Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Documentaire magique sur la symbiose de deux créateurs amoureux de leur art.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il ressort surtout un portrait à la gloire de Raymond Depardon par une femme qui l'aime et l'admire. Or il advient que rien n'est insupportable dans cette (auto)célébration. (...) Les déambulations automobiles de Depardon, les images des conflits qu'il a couverts par le passé ne tendent qu'à saisir et montrer le monde tel qu'il est.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
On roule et on voudrait que jamais ne s'arrête ce road-movie qui donne envie de prendre la route et de monter le son de l'autoradio en rêvant de la prochaine rencontre, à l'auberge du souvenir.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Depardon trouve avec le désert français le troisième terme du triptyque méditatif qui sous-tend la démarche d'une vie : un voyage erratique qui ne soit pas une fuite mais la reconnaissance d'un territoire à la fois terrien et intime, aussi bien un pré carré qu'un jardin secret.
Ecran Large
par Simon Riaux
Derrière les évènements, les enjeux, émergent des hommes et des femmes au regard perçant, scrutateurs plus que scrutés, derniers vestiges d'une époque où la caméra n'était pas sommée de s'immiscer partout.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Nous sommes (...) dans le domaine de l'intime, du souvenir que l'on ne murmurerait qu'à de rares proches, où l'auteur n'utiliserait le mezzo voce que pour mieux s'aider à s'affranchir des barrières naturelles de la pudeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
A mesure que se tournent les pages du "Journal de France", les événements surgissent à la mémoire du spectateur, les voix de Claudine et de Raymond s'entremêlent. Le dispositif est simple, tout coule de source.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par jean-Luc Bertet
Au delà des flash-back, il s'agit d'un double portrait, tout en pudeur et en retenue. Celui de Raymond Depardon, bien sûr, mais aussi de sa France, dont il cartographie les charmes à la fois désuets et vivaces. Souvenir d'un périple.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Cette errance au coeur du pays perdu est donc adossée dans sa poignante modestie au monument de l'oeuvre elle-même, photos et films.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
[Raymond Depardon] s'arrête où bon lui semble, sort un gros appareil à l'ancienne, se recouvre la tête d'une étoffe rouge, et photographie "à la chambre". Il y a dans son geste quelque chose d'anachronique, d'artisanal, d'éternel.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Gérard Delorme
Une autre façon d'arrêter le temps en montrant ce qui reste lorsque les gens ont disparu du cadre. Le commentaire, simple et essentiel, résume la démarche d'un témoin de notre temps, et le montage alterné montre le chemin parcouru du mouvement à l'épure, de l'énergie à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Bouts de pellicule, rushs inédits, images d'archives, ce "Journal de France" déborde les frontières et remonte le temps pour former un étonnant collage. (...) le portrait de l'artiste croise celui, multiple, changeant, toujours passionnant, de la société contemporaine. C'est la force de ce film-mosaïque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Pour qui espérait trouver là un nouveau film de Raymond Depardon, et, par exemple, un pendant du travail qu'il exposa l'an dernier à la BNF, "Journal de France" risque d'être une déception. Et le titre lui-même sonnera comme une promesse non tenue, ou seulement à moitié.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Matthieu Bareyre
À 70 ans, Depardon s'est manifestement accordé un peu de repos : s'il cherche encore, c'est seulement des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Bribes ou chutes de films, scandées par les virées de Depardon à travers la France : un essai tristement brouillon, où l'univers de l'immense photographe et documentariste semble phagocyté par le propos de Nougaret.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pierre Eisenreich
Le documentaire tente de réunir trois disciplines artistiques : le carnet de voyages, la photographie et le cinéma. Mais leur synthèse n'y est pas recherchée, car jugée impossible et surtout irrespectueuse pour ces trois arts qui sont d'abord envisagés comme un artisanat (...) la difficulté était grande de raconter la filmographie documentaire de Raymond Depardon et de l'intégrer à un nouveau reportage photographique et filmé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Journal de France" est donc fait de deux films : une chronique de la pérégrination du photographe et un montage de séquences inédites (...) De ces deux idées de films, les réalisateurs espéraient sans doute la naissance d'un troisième. Espoir déçu. "Journal de France" est une somme dont la valeur est bien inférieure à ses composants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Documentaire magique sur la symbiose de deux créateurs amoureux de leur art.
