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    La Fureur de vivre
    Note moyenne
    4,0
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    239 critiques spectateurs

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    Last Action Zero
    Last Action Zero

    75 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2018
    Un drame tordu, malsain, perturbant, gênant, beau, poétique, psychanalytique, tragique, cathartique, et absolument fascinant. Histoire simple. Psychologie complexe. Scénario linéaire et inéluctable. Mise en scène classieuse. Esthétique subtile et belle. Un bon film, probablement un peu grossier et imparfait. Mais l'ambiance unique qui se dégage de Rebel Without A Cause, en a fait une œuvre culte et inoubliable, au prés de la jeunesse d’innombrables générations après lui. Et cela, en dépit de la mort de James Dean. Et non à cause. Le film n'a pas usurpé son rang. Rien que la séquence d'ouverture et j'étais scotché. Et puis, je ne sais pas pour vous. Mais voir Dennis Hopper et Nathalie Wood âgé de moins de vingt ans, c'est assez incroyable pour moi... Bon... C'est vrai que ça a pris quelques petits coups de vieux, de-ci de-là... Mais ça reste tout de même un "teen movie", qui rend la plus part des John Hughes et compagnie, bien fade, factice, superficiel, et totalement futile... Et puis, pour une fois qu'une société française de distribution, trouve un superbe titre qui surpasse la beauté de l'original... " La Fureur De Vivre "... On dirait presque du Baudelaire...

    P.S. : A voir absolument en VOST. Sinon, vous pouvez considérer que vous ne l'avez jamais vu...
    Fabien S.
    Fabien S.

    561 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2020
    Un chef d'oeuvre. Un très beau film avec James Dean, l'acteur rebelle et talentueux. Un très beau drame.
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2018
    Dans les années 50 en Amérique, Jim est un jeune homme qui cumule les problèmes et ne cesse de déménager. Dans une énième ville, il n’arrive pas éviter une bande dirigé par Buzz, cette fois, cela finira tragiquement.

    Ce grand classique du cinéma hollywoodien dépasse sans aucun doute les Brando de l’époque. James Dean joue ici à la perfection son rôle. La réalisation de Nicholas Ray est tout aussi louable, de par sa présentation des personnages et de sa mise en scène.
    Il est difficile d’énumérer toutes les qualités que possède le film. La musique, la photographie, les acteurs, le scénario - tout ce qui touche au film est un chef d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 juillet 2018
    James Dean fut avec Marlon Brando, le plus grand acteur américain des années 50 et aujourd'hui, il reste toujours un acteur culte. Si son décès prématuré ne lui laisse le temps que de jouer dans trois films, ceux-ci sont rentrés dans la légende : "Géant" "A l'Est d'Eden" et "La Fureur de Vivre" (Rebel Without A Cause).
    Celui-ci est sans doute le plus connu de "Jimmie" : le scénario est génial, et les acteurs sont tous très bons !
    Nicholas Ray a fait un travail de maître avec ce film qui est un plaisir à voir !
    Ghighi19
    Ghighi19

