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    La Fureur de vivre
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    239 critiques spectateurs

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    Megaladro
    Megaladro

    16 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2023
    C'est assez difficile de donner une note à ce film. Je pense qu'en le remettant dans le contexte de sa sortie, le truc est en effet plutôt culte. Certaines séquences marchent super bien, c'est dynamique, bien filmé, le scoring est de qualité, les acteurs sont (souvent) bons, mais passé la première heure, le film prend une direction assez inattendu, le rythme ralenti pour mener à climax franchement peu brillant et assez absurde. Aussi, les personnages sont parfois lourdement écris, tout est très manichéen et son pote est vraiment un faire-valoir qui sert à rien sans le héro et semble ne pas exister sans lui, pareil pour sa copine qui oublie en 5 minutes son petit ami mort. Mais en vrai je pinaille un peu le film est bon
    gregoire s.
    gregoire s.

    34 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    Film sur la jeunesse américaine dans les années 50, La Fureur de vivre signe le premier d'une série de trois films mythiques interprétés par James Dean et interrompu par la mort tragique de l'acteur à seulement 24 ans.
    Course de voiture, bagarre au lycée pour impressionner les filles, en outre un précurseur du teen movie à l'américaine.
    Le simple fait de voir cet acteur à l'écran suffit à faire de ce film un chef d'œuvre : 5/5.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2022
    L’adieu à l’enfance, l’absence de repères, la démission de la cellule familiale et plus particulièrement celle de la figure paternelle, tels sont les principaux thèmes que « la Fureur de Vivre » abordent. La beauté triste et pleine de symboles de la mise en scène de Nicholas Ray fait partie intégrante de la naissance du mythe autour de James Dean, mort à 24 ans, le 30 septembre 1955, un mois avant la sortie du film et devenu instantanément le symbole éternel d’une jeunesse rebelle et révoltée en plein désarroi. Plus que quiconque et surtout de Nathalie Wood dont on cerne difficilement le personnage, Sal Mineo apporte toute sa fragilité auto-destructrice à ce sombre drame sur l’adolescence américaine des années 50. Un film intemporel, dans la veine de « L’Equipée Sauvage » ou encore de « Graine de Violence », entré depuis dans la légende du 7ème Art.
    jerome s.
    jerome s.

    5 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2022
    Un film très touchant sur le fait de grandir et la relation entre un père et un fils. Bien que quelques coquilles se sont introduit dans le montage final avec quelques incohérence, un rythme trop rapide à la fin de sa narration. Le film est néanmoins une curiosité sympathique sur le fait de devenir un homme, bien qu'il soit daté.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    4 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2022
    Le film qui fît entrer James Dean dans la légende peu avant sa tragique disparition...
    "La Fureur de vivre" y traite du mal être des adolescents de façon tellement juste. Il y a une certaine tension dramatique qui maintient en haleine du début à la fin. C'est du grand et du beau cinéma.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2022
    Probablement la meilleure performance de James Dean et une référence dans le genre. L'intensité et le rythme sont tels que le film est encore excellent plus de 60 ans après.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Un film sur le sujet acceptation des autre et de son adolescence lors que l'on est à université, avec des coup bas de partout de l'amour et des voyou qui souvent nous prennent en grippe ce qui le cas ici . Un film sur la jeunesse en crise ( mais bon elle est toujours en crise jamais contente !) brosse le portrait de la jeunesse des classes moyennes durant les années 1950. mais la vie étaient moins divertissante que a notre époque mais justement moins de distraction pour être plus avec sa famille et ses amies . Des coup bas , une excellente interprétation de James Dean pour un de ses dernier film . On décroche malheureusement assez rapidement .

    résumé :
    Un jeune homme qui viens d'arriver à los Angeles avec ses parent et pris en grippe par des étudiants qui lui lance de nombreux défis humiliant au cours de l'un d'eux un des étudiants trouve la mort . James Dean décide de voir la police malgré l'interdiction de ses parents .

