuse du mélodrame.
    Il est vrai que "mélodrame" est un mot casse-gueule toujours dévoyé par les bien-pensants, le plus souvent réduit à ses ingrédients tire-larmes et caricaturé quand l'apocope scélérate en fait juste un "mélo", équivalent d'une millefeuille étouffe-chrétien qu fait fuir les esthètes orthodoxes.
    James Gray, depuis "Little Odessa" (1994), nous rappelle que le mélodrame reste fondamental au cinéma. D'une folle diagonale qui relierait David th, Charlie Chaplin (auteur d'une autre "The Immigrant" réalisé en 1919!), Luchino Visconti, Douglas Sirk, Jean Grémillon et Francis Ford Coppola, il se situe dans ce cinéma essentiel qui émeut et nourrit tout en provoquant nos réflexions. Le moteur du mélo, c'est en effet la mélancolie que le romancier Hector Bianciotti assimile fort justement au "seul sentiment qui pense".
    Le nouveau film de James Gray, c'est ça : simplicité de l'intrigue (comment Ewa fuit l'enfer de la Grande Guerre pour se perdre dans un purgatoire, à mille lieues du paradis que n'a pas été le Nouveau Monde), description jamais esthétisante d'un New York cloaqueux où domine la loi de la jungle, téléscopage ironique de la piété et de la débauche (église et bordel, même combat), importance de la famille confrontée au vice, à la tuberculose et à la trahison. On voit ainsi que la froideur pointée plus haut n'est qu'apparente. Comme la statue de la Liberté qui ouvre le film ressemble à un mirage à l'opposé du magnifique plan terminal.
    Sans Marion Cotillard, ce mélodrame ne serait rien. Virginale et putassière malgré elle, l'actrice campe une sublime Ewa qu'elle ne surjoue jamais (hormis quelques petits excès lacrymaux). Quand James Gray cadre Ewa dans des gros plans, c'est comme s'il la purifiait pour mieux dessiner ses traits et faire vibrer son âme torturée. Marion Cotillard, libérée des "petits mouchoirs" synthétiques que lui fabrique parfois Guillaume Canet, déploie en douceur un faisceau de crispations, de tumultes et de froissements. D'aucuns l'assimilent à Lilian Gish, l'égérie de Griffith. En dépit de son ambiguë blondeur, elle renoue davantage avec les stars des grands mélos italiens d'après-guerre comme Silvana Mangano ou Alida Valli.
    Finalement, on a bien fait d'être aller re-voir "The Immigrant" de James Gray...
    Fernand-Joseph Meyer / in "La Semaine" (Metz-Nancy) du 5 décembre 2013.
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    45 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    C'est académique mais efficace aussi. Et c'est la 2eme performance de Cotillard que j'apprécie, après celle de "De rouille et d'os"... comme quoi une actrice peut enchaîner le calamiteux et l'excellent en fonction de la direction d'acteur. Et le réalisateur James Gray est, à l'image d'Audiard, largement au-dessus de la mêlée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    du grand cinéma hollywoodien, très belle image, belle interprétation, mais il manque une retenue ou des creux qui nous happeraient davantage. je suis resté spectateur et peu ému par ce film.
    Flore A.
    Flore A.

    35 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2014
    Une belle fresque historique et romanesque, soutenue par un trio d'acteurs très bien dirigés par James Gray, qui touche en dépit de quelques longueurs.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    Pas génial. J'ai trouvé qu'il se passait pas grand chose. Les acteurs sont bons, en particulier Joaquim Phoenix que j'ai trouvé excellent mais voilà, c'est long, ça traîne un peu des pattes pour une scénario pas roquanbolesque. Et puis Marion Cotillard est déprimée du début à la fin du film sans interruption. Jdis pas que j'aurais rigolé en vivant ce qu'elle vit dans le film, mais ca devient un peu pesant à la longue. Marion c'est pas de ta faute, tu joues très bien, c'est la faute du scénario.
    Bref un film surement très bien mais que j'ai trouvé assez chiant...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    On retrouve dans ce nouveau drame de James Gray, tout ce qui est propre à ses films : la famille, l'amour et ses déchirements, la ville de New York et l'habitude de placer ses protagonistes face à des dilemmes qui vont forcément avoir de cruelles conséquences. De ce côté, James Gray est une sorte de Shakespeare de notre époque. Mais, cette fois, il choisit un film d'époque, avec une réalisation très classique pour traiter de la relation ambigue entre une immigrée Polonaise et son protecteur, fourbe et intéressé. Il faut souligner d'ailleurs les remarquables performances de Marion Cotillard et Joaquin Phoenix pour ces deux rôles. Mais on retrouve moins la patte Gray dans ce film, un peu trop travaillé sans doute pour coller au plus près de l'époque, au détriment de son scénario qui tourne en rond pendant un moment avant de véritablement reprendre pendant la dernière demi-heure. Un vrai film de mise en scène mais probablement pas le meilleur de son réalisateur.
    Manu711
    Manu711

