Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tragédie intimiste qui se détache sur fond d'épopée collective (...) Entre reconstitution d'époque inspirée et traversée de l'histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
James Gray déploie un mélodrame minéral, d’une simplicité absolue, tant dans sa mise en scène au classicisme racé, saisie dans l’envoûtante photographie mordorée du chef opérateur Darius Khondji, que dans sa direction d’acteurs ou la conduite de ses émotions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Marion Cotillard dans une des (...) irréprochables performances dont elle est coutumière.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Cinéaste virtuse dont la modernité se dissimule dans une forme sans effets ni esbroufe, Gray tient avec une foi inébranlable le discours d'un art sans âge ni frontières (...) il était important de célébrer ce nouveau chef-d'oeuvre (...)
Transfuge
par Damien Aubel
Si Marion Cotillard doit "rester" pour un rôle, ce sera pour celui-ci (...) "The Immigrant" est inoubliable (...).
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Un film qui se déploie presque sournoisement, sans la moindre explosion, mais qui se gorge à chaque plan d’une morbidité tragique, poisseuse tout en donnant aux personnages une majesté indéniable. Belle source d’envoûtement qui a toujours irrigué l’œuvre de James Gray et qui trouve ici une forme d’aboutissement.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
James Gray filme Marion Cotillard comme une héroïne de tragédie, accueillant soudain en elle une grâce qu'elle n'espère plus. Comme une star du cinéma muet, aussi : on dirait Lillian Gish dans certains mélos de Griffith. La beauté à l'état pur...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Culminant à divers endroits du récit, la beauté grave et surannée de la mise en scène de "The immigrant" n'a évidemment rien pour surprendre. Ce qui surprend, c'est Ewa.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sans atteindre l'évidente puissance de ses précédents films, le nouveau James Gray confirme que le cinéaste évolue largement au-dessus de la mêlée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Chris Huby
"The Immigrant" vient poser une pierre de plus à l'œuvre déjà magnifique du James Gray, ce qui ne cesse d'impressionner.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Plus qu’un vent, c’est une rafale de mélancolie qui souffle sur "The Immigrant". Préparez vos mouchoirs !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"The Immigrant" réunit les composantes essentielles de ce que l'on a coutume d'appeler un classique, (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Alain Grasset
POUR : Mélo vibrant, bouleversant, filmé de manière très classique par un James Gray tout en nuances dans la description de l’époque, le film vaut aussi par la remarquable performance de Marion Cotillard dont l’accent polonais est incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reye
Bien qu'un peu froide, "The Immigrant" s'impose comme une œuvre remarquable, dense et subtile.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
En plus de la beauté formelle de l’objet, et de la performance de Joaquin Phoenix, jamais aussi bon que lorsqu’il suinte de noirceur, il est passionnant de voir les thèmes chers à Gray ici retournés comme autant de gants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
James Gray avait déjà utilisé des éléments de mélodrame auparavant, mais jamais autant que dans ce dernier film qui pousse à fond tous les curseurs de l’émotion pour raconter l’interdépendance tragique d’une immigrante polonaise et d’un manipulateur invétéré.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le talentueux James Gray (Little Odessa) signe son premier film d'époque. (...) Sa reconstitution des bas-fonds de la ville est époustouflante. (...) Dommage que Joaquin Phoenix ne soit pas au diapason de la finesse.
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
Malgré quelques maladresses regrettables, "The Immigrant" est le film que l’on attendait : beau, subtil dans son message politique, interprété par des acteurs formidables, il confirme avec la manière que James Gray reste plus que jamais l’un des meilleurs cinéastes de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
D’où vient qu’en dépit des trésors de mise en scène que le cinéaste déploie pour servir son récit (…) celui-ci ne déborde jamais, intéresse sans bouleverser ? C’est le grand paradoxe de "The Immigrant" : la forme, pensée pour l’effusion, est irréprochable et souvent brillante, mais n’en jaillit qu’un spectacle étouffé et distant.
