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    The Immigrant
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    3,1
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    377 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 novembre 2013
    Excellent film ! Vu au Festival de Cannes, magnifique jeu d'acteur pour Marion Cotillard ! + des images vraiment magnifiques qui font voyager dans une autre époque. On ne reste pas insensible non plus à la scène finale, mais je vous la laisserez apprécier.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 décembre 2013
    D'un ennui à en mourir. On n'arrive pas à rentrer dans le film, c'est plat plat, l'histoire est banale, les personnages manquent de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 décembre 2013
    Très bon film, belle photographie, parfois quelques longueurs. Mais le véritable plus de ce film, c'est Marion Cotillard (dont je ne suis pas fan d'ordinaire), mais là WOW !!! Elle est juste magnifique, elle joue juste, et quel accent !!
    laurence l
    laurence l

    136 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2013
    Comme j'ai pu le lire dans d'autre critiques, je n'ai pas été transporté par cette histoire, les décors sont parfait, l'époque très bien rendu mais malheureusement je n'ai pas adhéré à cette e car les acteurs sont bien dans leurs rôles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Ah!...Postérité, quand tu nous tiens. Gray l'a enfin accouché son masterpiece à l'âme étasuniennoslave, depuis le temps qu'il en rêvait nous en faisant rêver aussi. C'est un film noir car le rêve idéaliste naïf américain du bonheur est plus collant, poisseux, que le vice humain qui survit à tout et partout pire qu'une colonie de cafards. L'espoir est une fleur du mal plus vénéneuse que la torture psychologique. Qu'il fasse toujours plus beau à l'ouest n'empêche pas que les uniques somptuosités qui resteront à la postérité seront celles des ces quêtes spirituelles alambiquées et plus pures qu'un grand cognac; ça ne se passe pas sur tous les écrans, c'est sur ceux qui passent "The immigrant" qui sacrent Phoenix en tant qu'acteur de génie, et offrent enfin à Cotillard le rôle parfait de catin qu'elle semblait tant vouloir accrocher aux beau potentiel d'actrice qui émane d'elle, souvent mal employé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    drame à rebondissements aux couleurs d'une Amérique peu reluisante. on voit l'envers des années folles avec une descente aux enfers des plus mouvementées, à voir pour se rendre compte!
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2014
    James Gray filme très bien Marion Cotillard et Joaquin Phoenix et nous plonge dans ce New-York des années 20. Cependant l'histoire tourne un peu en rond avant d'arriver vers une fin prévisible.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2020
    The Immigrant est surprenant : il fait preuve, dès son introduction, d'une tendance au mélodrame jusqu'ici absente du cinéma de James Gray. Peut-être plus grand public, plus banal et moins habile, le cinquième film du réalisateur verse dans l'expression de l'émotion la plus frontale en abandonnant, de fait, sa justesse et sa discrétion habituelles, qu'il scénarise des drames amoureux, mafieux ou Shakespeariens.

    Il n'abandonne pas, cependant, sa tendance à la riche caractérisation de ses personnages souvent pauvres (en moyens comme en amour) : ainsi, de la très juste Marion Cotillard (elle est impressionnante de sobriété) au plus excessif Joaquin Phoenix (qui trouva là un rôle de composition comme il les aime), différentes personnalités nous seront présentées, le tout bouclé par la ruse et la traitrise de Jeremy Renner, tout aussi juste et crédible que le reste du casting.

    Gray, s'exerçant au film d'époque pour la première fois de sa carrière, bâtira en parallèle une reconstitution du New York d'il y a un siècle avec réalisme et honnêteté, tant il n'hésite jamais à présenter le quotidien des habitants de ses bas quartiers dans leur plus abominable routine, souvent faîte de fuite, de dilemmes mués en compromis, de mensonges, de trahison par égoïsme, pour les yeux si particuliers d'une femme à la quête complexe.

    C'est là que le personnage campé par Cotillard, Ewa Cybulski, permet l'éclosion dans l'intrigue de la majorité des thématiques de la carrière du réalisateur : immigrée juive devant faire face à la cruauté de sa terre d'adoption, une Amérique impitoyable et hostile pour qui en est étranger (il l'exprimait bien plus adroitement avec Tim Roth dans Little Odessa), elle passe la longueur du film en allant à l'encontre de ses idéaux pour protéger sa soeur en danger de mort, puisqu'atteinte d'une maladie contagieuse et létale (entre autre, la tuberculose).

