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Un visiteur
3,0
Publiée le 22 mai 2012
Pas mal comme film. Le scénario est banal comme tout. Ceci dit certaines scènes sont surprenantes. Je ne sais pas comment ce film était perçu à sa sortie....en tout cas je trouve qu'il a mal vieilli. Les acteurs sont bon mais un peu clichés quand même ! En revanche, c'est un plaisir de retrouver l'Amérique des années 50 avec son mode de vie, ses voitures, les coupes de cheveux.....Film à voir au moins une fois.
La tension est palpable tout au long de ce film légendaire. Les émotions sont à fleur de peau dés le début et seront ensuite très bien distillées pour finir en apothéose. Nicholas Ray filme tout ça avec beaucoup de talent et nous donne un tas de champs - contre champs très intéressants et bourrés de messages qui aident le film a revêtir sa dimension. Les personnages restent cependant un peu caricaturaux et Platon, joué par Sal Minéo reste le plus intéressant et selon moi, le plus juste.
Un classique des années 50 inoubliable grâce au charisme et à la classe de James Dean, impressionnant dans son interprétation pendant tout le film. Le scénario est certes simple mais efficace, et la mise en scène de toute beauté, avec l'impression de voir une comédie musicale de l'époque mais sans musique. On n'évitera pas, hélas, les quelques longueurs inhérentes aux films de l'époque, dues à l'histoire d'amour entre les deux personnages principaux. Mais le personnage de Platon est cependant très intéressant, dans l'ambiguité des sentiments qui le lient à Jim notamment. A voir quand on est un vrai cinéphile.
C'est sympa comme film. De nos jours par contre, ça n'a pas grand chose de choquant, mais je comprends qu'à l'époque, les gens se soient "pris une claque". Reste un scénario vraiment sympa, et le plaisir de voir la vraie Amérique des années 50 tant de de fois reproduite par la suite dans des films comme "Retour vers le futur" ou autres... A voir pour sa culture personnelle.
Que dire si ce n'est que ce film a plutôt mal vieilli. Et quand bien même on essaie de se replacer dans le contexte des années 50 et d'oublier les musiques "tatadaaaan" qui font rire et le jeu maniéré, on se retrouve face à des incohérences qui empêchent de rentrer dans le film. James Dean alias Jim n'est pas très crédible en tant que lycéen de 17 ans et n'a rien d'un rebelle non plus..N'arrivant pas à s'identifier à son père, il trouve de la compréhension auprès d'un policier et lors de la mort de Buzz, il est le seul à vouloir s'expliquer face à la police toujours, c'est encore lui qui négocie avec la police à la fin du film, bref c'est un good boy! Quand à Buzz, il n'a pas de chance, non seulement il ne vit pas longtemps dans le film mais en plus on l'oublie instantanément, sa petite amie n'est pas vraiment choquée et n'a aucun chagrin, d'ailleurs le personnage entier de Natalie Wood est assez inconsistant. Passons aussi sur le côté machiste du film, le père est un dégonflé, on nous le répète cent fois, parce qu'il se soumet à sa femme, parce qu'il réfléchit, ne répond pas à la violence sur une impulsion... Honte à lui! Finalement, il ne reste, outre l'aura évidente de J. Dean et sa dégaine bien particulière, que le mal-être de l'adolescence, la perte de repères et la recherche de valeurs et ça c'est intemporel. Platon est, pour moi, le personnage le plus touchant et le plus construit, c'est son besoin d'affection, sa fascination pour Jim que je retiendrai de ce film. Et le fameux blouson rouge!
Attention film culte ! Une tragédie sur fond de jeunesse rebelle des années 50, un grand classique Hollywoodien qui plaça James Dean au sommet en lui proposant un rôle qui lui colle à la peau. Chef d'oeuvre intemporel, ce drame sombre dénonce le mal être d'une jeunesse face à l'autorité et aux règles établis. Un sujet toujours d'actualité qui permet aisément à la jeunesse 2.0 de le découvrir avec intérêt. Entre amour, amitié et rébellion "La Fureur" est plus que présente !
Excellent film sur le mal être d'une jeunesse que les parents ne pouvait pas comblés. Le film va assez loin en nous montrant des personnages perdu dont le seul but et d'être seul est de profiter de la vie et de s'éloigner de la société qui n'est pas adapter à eux. Une dimension mythique habite aussi ce film grace à la prestation de l'éternel rebelle adolessent James Dean.
Nicholas Ray réalise ici une grande prouesse, celle de mettre en scène avec justesse la fougue, le mal être, l'ennui de la jeunesse. Soit un nouveau venu, mal dans sa peau, dans un lycée se mettant à dos avec une bande de jeunes, s'adonnant à des jeux de plus en plus dangereux jusqu'au drame... Ray sait aussi mettre en scène les situations de disputes embarrassantes familiales dans lesquels le personnage de Jim (James Dean) se montre très complet: Poussé par le dégoût de la solitude et l'honneur (peut être celui perdu de son père) dans cette spirale dangereuse. James Dean retransmet tout les complexes de l'adolescence avec un trait parfois forcé. Evidemment le film na pas échapper aux rouages du temps et les jeux d'acteurs ainsi que le final donne méchamment l'impression d'un coup de vieux.