    70 abonnés 1 876 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Le mythe James Dean était né ! Un chef d oeuvre inoubliable et indispensable rien que pour Jimmy Dean incroyable de modernité dans sa façon d être de bouger et de jouer . Tout est inoubliable que des scènes cultes . C est le lot des grands films de survivre et de passer les générations. Un film suspendu dans le temps .
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Trois films en deux ans et une mort prématurée à 24 ans à bord de sa Porsche 550 Spyder, le 30 septembre 1955 aux abords de Salinas (à Cholame exactement) ont fait de James Dean une star pour l'éternité même si l'entrée dans le XXIème siècle a vu son étoile légèrement pâlir. Emblème de l'adolescent rebelle, mal à l'aise au sein de l' "american way of life" dont l'essence repose sur un consumérisme effréné imposé à tout crin par des capitalistes avides de profit et de pouvoir, James Dean s'impose très vite auprès de la jeunesse et les trois seuls films dont il a été la vedette deviennent cultes aussitôt après sa mort prématurée. "Rebel without a cause" ou "La fureur de vivre " en français occupe sans conteste la première place du trio au regard de la résonnance avec la mort de James Dean de la fameuse course à la mort face à une falaise qui constitue le clou du film. Nicholas Ray qui vient de réaliser "Johnny Guitare" (1954) et qui a déjà montré sa préoccupation pour les tourments de l'adolescence dans le somptueux "Les amants de la nuit" (1949) puis dans "Les ruelles du malheur" (1949) est contacté par la Warner pour mettre en scène l'adaptation d'un roman du psychiatre Robert M Lindner sur les adolescents violents. Suivant les conseils d'Elia Kazan, il choisit James Dean pour le rôle principal. Le scénario écrit par Irving Shulman et Stewart Stern implante l'action sur un campus universitaire de Los Angeles où le jeune Jim Stark (James Dean) vient de s'installer avec ses parents. L'incipit très signifiant nous montre un jeune homme ivre, recroquevillé sur lui-même en position fœtale, symbole un peu trop voyant d'un refus de grandir, qui conduit au commissariat du quartier va y croiser Judy (Natalie Wood) et Platon (Sal Mineo) les deux autres héros du film qui comme lui se réfugient dans la petite délinquance faute de repères parentaux pour les guider vers la liberté qui s'ouvre à eux. L'arrivée des parents de Jim, archétypes du couple bourgeois un peu trop âgé, incapables de voir leur fils grandir va indiquer très vite la morale qui sous-tendra tout le propos. Le renoncement des parents trop absorbés à leur réalisation matérielle est le déclencheur de ce mal de vivre qui mènera une décennie plus tard au mouvement hippie qui lui-même sera absorbé par le capitalisme triomphant des années 80 que dénoncera à son tour le cinéaste Larry Clark de manière beaucoup plus violente que Nicholas Ray. A partir de ce postulat de départ sans équivoque, le film accumule tous les poncifs encore accentués par un James Dean au jeu outrancier complètement ligoté par la fameuse méthode de l'Actor's Studio qui aura fait bien des ravages sur toute une génération d'acteurs. Marlon Brando, Paul Newman, Rod Steiger et Steve Mac Queen auront vécu assez longtemps pour se libérer du joug du mentor de l'institution Lee Strasberg et atteindre la plénitude de leur art. Comme Marilyn Monroe, James Dean n'aura pas eu cette chance. Nick Ray très en phase avec James Dean qui le fascinait et peut-être en relation amoureuse avec la toute jeune Natalie Wood n'a pas ici sa lucidité habituelle et n'arrive pas à éviter tous les pièges tendus par un sujet se prêtant au manichéisme et aux scènes à fort potentiel lacrymal. Certaines comme celle paroxystique où Jim enrage devant ses parents, sorte