    C'est dans son interaction avec Phoenix, interprète de Bruno Weiss, que l'on notera le plus la volonté de faire dans la bourrinage intensif : The Immigrant se contentant de montrer comment ses acteurs sont très talentueux, perdra en chemin le soucis du détail de Gray tant il parcellera son triangle amoureux de réactions incompréhensibles engagées par des personnages aux personnalités plus incohérentes que complexes.

    Cybulski étant la plus approfondie et intéressante, c'est pour Weiss que tout cela se complique : tiraillé entre son amour pour elle et pour l'argent, il enchaîne des prises de décision improbables comme s'il était écrit non pas pour avoir du sens et de la cohérence, mais bel et bien pour faire avancer l'intrigue à n'importe quel prix : c'est ainsi qu'on ressentira un manque flagrants de scènes essentielles à l'intrigue et aux avancées des rapports entre les trois personnages centraux, celui de Jeremy Renner, le magicien Orlando, rencontrant la même problématique.

    C'est que Cotillard est si bien développée que l'impasse est faîte sur les autres : l'on appréciera ou non, l'un d'entre eux est au moins admirablement bien caractérisé et lance le film dans une dynamique plutôt touchante où l'on s'identifiera sans problème à elle, où l'on mesurera la difficulté de ses dilemmes en même temps que la profondeur de ses enjeux, le tout conduisant irrémédiablement, il fallait s'en douter, vers une tragédie à la conclusion surprenante, Gray ne proposant jamais le même schéma de fin à son public.

    On sera cependant surpris de se rendre compte que The Immigrant est un film plutôt convenu, dont on prévoira la majeure partie des éléments perturbateurs; de même qu'il écope d'une certaine manière de l'outrance des films clinquants, il vire rapidement dans une caricature des thématiques habituelles du réalisateur, qui s'il garde ici son talent pour la mise en scène (accompagnée d'une photographie réussie mais peut-être un poil trop monochrome) apporte moins de soin à son écriture.

    Cela se ressentant dans les personnages, le développement des thématiques qu'il affectionne n'en sortira bien sûr pas indemne : la question de l'immigration, résumée à un lancement d'intrigue quand elle pouvait représenter un contexte d'évolution du personnage de Cotillard, est en ce sens si superficielle qu'on ne reconnaît l'artiste que pour le choix des thèmes, plus pour leur façon de les évoquer.

    Ainsi, The Immigrant, décevant à plus d'un titre, garde encore les qualités formelles habituelles de son réalisateur surdoué, ne perdant pas tout de son labyrinthe émotionnel si caractéristique. Forcé quelques fois (le monologue final de Phoenix pue la prestation à Oscars), il témoigne d'une justesse propre à Gray, d'un humanisme si délicat que le dernier plan, d'une composition incroyable, résumera en un moment éphémère, qu'on aimerait saisir et garder en mémoire jusqu'à la fin de nos jours. La déception vaut bien le détour pour terminer sur l'un des plus beaux plans de conclusion de l'Histoire des drames.
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2022
    Deux orphelines polonaises débarquent dans l'Amérique des années 20.
    Un drame social prenant et émouvant mais manquant un peu de puissance, qui met en scène l'envers de l'American Dream, l'âpreté de l'exil mais la force de l'espoir, porté par la bouleversante Marion Cotillard et l'excellent Joaquim Phœnix. 3,75
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2019
    Le film n'est pas inintéressant mais j'espéré mieux. Surtout avec les trois têtes d'affiche au casting. Ils sont d'ailleurs bon malheureux respectifs mais le film Patti d'une mise en scène pas assez adapté est trop longue par moment.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Film très réussi, brillamment réalisé, grand mélo très classique (trop ?, qui m’a laissé un peu sur ma faim. D’abord parce que c’est un genre très difficile, que seul Douglas Sirk a su transcender, et que je prise assez peu. Ensuite parce que ce mélo reste froid et que les personnages demeurent très distants, ne soulèvent guère l’empathie. D’ailleurs Marion Cotillard sait-elle le faire — pour ma part je trouve son talent très surfait — et Joaquin Phœnix ne reste-t-il en deçà de son jeu d’exception habituel ? Enfin parce l’histoire comporte, dans ses ellipses, quelques maladresses. Mais il demeure un film impressionnant par l’intelligence de sa réalisation, son image, sa reconstitution, sa photographie mordorée, son rythme, sa densité et sa subtilité : car derrière cette illustration arrangée de l’immigration américaine du début du XXe, l’auteur pointe du doigt celle d’aujourd’hui.
    David S.
    David S.