L'intrigue de "Rebel without a Cause", se déroulant sur une journée, est assez étrange et décousue. Mais le film vaut surtout pour la mise en scène de Nicholas Ray, et pour son trio d'acteurs principaux. James Dean, mort avant la sortie du film, deviendra une légende avec ce rôle de jeune sans repère, désabusé, et autodestructeur. Quant au film, il fera office d'emblème d'une génération en présentant un mal-être profond, bien loin de l'american way of life.
Dans la forme ça ne tient plus la route mais dans le fond, le malaise adolescent n'a pas bougé. "La fureur de vivre" à ne pas confondre avec un film avec Bruce Lee, est une oeuvre intemporelle sachant traité avec justesse d'adolescents en pleine rébellion contre la société, leurs parents ou contre eux même sans jamais être moralisateur.
Bizarrement, je m'attendais à la fois à mieux et à pire... A mieux parce que ce film semble être pour beaucoup un énorme film culte à ne louper sous aucun prétexte, et à pire parce que pour un film des années 55, il n'a pas énormément vieilli (même si on sent quand même qu'il ne date pas d'hier) et que l'histoire est intéressante. Quoiqu'il en soit j'ai été ravi de découvrir James Dean dans ce film car depuis le temps que je voulais voir cette "légende", c'est une bonne chose de faite. La Fureur de Vivre est un film plus complexe qu'il n'y parait, notamment sur le personnage de Sal Mineo, surnommé "Platon". Mine de rien, Nicholas Ray touche à un certain nombre de bons thèmes de façon assez fine, et le scénario est assez bien foutu. Il est clair que James Dean fait pratiquement tout le film et je ne m'attendais pas à voir un si bon acteur. Il est d'ailleurs presque le seul avec Sal Mineo et Jim Backus à tenir la route. Pour le reste, le surjeu est assez dérangeant je trouve, malgré que ça soit le style des années 50, ça continue à me gêner, d'autant plus que la plupart des dialogues sont d'une platitude sans nom. Néanmoins, j'ai suivi le film d'un bout à l'autre avec grand intérêt et sans jamais décrocher, voulant savoir où cette histoire allait mener. J'ai beaucoup aimé la relation père/fils dans la famille Stark, le père étant vu comme une mauviette incapable de se tenir droit. Le fils est un adolescent qui se recherche lui-même et ne parvient pas à trouver la bonne attitude à avoir, résistant à se laisser guider par la violence et la bêtise mais refusant catégoriquement de devenir "mou" comme son père. Et pourtant, j'ai adoré le personnage du père qui est pour moi le plus attachant du film. Bref, le thème de la recherche d'identité chez les ados est plutôt bien traité et de façon assez originale, sans clichés. Un bon film à voir, donc.
Dans ce film, Nicholas Ray met en scène une troupe de jeunes américains désœuvrés cherchant désespérément à se démarquer de leurs parents qui ne prennent plus la peine de les comprendre en s’adonnant à des activités répréhensibles et qui peuvent avoir des conséquences désastreuses. Le sujet est intelligemment traité mais surtout furieusement universel, ce qui se confirme car "La Fureur de Vivre" fait partie des plus grands classiques du 7ème art. Véritable étoile montante d’Hollywood à cette époque, la jeune actrice Nathalie Wood se voit offrir le rôle de la fille autour de qui tout gravite et elle est impeccable, tout comme Sal Mineo très touchant dans le rôle d’un garçon à la recherche de repères et d’’un model. Mais c’est bel et bien l’interprétation impressionnante d’un James Dean à la présence magnétique qui illumine cette œuvre, une véritable consécration pour l’acteur. Egalement à applaudir, une mise en scène éclairée de la part Nicholas Ray qui a su mettre en valeur le jeu de haute tenue de ses acteurs. Vous l’aurez compris, ce classique est avant tout à savourer pour l’immense performance de James Dean mais aussi pour son sujet qui se répercute de plus en plus de nos jours.
Très bon film sur une jeunesse refoulant le cadre familial. James Dean est incroyable dans cette mise en scène persuasive qui nous tient en haleine du début à la fin. Un scénario étendu sur quelques jours seulement et qui nous montrera les dérives de la jeunesse, sa stupidité mais aussi ses blessures. La Fureur de vivre dresse habilement la relation et les conséquences de ces différents profils qui mèneront finalement vers un nouveau visage de cette jeunesse.
Un film magnifique. James Dean et son blouson rouge. Nathalie Wood, plus belle que dans West side story. Un baiser magnifique, cela vaut bien 4 étoiles ... Belle photo, plans avec un jeu de caméra impressionnant, histoire sublime, qui prend aux tripes, même aujourd'hui. Un film qui n'a pas vieilli comme a veillli West side story. James Dean ... quel dommage que sa carrière ait été stoppée par ... un accident de voiture. Film mythique à tous points de vue donc. La relation filiale et la relation amicale sont mieux représentées cependant que la relation amoureuse.
On le regarde sans lâcher prise. C'est rare de voir un film dont le scénario est aussi bien construit, James Dean est sensationnel. Un film qui fait partit de ceux qu'il faut avoir vu !