de réplique de celle où Marlon Brando renverse la table dans "Un tramway nommé désir" (Elia Kazan en 1951), tombe à plat, allant même jusqu'à friser le ridicule. La scène finale dans l'observatoire abandonné où Jim, Judy et Platon se réfugient pour reformer à leur manière un court instant une sorte de famille idéale s'avère être le moment où Ray parvient enfin à retrouver le sens de l'urgence et la fougue qui caractérisent son cinéma. C'est en réalité Sal Mineo d'une sobriété à rebours du reste du casting qui constitue la véritable révélation du film. Le sujet du décalage entre les générations est intemporel, mais Ray pour une fois peu inspiré est passé à côté. Si l'on souhaite accéder à toute la complexité et la force de son œuvre, "La fureur de vivre" le film de plus connu de Ray, aujourd'hui très daté ne doit pas servir de repère intangible sous peine de passer à côté de chefs d'œuvre comme "Les amants de la nuit" (1949) , "Le violent" (1950), "La maison dans l'ombre" (1952) , "Les indomptables" (1952), "Johnny Guitare" (1954) , "Derrière le miroir" (1956), "La forêt interdite" (1958) ou encore "Traquenard" (1958).
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Le thème est intéressant pour un film au final conventionnel, banale histoire d'ennui de jeune en manque de sensation forte jouant avec le feu avec cette association de voyous, un scénario prévisible, la partie du jeu qui se termine mal, difficile de s'émouvoir, la célèbre légende posthume de James Dean dans les mémoires, un acteur glamour à retenir qu'a une performance hors norme, il rentre dans le commun des mortels, je n’ai pas été marqué.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Second film mettant en vedette James Dean sorti moins d’un mois après sa mort, La Fureur de vivre est un film toujours aussi mythique plus de 60 ans après sa sortie. Le blouson rouge de l’acteur, le combat au couteau et la course de voitures restent gravés dans tous les esprits. Quelques mois après la sortie de Graine violence, Nicholas Ray dépeint une jeunesse délinquante cette fois issue des beaux quartiers. Celle-ci semble perdue en partie à cause de l’échec de la cellule familiale : le père de Jim, plein de bonne volonté, ne possède aucune autorité et est écrasé par sa femme (au point qu’il porte un tablier féminin dans une séquence) ; le père de Judy ne lui manifeste aucune affection ; les parents de Platon sont absents (sa mère est constamment en voyage et son père ne donne plus de nouvelles) et c’est une tutrice qui l’élève… Ces jeunes sont interprétés par une nouvelle génération d’acteurs brillants : James Dean (devenu une star pendant le tournage avec À l’est d’Éden, ce qui poussa la production à retourner toutes les séquences déjà réalisées afin que le film soit en couleurs et non plus en noir et blanc), Natalie Wood (bien qu’elle soit présente sur les écrans depuis qu’elle a 4 ans), Sal Mineo, Dennis Hopper (dont c’est la première apparition à l’écran)… La Fureur de vivre est donc une étape importante dans la reconnaissance de l’adolescence comme étant un âge à part dans la vie et comme ayant sa propre culture (Elvis Presley devient réellement une star quelques mois plus tard) mais est également un film très puissant servie par un cinémascope aux couleurs flamboyantes (alors qu’à cette époque les drames sociologiques étaient surtout réalisés en noir et blanc et en formats moins larges). Ainsi, malgré un petit détail narratif oublié dans sa conclusion (ce qu’il reste de la bande de Buzz va-t-elle continuer à vouloir se venger ?), La Fureur de vivre est une véritable réussite du cinéma hollywoodien qui transforma en icône un acteur au jeu révolutionnaire trop vite disparu : James Dean.
    P.  de Melun
    P. de Melun

