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    The Immigrant
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    377 critiques spectateurs

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    Philippe T
    Philippe T

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    c'est la premiere fois depuis 50 ans que je m'endors devant un film! seul le dernier quart d'heure est potable!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Dans "The Immigrant", James Gray nous plonge dans le New York des années 20 en offrant aux spectateurs une vraie beauté visuelle. A l’aide de la sublime photographie de Darius Khondji ("Seven", "My blueberry nights", "Amour"), le cinéaste capture ce New York des bas-fonds où vivent les populations les plus pauvres, souvent immigrées et dont les femmes sont généralement forcées à la prostitution. Gray filme aussi les théâtres de variétés, les coulisses, les paillettes, les costumes, les couturières, les spectacles de magie, mais surtout une ambiance nocturne à Manhattan. La lumière du film, proche des teintes sépia de vieilles photos jaunies fait son effet.

    Esthétiquement, la reconstitution historique est réussie (lumière, photo, image ocre, décors, costumes, un millier de figurants). De beaux tableaux visuels reflètent justement le New York du début de XXème siècle. En revanche, le fond historique est inexploré, quel dommage ! Le film aborde pourtant le thème des nouveaux arrivants à Ellis Island de 1892 à 1924. Mais non ! On n’apprend rien à ce sujet. Seule la première scène du film nous montre le débarquement de milliers d’immigrés à Ellis Island et un personnage principal (Joaquim Phœnix) qui y recrute des femmes célibataires auxquelles on refuse l’entrée aux Etats-Unis et les enrôle dans son harem.

    La musique (Puccini, Gounod, Wagner) est belle, mais omniprésente dans ce film; elle cache en réalité un scénario bien pauvre, une histoire plate dénuée d’intérêt, sans aucun rebondissement, ni rythme. Marion Cotillard ne s’exprime qu’en pleurant et le personnage de Joaquim Phœnix manque de crédibilité. On ne croit pas une seule seconde à l’amour que le personnage principal peut éprouver pour l’héroïne. C’est tordu. La fin du film prend une tournure ridicule. Beaucoup de naïveté dans l’écriture de cette histoire. Ce mélodrame américain est donc finalement très simpliste. L’esthétisme à lui seul ne suffit pas !
    Louis Morel
    Louis Morel

    50 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Poétique et visuellement abouti, "The Immigrant" est sans doute le film le plus réussi de James Gray.
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    331 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    Marion Cotillard a beau être très mauvaise quand il s'agit de mourir, elle reste relativement convaincante dès qu'elle incarne des cul-de-jattes ou des immigrés polonaises. Même si on peut être perplexe sur le fait que James Gray ait choisi une française pour jouer une polonaise (prendre un polonaise aurait été moins prise de tête (même si le polonais de Marion Cotillard est parfait (putain, je suis tellement punk que je met des parenthèses dans des parenthèses dans des parenthèse. Mise en abyme de ouf !

    . Joaquin Phoenix n'est pas en reste puisqu'il prouve une fois de plus qu'il est l'un des plus grand acteur de sa génération.
    Quant a James Gray, la maîtrise est absolue. De la réalisation impeccable jusqu'à la photo chaude et rétro, sublimé par le grain de la pellicule. "The immigrant" mérite bien sa qualification de "drame". Si vous allez au cinéma pour vous poiler, alors ce n'est pas la peine de payer votre place. Marion Cotillard porte tellement la poisse que l'on va jusqu'à se dire que c'est un poil exagéré. On se rassure avec la retenue dont fait preuve James Gray qui parvient à filmer des scènes émouvantes sans sombrer pour autant dans la pathos larmoyant. Avec "The immigrant", ont est loin de la grande fresque historique, dont James Gray semblait vouloir s'approcher, mais il n’empêche que le résultat est plus qu'honnête.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    The Immigrant est un film qui en fait à la fois trop et pas assez. Donc un film plutôt raté même s'il se laisse regarder comme on dit.

