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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 janvier 2012
Trouver une salle diffusant ce film ne sera pas simple.... et pour cause il dénonce la compromission média / politiques / groupes industriels. Si en plus vous avez un débat à la suite du film une excellente séance en perspective. A NE PAS MANQUER ET A DIFFUSER
Illustre les risques de connivences et de conflits d'intérêt avec brio, mais ne montre finalement que des faisceaux d'indices et, surtout, ne démontre pas vraiment l'impact de ceux-ci sur le travail des journalistes et d'information.
un film a voir et a ne pas rater j'ai eu de la chance de le voir parce que j'habite dans un grande ville mais peu de gent le verrons et toute et fais pour que l'on en parle pas cela confirme tous mes soupçon j’étais abonner a plusieurs hebdomadaire et cela fait maintenant 2 ans que je me suis désabonner et que je ne lit plus la presse.je m'informe par les média parallèle sur internet.
ce documentaire s'inspire du livre écrit en 1932 "les chiens de garde" qui dénonce les écrivains et les philosophes de l'époque qui étaient les gardiens de l'ordre établi selon l'auteur Paul Nizan.le film prouve que rien n'a vraiment changé les grands dirigeants de l'info,des grands groupes d'entreprise et même de banque manipule les médias et l'information a leur guise et son prêt a tout pour garder ce système pourtant décrit pluralisme et diversifier.tout cela prouve une fois de plus que ceux qui dirigent sont ceux qui ont l'argent,tous ces gens vivent dans un autres monde que le notre.le document donnent raison a ceux qui ne supporte pas la politique et les informations en général.les différentes source et archives sont bien retranscrit un très bon documentaire a voir !!
[...] Parce que la réflexion n'est qu'un effet du mouvement intellectuel et que la leur n'est rien d'autre qu'un point fixe dans l'horizon barré, une bave de suie à la suite d'eux-mêmes et du pouvoir en place et des autorités et de l’oppression pesante... Parce que leurs pensées ne sont qu'un arrêt sur l'idée et un recul énorme, qu'ils ne sont que le vide porté à l'existence, médiatisé... Parce que chacune de leurs idées n'en sont pas, recyclent des anciennetés, des fluides surannées et qu'ils sont érigés en puissance alors que cette dernière réside uniquement dans leur mensonge, inconscient hélas [...]
Un bon moment ! Film au style rétro 70 et petits moyens mais qui appuie là où ça fait mal.Les "journalistes" stars de télé, "experts" économiques abonnés aux plateaux et anciens révolutionnaires embourgeoisés sont épinglés dans leur hypocrisie intéressée: ce qui devrait être information n'est plus que propagande déguisée des pouvoirs en place.
La presse française c'est Duloc World un monde on l'on marche droit sans vague si zig zag. Comme le disait Charlotte corday liberte liberte cherie combien de crime comment-on en ton nom.... a montrer a tous les écolier de France....
Si il a le mérite de rappeler des éléments évidents (détention des médias par de grands groupes industriels, financiers..) il nous insère un doute quand aux véritables intentions des "spécialistes", qui sans remettre en cause leurs diplômes et leurs compétences sont souvent des administrateurs de grandes entreprises (conflits d'intérêts? va savoir..) et montre qu'effectivement les journalistes et chroniqueurs de premier plan nagent dans le même univers que les politiques. Au fond, la situation par rapport à l'époque d'Alain Peyrefitte ministre de l'information n'a, en substance, pas beaucoup bougé.
Toutefois, tou-te-fois, ce film prend clairement parti, c'est subjectif, voir trop subjectif. Le sujet traité par le film, devrait, au fond, tant il est vaste, être traité par un travail scientifique et non un long métrage qui n'a pas le temps de tout traiter. De sorte que les raccourcis et les imprécisions laissent un sentiment de travail mal fait, pas sérieux. Personnellement j'ai cru voir une sorte de "Petit Journal" en version d'1h30.
Bref, si le film apporte des informations tout à fait intéressantes, déjà connues si on suit un peu l'actualité. Mais sincèrement ça reste un documentaire médiocre malgré une structure de démonstration très claire, à cause d'un manque de rigueur (que j'ai envie de dire, scientifique).
Un tableau édifiant critiquant le monopole des médias-marketing et de la télé-spectacle. Un film qui fait du bien, dans la lignée de Bourdieu, Debord et Halimi... à voir de toute urgence ! (c'est étrange, cette presse qui se veut pluraliste ne parle pas de ce film...)
Bien, très bien, mais encore au-dessous de la réalité des rouages subtils de la feinte-dissidence qui détournent et étouffent une nouvelle émergence de la pensée critique. ACG planetaryecology
OK, cette séance de dégommage des petites stars des médias fait du bien. En même temps, on s'énerve à voir la confusion info-pouvoir traitée, une fois de plus, au ras des pâquerettes, dans une dénonciation tous azimuts et people qui se rapproche plus du Guignol que du travail politique. Alors si le sujet fait remplir les salles, il serait bon aussi que chacun se secoue un peu en se souvenant que les médias ne sont que le produit de notre société, ç-à-d nous. Et notre société, c'est ce qui se lit sous les regards énamourés qu'une Ockrent ou qu'un Elkabbash adressent aux politiques et aux financiers, ce sont les scores fleuves des émissions les plus abjectes, et toute cette idéologie de la communication et du renoncement qui pénètre dans les moindres recoins de notre quotidien. Si au moins ce travail avait servi à laisser entrevoir des pistes, à embrayer sur le discours de résistance qui se structure dans la profession, pourquoi pas ? Mais rien, et les citations de Nizan ne parviennent pas à moraliser l'affaire. Pendant se temps là , les pantins qui s'agitent à l'écran continuent de dissimuler le champ de ruines qu'est devenue la presse. Le plus ironique est que, par un détour qui semble avoir complètement échappé aux auteurs, leur démarche les ramène au niveau du système qu'ils dénoncent.
C'est extra. Dépêchez vous : le film passe seulement dans 46 salles (petites, avec des horaires pas faciles) alors que Millenium passe dans 573 salles !!! cherchez l'erreur… on ne regarde pas les infos après de la même façon !!! Chapeau à tous ceux qui ont mouillé la chemise pour ce film, comme quoi il y a encore quelques journalistes et intellos intègres.
Un régal, véritable défouloir. Dans la veine de Pierre carles, les auteurs s'en prennent avec virulence aux pontes de leur profession. Et on les comprend, les faits sont simplement trop évidents. Bizarre que la presse n'en ai pas parlé avant... Ho mais attendez...