Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Positif
par Baptiste Roux
On ne sait qu’admirer dans le film : l’implacable mécanique du scénario, l’intelligence du jeu, la gestion de l’espace, pratiquement cantonné à un seul lieu, l’installation de climats lourds de menace au sein d’une fable cauchemardesque, sans effet de manche et un seul éclat de colère.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La sortie tardive de son premier long métrage, Hospitalité (2010), permet d’observer les prémices de cette œuvre, aussi réaliste par son sens du détail que parcourue de questionnements internes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fable où l’humour cruel repose autant sur les situations que sur la mise en scène. Jouissif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un huis clos kafkaïen brillamment interprété, corrosif et impitoyable.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La drôlerie vient ici surtout de ce qui choque la rigidité du corps japonais, socialement entravé, et contrevient à ses rituels domestiques, réglés comme du papier à musique.
Le Parisien
par La Rédaction
Le charme de « Hospitalité », de Koji Fukada, révélé en France par « Harmonium », « Saronaya » ou « l’Infirmière » — tous ses films ressortiront cet été — naît de ce que l’on ne prévoit jamais la scène suivante, de plus en plus surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Par sa mise en scène subtile, Kôji Fukada traite ici brillamment de notre relation à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Le charme de ce petit film tient au rôle qu’elle donne à cette famille piégée dans un entre-deux : présente aux réunions pour faire bonne figure mais sans y adhérer vraiment, victime mais consentante, parce que crier ça ne se fait pas. Tout au spectacle de la mise en scène du mal-être qui flétrit ce cocon privé, le film semble épouser cette peur jusqu’à son apothéose paillarde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Un homme replié sur sa famille accueille un vieil ami intrusif qui sème une joyeuse pagaille. Une allégorie mordante sur la peur de l’étranger au Japon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière le rire et le comique de situation, Kôji Fukada dissèque, non sans sarcasme, une société japonaise étouffée par les non-dits et la difficulté à communiquer. Un film résolument drôle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La métaphore assez drôle d’un Japon peu enclin au cosmopolitisme, par le réalisateur de « L’Infirmière ».
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Première
par Thierry Chèze
La force d’Hospitalité est précisément de ne jamais choisir son camp, de laisser le spectateur dans l’incertitude, notamment à travers la figure de son personnage central dont on peine à deviner s’il est un hurluberlu perché ou un manipulateur machiavélique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
On ne sait qu’admirer dans le film : l’implacable mécanique du scénario, l’intelligence du jeu, la gestion de l’espace, pratiquement cantonné à un seul lieu, l’installation de climats lourds de menace au sein d’une fable cauchemardesque, sans effet de manche et un seul éclat de colère.
L'Humanité
La sortie tardive de son premier long métrage, Hospitalité (2010), permet d’observer les prémices de cette œuvre, aussi réaliste par son sens du détail que parcourue de questionnements internes.
L'Obs
Une fable où l’humour cruel repose autant sur les situations que sur la mise en scène. Jouissif.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos kafkaïen brillamment interprété, corrosif et impitoyable.
Le Monde
La drôlerie vient ici surtout de ce qui choque la rigidité du corps japonais, socialement entravé, et contrevient à ses rituels domestiques, réglés comme du papier à musique.
Le Parisien
Le charme de « Hospitalité », de Koji Fukada, révélé en France par « Harmonium », « Saronaya » ou « l’Infirmière » — tous ses films ressortiront cet été — naît de ce que l’on ne prévoit jamais la scène suivante, de plus en plus surprenante.
Les Fiches du Cinéma
Par sa mise en scène subtile, Kôji Fukada traite ici brillamment de notre relation à l’autre.
Libération
Le charme de ce petit film tient au rôle qu’elle donne à cette famille piégée dans un entre-deux : présente aux réunions pour faire bonne figure mais sans y adhérer vraiment, victime mais consentante, parce que crier ça ne se fait pas. Tout au spectacle de la mise en scène du mal-être qui flétrit ce cocon privé, le film semble épouser cette peur jusqu’à son apothéose paillarde.
Télérama
Un homme replié sur sa famille accueille un vieil ami intrusif qui sème une joyeuse pagaille. Une allégorie mordante sur la peur de l’étranger au Japon.
aVoir-aLire.com
Derrière le rire et le comique de situation, Kôji Fukada dissèque, non sans sarcasme, une société japonaise étouffée par les non-dits et la difficulté à communiquer. Un film résolument drôle.
La Voix du Nord
La métaphore assez drôle d’un Japon peu enclin au cosmopolitisme, par le réalisateur de « L’Infirmière ».
Première
La force d’Hospitalité est précisément de ne jamais choisir son camp, de laisser le spectateur dans l’incertitude, notamment à travers la figure de son personnage central dont on peine à deviner s’il est un hurluberlu perché ou un manipulateur machiavélique.