    Trop de poncifs et de bons sentiments dans cette évocation du New York des années 1920 en font une histoire peu crédible, plus proche du téléfilm de Noël que la fresque historique. Ewa, jeune immigrante polonaise orpheline, arrive en Amérique sur un grand bateau peuplé des rêves du vieux continent. Mais sa jeune sœur, tuberculeuse, doit rester en quarantaine et Ewa est refoulée, car elle est accusé d'avoir des mœurs légères, que son oncle d'Amérique prend d'ailleurs pour prétexte pour lui tourner le dos. La pauvresse a en fait été violée durant la traversée et elle ne doit finalement son ticket d'entrée aux États-Unis qu'à l'opportunisme d'un proxénète new-yorkais, Bruno, qui soudoie les gardes afin de recruter de nouvelles filles. Faisant mine d'aider la jeune femme perdue et lui faisant valoir qu'il lui faudra beaucoup d'argent pour faire soigner sa sœur et la faire entrer dans le pays, il la convainc de se prostituer. Dans cette situation bien sombre, l'apparition d'Orlando, cousin de Bruno figurant un peu son double bienfaisant, redonne le sourire et l'espoir à Ewa. mais le drame couve... et la coupe est pleine, n'en jetez plus !

    Et avec ça, pas assez de flamboyance dans les sentiments pour emporter le spectateur. Sans passion, les poncifs n'ont pas vocation à l'universel et la bluette ne se transforme jamais en mélo déchirant. En Cosette d'Ellis Island, Marion Cotillard reste froide; cette femme dont le sens moral est éprouvé par la fatalité n'est jamais touchante, se montrant d'ailleurs toujours méprisante pour les autres prostituées. De même, Joaquin Phoenix n'est pas assez tourmenté en âme damnée tiraillée entre la noirceur de son existence et les sentiments qu'il éprouve pour Ewa. J'aurais aimé voir ces deux êtres si antagonistes consumés par leurs contradictions et leur attirance, entre chute et rédemption. J'aurais voulu pouvoir y croire un minimum en tout cas.

    Pendant la projection, j'ai pensé que ce genre d'histoire passait souvent mieux sous forme de comédie musicale, les chansons étant un bon vecteur d'émotions. Peut-être que ça aurait pu marcher. Une nostalgie de L'opéra de quat' sous sans doute...
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Il était une fois une femme aussi belle que miséreuse, perdue dans un pays qu'elle ne connaissait pas. Mais ce qu'elle croit être le prince charmant va venir la secourir et lui offrir son aide pour qu'elle ne manque de rien. Au fil du temps, elle s'aperçoit que cet homme n'est pas ce qu'il prétend être et se joue d'elle pour pouvoir la séduire. Jusqu'au jour où un mystérieux magicien apparaît devant elle comme par enchantement. Serait-ce le début d'une nouvelle vie ?

    Ceux qui connaisse le formidable James Gray ne seront pas forcément surpris par cette œuvre aux allures classiques. D'abord, un nouveau trio amoureux (Two Lovers) se dessine pour nous montrer toute la complexité de l'âme humaine. Mais cette-fois, le cinéaste donne le rôle principal à un personnage féminin, ce qui n'était jamais arrivé. Cotillard est par ailleurs crédible en immigrante sans le sou, même si c'est le monstrueux Phoenix qui montre une nouvelle fois tout son talent. Magistral en jouant un homme (encore) torturé, passer de l'extrême candeur à la plus noire terreur n'est pour lui qu'une simple formalité.

    Ensuite, Gray s'est toujours montré friand des relations familiales pour la plupart déstructurées. À peine le pied posé aux États-Unis, les deux sœurs polonaises vont être séparées. Idem pour ces deux cousins que sont Bruno et Orlando. Ayant grandis ensemble, ils sont désormais les exacts contraires et ne sont pas sans rappeler la figure fraternelle du sombre La Nuit nous appartient. Avec The Immigrant, la tension ne monte jamais et reste stagnante. P eut-être justement trop « classique », le dernier film de Gray souffre un peu de lenteurs, et cela malgré un superbe éclairage du New-York des années 1920, froid, intime, menaçant.

    Enfin, l'amour est pour l'américain une notion très compliquée. Il réussit parfaitement la relation qu'il a créée entre Cotillard et Phoenix, bien plus sombre et tumultueuse qu'on aurait pu penser au départ. Cette sorte d'attraction / répulsion reflète également le caractère paradoxal de l'être humain, comme le réalisateur l'a toujours montré dans son travail (The Yards). Bref, The Immigrant est une création aboutie (repensons à la scène finale, fabuleuse), soit, mais c'est surtout le nouveau film d'un homme qu'on sait déjà capable de faire tout cela.
    Helene Lecuyer
    Helene Lecuyer