Critikat.com
par Benoît Smith
D’où vient que le drame qui se joue à l’écran se montre tiède, corseté, habité à demi seulement, surtout quand on le compare aux accents de justesse que Gray a su atteindre dans son précédent "Two Lovers" ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le dernier film de James Gray est d’une beauté sans souffle. (...) "The Immigrant" livre un récit en demi-teinte (...) trop attendu pour donner au film un véritable souffle narratif.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ce drame romanesque, un peu formel, certes, est néanmoins intensément porté par Marion Cotillard, saisissante dans sa descente aux enfers, et le talent de Joaquin Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Metro
par Mehdi Omaïs
Si le résultat est moins tendu et prenant que les précédents opus de Gray, il a le mérite de poser, dans un écrin magnifié par la photo de Darius Khondji, des questions passionnantes sur l’immigration et le déracinement.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Très classique, élégant mais froid comme la mort.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"The Immigrant" de james Gray, avec la plaie Cotillard, cinquième film qui confirme le lent déclin du réalisateur de "The Yards".
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
CONTRE : Notre (inter)nationale Marion Cotillard fait le boulot. Joaquin Phoenix est assez charismatique en distingué salaud. En cousin illusionniste du premier, Jeremy Renner apporte un souffle de tempête sentimentale à l’ensemble. Mais qu’en reste-t-il au final? Un peu d’oubli?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comment le réalisateur qui a réinventé le thriller familial, avec "Little Odessa", "The Yards" et "La Nuit nous appartient", puis le film sentimental avec "Two Lovers", peut-il assumer un mélodrame dont le scénario remonte à un autre âge, comme l’on en réalisait dans les années 20, voire moins inventif ?
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
Tragédie intimiste qui se détache sur fond d'épopée collective (...) Entre reconstitution d'époque inspirée et traversée de l'histoire du cinéma.
Les Inrockuptibles
James Gray déploie un mélodrame minéral, d’une simplicité absolue, tant dans sa mise en scène au classicisme racé, saisie dans l’envoûtante photographie mordorée du chef opérateur Darius Khondji, que dans sa direction d’acteurs ou la conduite de ses émotions.
Marianne
Marion Cotillard dans une des (...) irréprochables performances dont elle est coutumière.
Positif
Cinéaste virtuse dont la modernité se dissimule dans une forme sans effets ni esbroufe, Gray tient avec une foi inébranlable le discours d'un art sans âge ni frontières (...) il était important de célébrer ce nouveau chef-d'oeuvre (...)
Transfuge
Si Marion Cotillard doit "rester" pour un rôle, ce sera pour celui-ci (...) "The Immigrant" est inoubliable (...).
TéléCinéObs
Un film qui se déploie presque sournoisement, sans la moindre explosion, mais qui se gorge à chaque plan d’une morbidité tragique, poisseuse tout en donnant aux personnages une majesté indéniable. Belle source d’envoûtement qui a toujours irrigué l’œuvre de James Gray et qui trouve ici une forme d’aboutissement.
Télérama
James Gray filme Marion Cotillard comme une héroïne de tragédie, accueillant soudain en elle une grâce qu'elle n'espère plus. Comme une star du cinéma muet, aussi : on dirait Lillian Gish dans certains mélos de Griffith. La beauté à l'état pur...
Chronic'art.com
Culminant à divers endroits du récit, la beauté grave et surannée de la mise en scène de "The immigrant" n'a évidemment rien pour surprendre. Ce qui surprend, c'est Ewa.
CinemaTeaser
Sans atteindre l'évidente puissance de ses précédents films, le nouveau James Gray confirme que le cinéaste évolue largement au-dessus de la mêlée.
Ecran Large
"The Immigrant" vient poser une pierre de plus à l'œuvre déjà magnifique du James Gray, ce qui ne cesse d'impressionner.