    66 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 décembre 2013
    Servi dans un écrin magnifique par une photo sublime de Darius Khondji, un casting 4 étoiles et une belle promesse de récit social et politique, James Gray pourtant déçoit.
    Hé oui, le film intimiste voulu par le réalisateur ne nous délivre que mièvreries et longueurs. Car Dieu que ce film est long. Sans enjeu. Sans lyrisme. Sans passion. Et avec si peu d'émotions...
    Dommage car comme à son habitude, Joaquin Phœnix y est sublime de justesse et de noirceur, Marion Cotillard y est très bonne, toute en retenue, et Jeremy Renner est la touche séduction et lumineuse du film. Le scénario quant à lui est d'une platitude rare et pousse à la somnolence dans la dernière demi-heure. 2/5
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2022
    James Gray qui m'avait habitué à du très grand cinéma notamment avec du genre mafia pour "We own the night" et "The yards" ou encore de la romance de qualité avec "Two Lovers" me déçoit beaucoup pour "The immigrant". Malgré un personnage principal Bruno incarné par l'excellent Joaquin Phoenix, cette histoire d'amour entre Ewa une immigrée polonaise et Bruno, une sorte de maquereau américain, n'est vraiment que très peu plausible....Certaines scènes font vraiment sourire lorsque que Bruno dit à Ewa qu'elle est magnifique. On n'y croit pas tant Marion Cotillard est laide dans ce rôle de pauvre polonaise sans le sou. Je trouve que Marion Cotillard joue excessivement mal et tue presque le film.James Gray se rate lamentablement, quel dommage après avoir réalisé auparavant des films absolument excellents.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2020
    Cette histoire de jeune migrante polonaise qui arrive à New-York en 1920 et tombe naïvement sous la coupe d'un proxénète avec l'espoir de récolter suffisamment d'argent pour faire soigner puis libérer sa sœur atteinte de tuberculose, se traîne un peu en longueur sur un ton un peu trop larmoyant. Les acteurs ne s'en tirent pas trop mal et au final on s'aperçoit que les choses ne sont pas tout à fait binaires, la jeune femme s'est prise d'affection pour son bourreau et celui-ci se sacrifie pour elle, ce qui sauve un peu le film
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2020
    Le canevas de « The immigrant » comme sa mise en place implacable peut faire penser que James Gray s’est affranchi de Dostoïevski qui l’inspire en général et plus particulièrement pour « Two Lovers » son film précèdent. Après une descente dans la misère sociale, accompagnée de la déchéance morale par le mensonge, le vol, la prostitution pour un homme qui la manipule et la domine totalement, je rapport de sujétion commencera une lente inversion qui s’accélèrera avec l’arrivée du magicien amoureux. Superbement interprété par une Marion Cotillard que la direction d’acteur élève par moment au niveau de Renée Falconetti (la confession, seul véritable grand moment du film), Joaquin Phoenix et Jeremy Renner (du très beau linge !), illuminé par une image somptueuse mettant parfaitement en valeur des décors contrastés entre foisonnement et minimalisme. En ajoutant un montage sans faille et une musique toujours pertinente, le cinéaste nous livre un drame passionnel mâtiné de social, noir comme l’enfer, dont les deux heures se déroulent sans ennui. La rédemption, question obsédante pour une polonaise très croyante, viendra en demi teinte, à l’image de cette somptuosité visuelle et scénaristique qui, hélas, ne s’emballe jamais, offrant de beaux moments, mais aucun d’extraordinaire, exception faite de la confession et du plan final. Beaucoup de talent, peu de génie, et aucune invention. Pour un réalisateur qui a révolutionné le polar et offert une dimension superlative à une bluette sentimentale, nous sommes en droit de rester dubitatif devant « The Immigrant », dont l’émotion est restée dans les starting-blocks.
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