Les Inrockuptibles
Il ressort surtout un portrait à la gloire de Raymond Depardon par une femme qui l'aime et l'admire. Or il advient que rien n'est insupportable dans cette (auto)célébration. (...) Les déambulations automobiles de Depardon, les images des conflits qu'il a couverts par le passé ne tendent qu'à saisir et montrer le monde tel qu'il est.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
On roule et on voudrait que jamais ne s'arrête ce road-movie qui donne envie de prendre la route et de monter le son de l'autoradio en rêvant de la prochaine rencontre, à l'auberge du souvenir.
Cahiers du Cinéma
Depardon trouve avec le désert français le troisième terme du triptyque méditatif qui sous-tend la démarche d'une vie : un voyage erratique qui ne soit pas une fuite mais la reconnaissance d'un territoire à la fois terrien et intime, aussi bien un pré carré qu'un jardin secret.
Ecran Large
Derrière les évènements, les enjeux, émergent des hommes et des femmes au regard perçant, scrutateurs plus que scrutés, derniers vestiges d'une époque où la caméra n'était pas sommée de s'immiscer partout.
L'Express
Voir le site de l'Express.
L'Humanité
Nous sommes (...) dans le domaine de l'intime, du souvenir que l'on ne murmurerait qu'à de rares proches, où l'auteur n'utiliserait le mezzo voce que pour mieux s'aider à s'affranchir des barrières naturelles de la pudeur.
L'Obs
A mesure que se tournent les pages du "Journal de France", les événements surgissent à la mémoire du spectateur, les voix de Claudine et de Raymond s'entremêlent. Le dispositif est simple, tout coule de source.
Le Journal du Dimanche
Au delà des flash-back, il s'agit d'un double portrait, tout en pudeur et en retenue. Celui de Raymond Depardon, bien sûr, mais aussi de sa France, dont il cartographie les charmes à la fois désuets et vivaces. Souvenir d'un périple.
Le Point
Voir le site du Point.
Libération
Cette errance au coeur du pays perdu est donc adossée dans sa poignante modestie au monument de l'oeuvre elle-même, photos et films.
Marianne
[Raymond Depardon] s'arrête où bon lui semble, sort un gros appareil à l'ancienne, se recouvre la tête d'une étoffe rouge, et photographie "à la chambre". Il y a dans son geste quelque chose d'anachronique, d'artisanal, d'éternel.
Première
Une autre façon d'arrêter le temps en montrant ce qui reste lorsque les gens ont disparu du cadre. Le commentaire, simple et essentiel, résume la démarche d'un témoin de notre temps, et le montage alterné montre le chemin parcouru du mouvement à l'épure, de l'énergie à la réflexion.
Télérama
Bouts de pellicule, rushs inédits, images d'archives, ce "Journal de France" déborde les frontières et remonte le temps pour former un étonnant collage. (...) le portrait de l'artiste croise celui, multiple, changeant, toujours passionnant, de la société contemporaine. C'est la force de ce film-mosaïque.
Chronic'art.com
Pour qui espérait trouver là un nouveau film de Raymond Depardon, et, par exemple, un pendant du travail qu'il exposa l'an dernier à la BNF, "Journal de France" risque d'être une déception. Et le titre lui-même sonnera comme une promesse non tenue, ou seulement à moitié.
Critikat.com
À 70 ans, Depardon s'est manifestement accordé un peu de repos : s'il cherche encore, c'est seulement des yeux.
Les Fiches du Cinéma
Bribes ou chutes de films, scandées par les virées de Depardon à travers la France : un essai tristement brouillon, où l'univers de l'immense photographe et documentariste semble phagocyté par le propos de Nougaret.
Positif
Le documentaire tente de réunir trois disciplines artistiques : le carnet de voyages, la photographie et le cinéma. Mais leur synthèse n'y est pas recherchée, car jugée impossible et surtout irrespectueuse pour ces trois arts qui sont d'abord envisagés comme un artisanat (...) la difficulté était grande de raconter la filmographie documentaire de Raymond Depardon et de l'intégrer à un nouveau reportage photographique et filmé.
Le Monde
"Journal de France" est donc fait de deux films : une chronique de la pérégrination du photographe et un montage de séquences inédites (...) De ces deux idées de films, les réalisateurs espéraient sans doute la naissance d'un troisième. Espoir déçu. "Journal de France" est une somme dont la valeur est bien inférieure à ses composants.