Elle
Plus qu’un vent, c’est une rafale de mélancolie qui souffle sur "The Immigrant". Préparez vos mouchoirs !
L'Obs
"The Immigrant" réunit les composantes essentielles de ce que l'on a coutume d'appeler un classique, (...).
Le Parisien
POUR : Mélo vibrant, bouleversant, filmé de manière très classique par un James Gray tout en nuances dans la description de l’époque, le film vaut aussi par la remarquable performance de Marion Cotillard dont l’accent polonais est incroyable.
Les Fiches du Cinéma
Bien qu'un peu froide, "The Immigrant" s'impose comme une œuvre remarquable, dense et subtile.
Libération
En plus de la beauté formelle de l’objet, et de la performance de Joaquin Phoenix, jamais aussi bon que lorsqu’il suinte de noirceur, il est passionnant de voir les thèmes chers à Gray ici retournés comme autant de gants.
Première
James Gray avait déjà utilisé des éléments de mélodrame auparavant, mais jamais autant que dans ce dernier film qui pousse à fond tous les curseurs de l’émotion pour raconter l’interdépendance tragique d’une immigrante polonaise et d’un manipulateur invétéré.
Télé 7 Jours
Le talentueux James Gray (Little Odessa) signe son premier film d'époque. (...) Sa reconstitution des bas-fonds de la ville est époustouflante. (...) Dommage que Joaquin Phoenix ne soit pas au diapason de la finesse.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques maladresses regrettables, "The Immigrant" est le film que l’on attendait : beau, subtil dans son message politique, interprété par des acteurs formidables, il confirme avec la manière que James Gray reste plus que jamais l’un des meilleurs cinéastes de sa génération.
Cahiers du Cinéma
D’où vient qu’en dépit des trésors de mise en scène que le cinéaste déploie pour servir son récit (…) celui-ci ne déborde jamais, intéresse sans bouleverser ? C’est le grand paradoxe de "The Immigrant" : la forme, pensée pour l’effusion, est irréprochable et souvent brillante, mais n’en jaillit qu’un spectacle étouffé et distant.
Critikat.com
D’où vient que le drame qui se joue à l’écran se montre tiède, corseté, habité à demi seulement, surtout quand on le compare aux accents de justesse que Gray a su atteindre dans son précédent "Two Lovers" ?
La Croix
Le dernier film de James Gray est d’une beauté sans souffle. (...) "The Immigrant" livre un récit en demi-teinte (...) trop attendu pour donner au film un véritable souffle narratif.
Le Journal du Dimanche
Ce drame romanesque, un peu formel, certes, est néanmoins intensément porté par Marion Cotillard, saisissante dans sa descente aux enfers, et le talent de Joaquin Phoenix.
Metro
Si le résultat est moins tendu et prenant que les précédents opus de Gray, il a le mérite de poser, dans un écrin magnifié par la photo de Darius Khondji, des questions passionnantes sur l’immigration et le déracinement.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Très classique, élégant mais froid comme la mort.
Charlie Hebdo
"The Immigrant" de james Gray, avec la plaie Cotillard, cinquième film qui confirme le lent déclin du réalisateur de "The Yards".
Le Parisien
CONTRE : Notre (inter)nationale Marion Cotillard fait le boulot. Joaquin Phoenix est assez charismatique en distingué salaud. En cousin illusionniste du premier, Jeremy Renner apporte un souffle de tempête sentimentale à l’ensemble. Mais qu’en reste-t-il au final? Un peu d’oubli?
Franceinfo Culture
Comment le réalisateur qui a réinventé le thriller familial, avec "Little Odessa", "The Yards" et "La Nuit nous appartient", puis le film sentimental avec "Two Lovers", peut-il assumer un mélodrame dont le scénario remonte à un autre âge, comme l’on en réalisait dans les années 20, voire moins inventif ?
L'Express
Voir le site de L'Express.