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Un visiteur
5,0
Publiée le 9 février 2013
Un grand classique du cinéma américain porté par le talent du charismatique James Dean, excellent dans la peau d'un écorché vif. Nicholas Ray nous livre une représentation touchante du mal-être adolescent à travers ce film à l'intrigue solide et à la réalisation fluide. Culte et intemporel!
L'écueil majeur du film est une inclinaison trop excessive vers la psychologie freudienne des personnages pour expliquer leurs comportements, défaut majeur des années 50-60. Autrement le film reste un formidable témoignage d'une époque.
Symbole du look de la jeunesse désinvolte des années 50, James Dean incarne la sobriété américaine avec son Jean Levi's et son t-shirt blanc... Il est sexy au possible, avec à ses côtés la jolie Natalie Wood.
superbe film des acteurs qui claquent du tonnerre, un james dean épique, une réalisation au top bref ce film est génial. pour l'histoire le film parle des difficultés de la jeunnesse à s'integrer dans le monde actuel avec plusieurs types de personnages comme le rebel dégouté qui deteste sa vie, qui essaie d'en changer mais qui ne comprend pas le comportement que les autres ont envers lui un autre qui serait plutot cette fois un pauvre enfant traumatiser un peu malade spoiler: qui finiras par exploser de folie . une fille qui cherche un sens à sa vie et qui se réfugie derrire une attitude de façade et traine avec des loubards qui veulent prouver qu'ils sont des hommes et qui cela cache évidemment un certain malaise bref tout est au top dans ce film et si je ne lui mets pas la note maximale c'est parce que ce n'est pas mon film préféré
Un bon film des années 50, james dean rayonne dans son rôle, le film est une atmosphère psychologique assez inattendues pour moi qui m'attendait a un film de bagnole avec pleins de course poursuite. Un bon vieux film.
Ce n'est pas le même genre de film que "Orange Mécanique" mais "La Fureur de Vivre" m'a fait ressentir la même puissance de par l'histoire et le jeu d'acteur. James Dean joue à merveille se rôle d'écorché vif. C'est un film sans espoir qui marque est impressionne. James Dean devient une légende grace à se film . Incontournable à voir pour tout bon cinéphile.
James Dean excellent, une présence scénique et un jeu admirable, de plus le role de Jim est très compliqué car c'est a la fois un jeune rebelle qui se moque des règles auprès des policiers et de ses parents mais c'est aussi un personnage profond et réfléchit qui est mis sur un pied d'estale par son camarade Platon, il devra alors endosser le role du grand frere exemplaire et raisonnable qui s'oppose totalement à l'autre facette de sa personnalité, celle du bad boy irresponsable que l'on découvre dans la premiere scene du film. L'amitié qui se tisse entre Platon et Jim est assez peu crédible étant donné qu'ils ne se connaissent pas au début du film et que celui ci relate une histoire qui se déroule sur une seule journée, idem pour l'amour qui nait entre Jim et Judy. Mais peut etre que c'est aussi cela qui fait le charme de ce film où les évènements s'enchaînent très vite. Une belle histoire sur la jeunesse et ses périls.
James Dean, Natalie Wood et Sal Mineo sont a la fois épatant et attachant. La Fureur de vivre restera un grand classique du cinéma Américain grâce a son J.Dean qui campe le rôle d'un ado a la perfection et notamment a ses nombreuses scènes inoubliables.
Un peu mieux qu' "A l'est d'Eden", premier grand rôle de James Dean, la pauvreté du scénario et de la mise en scène handicape une nouvelle fois ce "La fureur de vivre". La réflexion sur une jeunesse désenchantée reste intéressante d'autant plus qu'elle est toujours d'actualité mais cela n'en fait pas pour autant un bon film. Le succés de "La fureur de vivre" s'explique en grande partie par son acteur principal alors considéré comme l'icône du moment.
"La Fureur de vivre" serait-il toujours un film culte sans la présence de James Dean ? Rien n'est moins sûr tant le film enchaîne les clichés les uns après les autres. Car le point de vue Nicholas Ray, c'est le point de vue des personnages des parents : il ne comprend pas la jeunesse et l'admet, mais finit par prôner un retour aux valeurs familiales (le père doit être un homme, un vrai) franchement réactionnaires. Le film est intéressant jusqu'à la scène centrale de la falaise, les trois personnages principaux apparaissant jusque là comme plutôt juste, notamment lors de la séquence au commissariat au début. Par la suite, "La Fureur de vivre" prend des allures de thriller très classique, pas extrêmement captivant, où James Dean fait par ailleurs pâle figure par rapport au jeune Sal Mineo. Un film beaucoup moins marquant que la légende le laisse à penser.