    63 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2013
    Ah Dieu sait si j’ai attendu ce moment : voir mon premier Gray au cinéma. Two Lovers est sorti il y a bien longtemps et je dois avouer que je ne vouais pas encore de culte à ce bonhomme à l’époque. Si avec The Immigrant l’histoire ne m’attirait pas plus que ça, le casting avait en revanche toute mon attention avec la présence de Cotillard, Phoenix et Renner. Je n’ai malheureusement pas eu la chance de le voir dans des conditions optimales, étant plus ou moins assis les uns sur les autres dans une salle ne proposant qu’un écran de 5,40m seulement. Mais quel beau film quand même. Dans la construction ça m’a un peu rappelé Two Lovers avec dans le rôle principal un personnage complètement perdu mais qui n’a pas définitivement abandonné la volonté de se battre pour une vie meilleure. En revanche Two Lovers était pour le coup encore mieux écrit en ce qui concerne les enjeux et les relations qui lient les 3 personnages. The Immigrant s’avère être plus simple mais peut-être aussi plus tragique, plus dramatique. Je me suis dit à la fin que Gray aurait pu approfondir un petit peu plus le sujet, mais que finalement on a une telle reconstitution d’époque, autant au niveau des décors, des costumes ou encore du jeu, que j’en étais quand même comblé. En plus Gray nous sert probablement l’une des meilleures ambiances de l’année avec une photographie et une bande-son magnifiques. Pas son meilleur film, mais un très bon mélodrame quand même.
    Wouppa
    Wouppa

    3 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    L'histoire nous emporte dans le début des années 1920, l'environnement est magnifiquement reconstitué et on passe un très bon moment.
    Les rôles bien interprétés, bien que j'ai parfois eu un peu de mal avec ard, qui adopte les mêmes attitudes dans tous ses films et ne surprend plus trop.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    90 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2013
    "The Immigrant" est un film crépusculaire au scénario impeccable, touchant au chef-d’œuvre. Marion Cotillard crève l’écran dans ce rôle d’émigrée tombant sous la coupe d’un proxénète au comportement ambigu. Ellis Island apparaît comme un majestueux décor de cinéma, porteur d’autant d’espoirs que de désillusions. Quant à la ville de New York, elle n’est jamais vraiment explicitée par la présence de monuments particulièrement connus, renforçant l’impression que c’est dans une impasse qu’est tombée Ewa. Sans manichéisme, James Gray dévoile peu à peu l’âme véritable des personnages, dans la plus pure tradition du mélodrame : les destinées de chacun se découvrent à l’aune de l’évolution de leurs personnalités. On retiendra aussi quelques idées absolument remarquables, dont Marion Cotillard grimée en Lady Liberty ainsi que la course-poursuite dans les tunnels new-yorkais, excellent témoin de la divine photographie qui règne sur le film.
    patricemenard7
    patricemenard7

    14 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2014
    Il y a parfois des situations délicates où la critique devient superflue. Ces moments, où les mots ne décrivent même plus le talent. En l’occurrence, James Gray est de retour. Avec un casting de renom, une image sublime ( à noter le travail fabuleux de Darius Khondji qui m'a fait penser à l'age d'or hollywoodien: les années 70 ), et un scénario évoquant la situation des immigrant sur un nouveau territoire, ce dernier réussit à faire opérer la magie du cinéma qui lui va si bien. Comme l'avait fait Leone avec " Il était une fois en Amérique " où Coppola dans la saga " Le Parrain ", Gray montre que l'âge d'or des Etats-Unis, l’émergence qu'elle a connu au début des années 20, ainsi que ces fondements, ne sont pas si glorieux que ça. Tout en gardant son talent propre, il ajoute le conflit opposant les deux personnages principaux et toutes les péripéties qui vont arriver à ce triangle de personnages afin de constamment renouveler notre intérêt envers le film. Le tout est fluide et bien fait, voir même trop bien fait. A vouloir être trop réaliste, Gray perd en efficacité émotionnelle et ses acteurs n'arrivent pas à saisir dès le début l’ambiguïté, certes crédible, qui réside en chacun de ses personnages. Le film est donc crescendo qualitativement et ne révolutionne pas le style de son metteur en scène qui gardera les mêmes détracteurs après cette oeuvre. Il a tout de même réussit à me transporter et à légèrement m'émouvoir grâce à une mise en scène travaillée, mais objectivement je dois l'avouer cela n'est le chef d'oeuvre tant attendu du papa de " La nuit nous appartient " ou " Two Lovers " et tout ses autres anciens films. " The Immigrant " n'est QUE un bon James Gray.
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