    C'est un film qui laisse assez passif en fait, et ne dégage pas grand chose passe temps intéressant pour comprendre le charme rebelle du mythique James Dean, mais pas un film qui restera dans mes annales loins de la !
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2021
    Ce film, étant connu entre autres pour être le premier teen-movie, réalisé par Nicholas Ray et sorti en 1955, n'est pas mal du tout ! Mais j'avoue néanmoins en être un peu déçu ! Ce qui est en même temps, je dirai, le problèmes avec les films ou les œuvres en général, desquelles on entend l'éloge depuis toujours. On s'attend alors forcément à quelque-chose d'extraordinaire et l’œuvre en question ne peut forcément pas être à la hauteur de nos attentes ou de ce que l'on avait projeté dans nos têtes. Je me suis donc une nouvelle fois fait avoir avec ce problème ici, bien que je reconnaisse les qualités évidentes du film. C'est donc l'histoire de Jim qui déménage à Los Angeles et qui a du mal à se faire de nouveaux amis. Bon, dit comme ça, ce n'est pas vraiment représentatif de l'ensemble mais en gros c'est ça. Il se fait des amis comme des ennemis, tout en étant en plein conflit avec ses parents. C'est par ailleurs très intéressant car on remarque vraiment que les teen movies actuels fondent encore leur scénario sur les bases qu'avaient construites ce film. On retrouve en effet l'identification du spectateur au nouvel élève, les clans, les populaires et les moins populaires, la romance, les conflits générationnels etc. Par ailleurs, le film est très intéressant sur ce propos car il est le premier à réellement faire état d'une cassure entre les générations et à déconstruire cette de famille parfaite et heureuse vivant en banlieue pavillonnaire. Alors, évidemment le film a aujourd'hui pris un coup de vieux mais je trouve que cela contribue aujourd'hui à son charme. Bon après, ce qu'un point de vue subjectif, mais j'apprécie beaucoup ces films des années 50 avec des décors studios, ce travail du son qui a énormément vieillis et ce jeu d'acteur très théâtral. D'ailleurs, en ce qui concerne le casting, tous jouent très bien, notamment James Dean, Natalie Wood, Sal Mineo, Jim Backus etc. "La Fureur de vivre" est donc, malgré ses quelques longueurs et son introduction un peu longue, un bon film !
    Charlotte28
    Charlotte28

    127 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Les errements funestes d'une jeunesse désabusée par fragilités psychologiques... Rebels without a cause résume bien mieux le mince contenu scénaristique! Entre l'agressif play-boy décérébré et l'inconséquente peste amoureuse de son père, les symboles de la jeunesse des années 50 semblent bien pathétiques...d'autant que s'exprime un idéal paternaliste très vieilli où la fille doit passer d'une protection masculine à une autre tandis que le traumatisme de Jim Stark provient de l'absence de domination violente de son père envers sa mère! Reste l'iconique James Dean, au jeu puissamment dense. Mais cette égérie atemporelle ne confère pas cet attribut à un film témoignant de pensées désuètes et d'une intrigue peu stimulante...
    gabdias
    gabdias

    89 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2020
    Œuvre culte qui envoie James Dean au panthéon d’Hollywood puisqu’il décéde peu de temps après. Œuvre majeure à laquelle toute une génération s’est identifiée, pourtant N.Ray gère une sorte de classicisme au cœur d’une noirceur et d’une tension permanente. J.Dean est étonnant et bouleversant, N.Wood est incandescente, bref classique et culte à voir et revoir.
    JCADAM
    JCADAM