En 1955, Nicholas Ray (qui avait déjà réalisé "Le violent" avec Bogart et "Les diables de Guadalcanal" (son deuxième film le plus connu aujourd'hui) avec John Wayne) met en scène James Dean (tout juste sorti de "A l'est d'Eden" (1954), on le retrouvera dans "Géant" de Stevens et décèdera, au volant de sa Porsche, 2 semaines après la fin du tournage), Sal Mineo (revu par la suite dans "Marqué par la haine" de Robert Wise et "Les cheyennes" de John Ford, lui aussi mort dans un accident d'avion en 1976) et Nathalie Wood (révélée par ce film, elle jouera ensuite dans les non moins célèbres "West side story" (toujours du même Wise !) et "La fièvre dans le sang" (aussi de Monsieur Kazan) notamment avant de mourir noyée (en 1981)) pour en faire un film sur le problème de l'adolescence. Ces trois stars montantes apportent toutes le tonus du film. La génération rebelle est vue au travers de l'incompréhension des adultes, mais aussi par une jeunesse qui se recherche. En celà, Sal Mineo apporte tout son savoir-faire dans ce domaine puisque son rôle est écrit avec fragilité mais détermination. Pour la scène qui apporte son devoir de mémoire, il s'agit bien sur de la course de voiture à côté de la falaise où la cool attitude est fraîchement apportée par James Dean. Nathalie Wood porte non seulement la touche féminine du film, mais fait en sorte de marquer de sa griffe "La fureur de vivre" : elle est la raison de vivre de James Dean, une sorte de confidente, mais aussi un moteur important pour l'histoire de la nuit de folie qu'ils vont vivre. Elle a la pêche et le transmet d'une façon complètement communicative que James Dean en tombe amoureux. Tout son talent est exprimée et cela crève l'écran. Tous les trois concourent ainsi à la réussite du film, mais malgré cette réalisation "classique", Nicholas Ray apporte son savoir-faire, et James Dean toute son aura démystifiante qui a l'art d'irradier l'écran de par une présence (un charisme) et une nonchalence tout à fait exceptionnelle. "La fureur de vivre" se démarque par ces qualités (scénaristique aussi, car Nicholas est à l'origine du script, ce que je prends le temps de souligner) qui font, à ce jour encore (57 ans après sa sortie !!!) un film toujours d'actualité à cause de son sujet. Film mythique aussi de par l'interprétation générale sans (aucune !) faille, tous morts tragiquement par la suite (mais aussi par la réalisation qui donne le ton grâce à un générique de début bougrement efficace). "La fureur de vivre" est donc à voir impérativement une fois dans sa vie pour une culture cinématographique inoxydable. A noter : Dennis Hopper tient ici l'un de ses tout premiers rôles !!! On le connaît tous pour ses interprétations dans "Apocalypse now" ou "Easy rider". Mais on l'a aussi vu aux côtés de John Wayne ("100 dollars pour un shérif") et Viggo Mortensen ("The indian runner").
Si James Dean est devenu la légende que l'on sait,il le doit surtout à ce chef d'oeuvre de Nicolas Ray,le premier film à atteindre avec autant de vérité la rébellion et le mal-être adolescent."La Fureur de vivre"(1954),trouve son style quelque part entre le classicisme de l'âge d'or hollywoodien et la modernité naturaliste à venir.Ce tiraillement sert le propos de l'adolescence malmenée des années 50.Ray prouve que même les jeunes des familles de la classe moyenne peuvent sombrer dans la délinquance ou les jeux extrêmes,juste par désœuvrement ou pour prouver leur valeur.Ainsi 2 mâles peuvent s'affronter au couteau,ou participer à une course-suicide,juste par défi,et alors qu'ils s'apprécient...Les coupables sont facilement identifiables:des familles faibles,absents ou désintéressés.Ces ados,sans repères parentaux,ont du mal à faire le deuil de leur enfance,ils se constituent une famille de substitution.Ils vivent au jour le jour,et James Dean incarnait mieux que quiconque cette figure mythique du rebelle tourmenté,en jouant un Jim Stark ténébreux.Natalie Wood montrait beaucoup d'aplomb pour ses 17 ans,et Sal Mineo révélait sa nature auto-destructrice.Ray a capté cette urgence de vivre,ce monde à part qu'est l'adolescence finissante.Un drame culte.
le film cultissime qui a fait la celebrite de james dean, uns cenario tres original tres bien travailler, avec une intrigue tres bien mener, un film passionnant du debut a la fin, un film a voir et a revoir, james dean creve l'ecran et les second roles sont tres credible, la fin est tout simplement inattendue est tres dramatique, un film tout simplement qui n'a pas prit une ride!!! un film que je conseille a tout le monde tout simplement:!!!!!