    57 abonnés 1 142 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    Que dire si ce n'est que ce film a plutôt mal vieilli. Et quand bien même on essaie de se replacer dans le contexte des années 50 et d'oublier les musiques crispantes et le jeu maniéré des acteurs, on se retrouve face à des incohérences qui empêchent de rentrer dans le film. James Dean, alias Jim, n'est pas très crédible en lycéen de 17 ans et n'a rien d'un rebelle non plus. Finalement, il ne reste, outre son aura évidente et sa dégaine bien particulière, que le mal-être de l'adolescence, la perte de repères et la recherche de valeurs et ça c'est intemporel.
    Don Diego de Las Vega
    Don Diego de Las Vega

    6 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 août 2017
    C'est donc ça ???!!! Tout ça pour ça !!!! En quoi cette clownerie est une oeuvre majeure. C'est grotesque. Mais alors quel ennui, que les acteurs sont mauvais.... Une véritable purge de deux heures
    nicperpignan
    nicperpignan

    40 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Un véritable chef-d'oeuvre du cinéma ! James Dean au meilleur niveau d'acteur et un film classique mythique ! Du très grand cinéma Hollywoodien !
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    201 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2017
    La Fureur de Vivre est un bon film.
    L'histoire est très intéressant, mettant plutôt bien en avant, le désarroi de cette jeunesse des années 50. On reste plutôt accroché. Il y a une vraie dramaturgie dans ce film. On s'attache très rapidement aux personnages et la vacuité de leur vie nous inspire l'empathie.
    Les acteurs sont plutôt bons. James Dean est excellent. Natalie Wood et Sal Mineo sont bons, surtout pour voir que ce sont des acteurs débutants.
    Le statut de film culte est peut-être exagéré, mais ça demeure un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2016
    Ce film nous plonge dans une Amérique des années 50 ou on assiste tout au long du film d'une part à une fracture familiale de Jim avec ses parents et d'autre son comportement instable en pleine adolescence. Un couple qui est exaspéré face à leur fils mais aussi et plus après Jim qui se sent coupable de la mort de son ennemis.

    Des scènes magiques comme celle de Natalie Wood alias Judy et James Dean sont grandioses
    à commencer par celle ou il discute pour la toute première fois, Jim qui va à l'université non pas pour étudier mais pour conquérir cette jeune femme essentiellement, spoiler: leur amour dans ce château en passant par le baiser vers la fin
    .

    spoiler: La scène qui m'a fait rire est celle de son ami à Jim qui tient la chandelle avec ces deux amoureux, l'expression est vraiment bien placé ici et le contexte (ici le château) est bien trouvé :)


    spoiler: La scène des combats aux couteaux entre ce chef de bande et Jim sur les hauteurs avec une vue imprenables des paysages en fond est sublime.


    Quant aux acteurs, Natalie Wood est magnifique, James Dean s'impose, à du caractère, du répondant et à identifié des générations rebelles à lui dans beaucoup de ses films. Il interprète grandiosement son rôle. Il a malheureusement joué dans peu de film mais reste un Géant du cinéma teenagers des années 50.

    De l'action , du rebondissement, de l'émotion et une fin à la fois tragique spoiler: (la mort de l'ami de Jim)

    et belle aussi spoiler: pour ce nouveau couple qui se forme
    se combine très bien avec un film bien construit et filmé pour l'époque.
    Eselce
    Eselce

    1 418 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2016
    Aujourd'hui, le seul intérêt du film est la très bonne prestation de James Dean, trop vite disparu. Ici, il a le look et la manière d'être d'une idole de l'époque, très viril même aujourd'hui. Le film est cependant trop lent et les autres acteurs sont beaucoup moins bons que le principal, à l'exception du leader adverse. Le film est tout de même le reflet d'une époque avec des jeunes gens qui semblent désabusés et une incompréhension réciproque des relations entre parents et jeunes entrant dans l'âge adulte. J'aime beaucoup les différents regards qu'adoptent James Dean tout au long du film et la maturité de ce dernier qui se lit dans le regard et dans son jeu d'acteur. Si je devais noter le film sur l'acteur seul, la note serait proche du maximum. Mais il est indéniable qu'il vieillit mal, pour moi et ne vaut le coup d’œil que pour l'acteur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mai 2016
    Voilà un classique très iconique, un film qui est resté dans les mémoires en partie grâce à son acteur principal : James Dean. Après sa magistrale performance dans A l'est d'Éden, j'avais bien envie de voir ce qu'il pouvait donner dans ce film. Au final il est bon, moins que dans le film de Kazan, mais il est bon quand-même, tout comme les autres acteurs. Le film traite de pas mal de thématiques intéressantes sur l'adolescence, la jeune génération, il est très ambitieux à ce niveau mais malheureusement pas toujours subtile, la faute à une écriture de personnages quelquefois un peu bancale, surtout celui de Wood (on y croit pas, ce qu'elle fait, son caractère, sa façon de changer de petit-copain comme ça, de n'exister que par l'intermédiaire d'un mec...). En me relisant je me rends compte qu'on pourrait croire que je défonce le film, alors que non, c'est bien : le technicolor est beau et il y a des séquences vraiment marquantes, mais c'est inférieur à ce à quoi je m'attendais et au chef-d'œuvre suprême qu'on me vantait.
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