    13 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    J'ai été déçue par ce film que j'attendais pourtant, car je suis une fan des films d'époque en costume. Finalement, non seulement je n'ai pas été emportée, mais je me suis un peu ennuyée, j'ai trouvé la réalisation pleine de clichés, le jeu des acteurs masculins plutôt mauvais (à leur décharge, j'ai vu le film en VF ça a pu jouer), le scénario mal découpé car finalement on ne comprend pas, on ne "vit" pas le glissement des émotions de Marion Cotillard .... et le passage d'une situation semble toujours artificiel ....
    Bref, dans la catégorie films historiques on peut passer, et c'est dommage car la thématique, l'époque était pourtant très intéressante ....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    Un très beau décor et un bon trio d'acteurs mais on s'ennuie assez vite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    Je me suis ennuyé... C'était long, long, long... Et prévisible.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    pleurnichard à souhait,de grosses ficelles mélos pour tirer les larmes des spectateurs,un scénario qui tiens en 2 lignes,le tout dans l'obscurité.bref,deux heures d'ennui
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Bon moment mais petite déception pour un James Gray je dois dire. Tout y est parfait du scénario à la mise en scène en passant par l'interprétation biensûr mais il manque un petit quelque chose pour vous emballer un peu plus que ça... Malgré leurs bonnes prestations on a du mal à s'attacher aux personnages ce qui dessert le film grandement et termine presque par ennuyer! Presque, parce que c'est quand même un James Gray et on ne peut nier qu'il dirige bien son monde alors il y a quand même un minimum d'intérêt pour l'histoire en générale. C'est juste qu'il n'a pas su rendre ses personnages plus attachants pour créer un film captivant qui prend aux tripes....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 avril 2014
    Le film raconte une histoire passionnante : celle d'une immigrée européenne venue aux Etats-Unis avec sa soeur dans l'espoir d'une vie meilleure, et qui finit par sa prostituer dans un contexte d'incertitude aggravée par l'absence de sa famille, et plus particulièrement de sa soeur. Sauf que le film est chiant à mourir. La mise en scène est ultra conventionnelle, tout comme l'enchaînement des scène, tout comme les personnages. En particulier, le personnage central se révèle être sans aucun intérêt : comment faire un film autour d'un personnage central inintéressant ? Au passage, on notera la performance minable de Marion Cotillard, qui, à sa décharge, avait pour mission de passer l'intégralité du film à se lamenter lascivement. La scène finale, censée sauver le film d'un naufrage annoncé pendant deux heures, relève d'une caricature grotesque.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 janvier 2014
    Un melo imbécile avec une Marion Cotillard pleurnicharde et pathétique d'un bout à l'autre du film. J'ai failli partir et j'aurais dû le faire car la fin est encore plus terrible. À eviter
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 647 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    Commençons par les bonnes choses. La reconstitution du New York des années 1920 est superbe, la réalisation de James Gray est comme toujours très classe, la photographie de Darius Khondji touche au sublime avec ses teintes sépia, ses clairs-obscurs, ses jeux de focale (le dernier plan est magnifique). Côté interprétation, pas grand-chose à redire : Marion Cotillard est convaincante (voire étonnante lorsqu'elle parle polonais sans doublage) ; Joaquin Phoenix se montre très à l'aise dans un registre qui lui colle à la peau, noir et torturé (il surjoue toutefois un peu la scène finale). Quant au canevas général du scénario, il comprend quelques noeuds intéressants, notamment cette relation trouble entre Ewa et son souteneur, sur fond d'amour, de jalousie, de mépris, de reconnaissance, de pardon... Le problème, c'est que le film, dans son ensemble, laisse froid. On admire sa beauté plastique, mais on reste à distance de l'histoire. Tout à sa quête de virtuosité classique, James Gray ne cultive qu'un lyrisme aseptisé et vaguement suranné. Le récit se déploie avec élégance, certes, mais sur un rythme lent et monocorde, qui étouffe tout élan émotionnel. On peut trouver, par ailleurs, que le regard sur les migrants, le discours sur le rêve américain, ainsi que les variations sur le trio amoureux ne sont pas d'une originalité folle. On peut enfin se lasser, voire s'agacer, du fait que la réalisateur nous resserve, de film en film, plus ou moins la même soupe thématique et mélodramatique sur la faute et la rédemption.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Le film se regarde agréablement et l'ambiance générale charme, mais à mon sens il manque le petit "plus" d'émotion, de poésie et de finesse qui fait un grand film... Une mention spéciale pour M. Cotillard qui assure malgré la barrière des langues !!
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