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8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean Domarchi
Son rythme est celui du cœur : détendu et crispé, inquiet et confiant. Nicholas Ray est le cinéma comme Bach est la musique. Cahiers du cinéma 59, mai 56
Critikat.com
par Nicolas Maille
Tout en s'inscrivant dans la tradition du classicisme hollywoodien, "La Fureur de Vivre" (...) n'est pas loin de la tragédie opératique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
France Soir
par Robert Chazal
C'est déjà un classique et c'est toujours la meilleure réussite du genre. France-Soir, 26 octobre 62
Le Monde
par Jean De Baroncelli
La mise en scène de "La fureur de vivre" est d'une qualité exceptionnelle. Voilà un film qui est un film. Un vrai. Le Monde, 7 mai 56
Zurban
par Véronique Le Bris
Un film sombre, douloureux, dans lequel toute une génération a pu se reconnaître.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Un chef-d'oeuvre intemporel et universel qui parle d'amour, d'amitié, de rébellion face à l'ordre établi, et d'idéalisme.
Libération
par La rédaction
Un très grand film américain. Libération, 4 avril 56
Positif
par Roger Tailleur
Avec "Rebel Without a cause", non seulement [Nicholas] Ray déploie tout l'arsenal, mais il le fourbit et le fait briller de tous ses feux. Positif 17, juin 56
Cahiers du Cinéma
Son rythme est celui du cœur : détendu et crispé, inquiet et confiant. Nicholas Ray est le cinéma comme Bach est la musique. Cahiers du cinéma 59, mai 56
Critikat.com
Tout en s'inscrivant dans la tradition du classicisme hollywoodien, "La Fureur de Vivre" (...) n'est pas loin de la tragédie opératique.
France Soir
C'est déjà un classique et c'est toujours la meilleure réussite du genre. France-Soir, 26 octobre 62
Le Monde
La mise en scène de "La fureur de vivre" est d'une qualité exceptionnelle. Voilà un film qui est un film. Un vrai. Le Monde, 7 mai 56
Zurban
Un film sombre, douloureux, dans lequel toute une génération a pu se reconnaître.
aVoir-aLire.com
Un chef-d'oeuvre intemporel et universel qui parle d'amour, d'amitié, de rébellion face à l'ordre établi, et d'idéalisme.
Libération
Un très grand film américain. Libération, 4 avril 56
Positif
Avec "Rebel Without a cause", non seulement [Nicholas] Ray déploie tout l'arsenal, mais il le fourbit et le fait briller de tous ses feux. Positif 17, juin 56