    4 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2020
    Le film tient surtout grâce à l'énorme performance de James Dean et d'une belle image. Sinon pour le reste Nicholas Ray parle du mal être de la jeunesse avec justesse, où beaucoup d'adolescents peuvent s'identifier, par contre j'ai trouvé l'histoire un peu vieillotte, quant aux dialogues ils sont un peu trop nombreux au détriment des scènes d'actions qui sont elles peu présentes, du coup on est un peu lassé, puis ce qui m'as beaucoup gêné c'est que l'histoire à defois ni queue ni tête, quand Buzz tombe de la falaise, ses amis n´ont aucunes réactions et se tirent, pire ils vont même se câliner dans un palace abandonné. En revanche j'ai trouvé intéressant l'évolution de Jim Stark il va même finir par être négociateur pour la police. Ça reste un film mythique à regarder, même si pour moi il est un peu surcôté.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    Découverte d’un des films symbole de la carrière éclair de James Dean, La fureur de vivre m’a laissé un impression très mitigée. Premièrement et c’est disons le d’emblée la mise en scène qui sauve aujourd’hui le film. Celle ci est inspirée, académique mais tellement en rapport avec ce qu’elle raconte qu’elle passe pour un travail d orfèvre. Et ... c’est presque tout. Le reste paraît aujourd’hui extrêmement daté. Déjà il est difficile d’accrocher à un film où tous les personnages semblent être des imbéciles. Traitant d’une jeunesse qui se laisse tomber dans le goût du risque parce que délaissée par des parents absents ou au contraire trop pressants, les deux générations sont pour moi à renvoyer dos à dos car aucun ne semble dotée d’un soupçon d’intelligence. Le seul personnage a peu près censé est l’inspecteur de police de la scène d’ouverture c’est tout dire. Autre soucis important le choix des acteurs pour les adolescents, censés devoir interpréter des lycéens ils paraissent tous à par Sal Mineo bien trop âgés pour de futurs diplômés à moins qu’il n’aient redoublé une bonne dizaine de fois (ce qui est possible vu leur niveau de bêtise). Pour l’ensemble du casting la manière de jouer est très vieillotte, ça sur joue ça accentue beaucoup et pas grand chose ne paraît naturel ou crédible, mise à part la nonchalance apparente de James Dean qui a été pour beaucoup dans son succès. Heureusement je le disais qu’il y a la mise en scène qui offre des scènes très réussies comme le fameux défi en voiture sur la falaise, ou la visite de la maison abandonnée, mais le portrait de cette Amérique blanche des années 50 ne fonctionne plus aujourd’hui.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Classique du cinéma américain pour son portait d'une jeunesse désenchantée et pour l'une des rares interprétations de James Dean, "La fureur de vivre" est pourtant un film mineur dans l'oeuvre de Nicholas Ray. Le film est convaincant quand il met en scène les tensions entre Jim et la bande qui le teste pour savoir si elle peut l'accepter; car en même temps que les clichés sont appropriés avec un mélange de gourmandise et de drame (la bataille au couteau, la course de voitures), c'est aussi un double mouvement contradictoire qui est dépeint : élan vitaliste (appartenir à un groupe, défier les institutions) et pulsion de mort (faire valoir son ego, accepter coûte que coûte les rivalités) vont ainsi de pair. Le film rate en revanche sa bascule vers une dimension plus affective, voire sentimentale. Il faut dire que les personnages manquent clairement d'épaisseur et de complexité, la faute à une écriture qui traite de façon trop peu viscérale les relations toxiques entre enfants et parents. "La fureur de vivre" finit même par recourir à un schématisme décevant qui s'illustre dans un final qui ne met en scène qu'une série d'oppositions prévisibles et stériles : le constat est en effet d'une grande platitude – on ne gagne jamais contre la police et on n'échappe pas à l'autorité parentale. Formellement séduisant et non dépourvu de scènes où la légèreté est vite rattrapée par la tragédie, "La fureur de vivre" n'a malheureusement pas l'âme malade et dépressive du vrai grand film américain sur une jeunesse au bord de gouffre : "La fièvre dans le sang", d'Elia Kazan.
    SHANICE
    SHANICE

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2020
    “La fureur de vivre” ou alors “Rebel without a cause” est le chef- d’oeuvre incontournable de James Dean. “Le film qu’il l'a ramené à son statut d’icône”. Pour un film de 1955, la mise en scène et le scénario sont toujours d’actualité sauf quelques scènes de violences qui peuvent paraître un peu vieillotte pour certaines personnes de la nouvelle génération: “ spoiler: La bataille avec les couteaux où James Dean à la chemise propre et non ensanglantée d’une scène à une autre”
    ou alors spoiler: la “course” en voiture
    . Cependant le rôle de Jim Stark (James Dean), un adolescent bourgeois mais au final, meurtri par sa famille ,sa solitude et l'interrogation permanente sur son identité, arrive encore à nous émouvoir. Malgré un terminal prévisible et un peu longuet, on essaye de savoir et comprendre la personnalité de cette adolescent. Pour ce qui est des autres personnages Judy (Nathalie Wood) est touchante en espérant l'amour de son paternel. En revanche spoiler: l'histoire d'amour entre elle et Jim Stark
    n'est pas du tout crédible. Ensuite vient le "meilleur ami" de Jim Stark, Plato (Sal Mineo), qui interprète très bien son rôle (qui ressemble à un peu à celui de Jim Stark mais en plus peureux), mais parfois il peut être un peu lourd et joue beaucoup sur le pathos.
    Pour conclure, "Rebel without a cause" explique comment des jeunes adolescents qui ont pourtant tout pour être heureux (argent, amour parental etc..) peuvent ressentir un profond mal-être.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Film vraiment vieillot dans le style mais dense et intéressant dans la forme avec des jeunes BCBG désœuvrés et un adolescent qui a 10 ans de trop par rapport au rôle!!
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