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À travers le regard d'une belle palette de réalisateurs internationaux, "7 jours à La Havane" prend la température de la capitale cubaine et en dépeint, sur un ton léger, la réalité sociale.
Certains segments tirent leur épingle du jeu (...). D'autres déçoivent (...). Mais dans l'ensemble ces "7 jours à la Havane" ne manquent pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Pas mal. "El Yuma" (...), "La Fuente", de Laurent Cantet (...). Passables. "Jam Session", de Pablo Trapero (...) "Ritual", de Gaspar Noé (...). Pas bons. Tous les autres, pourtant signés Julio Medem, Elia Suleiman et Juan Carlos Tabio : sujets ou traitements trop légers, voire sibyllins, aucun regard neuf si ce n'est pertinent sur la ville.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Autant de saynètes qui, sans échapper aux poncifs, essaient de s'aventurer dans les coulisses de l'île, entre croyances populaires, combines et rêves d'ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
On dit toujours que les films à sketches sont inégaux. Celui-ci ne vaut que pour deux (...) Comme Suleiman, [Gaspar Noé] porte un regard à la fois personnel et profondément cinématographique sur la Havane. C'est là ce qui manque aux autres films.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Pas plus qu'il n'était nécessaire de visiter les dix-huit arrondissements de "Paris je t'aime" ou de s'infliger les onze flirts de "New York I Love You", il est ainsi parfaitement inutile de passer "sept jours à La Havane" en compagnie de quelques cinéastes globe-trotters trimbalés à grands frais chez Castro.
On croirait une production de l'Office du tourisme cubain. C'est dire si ce film à sketchs, réalisé par des cinéastes connus, ne vaut pas tripette. Fictions exotiques ou exploration soi-disant authentique de l'âme cubaine, peu importe : on baigne dans les stéréotypes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Forcément inégal mais avec des fulgurances inoubliables dont le segment réalisé par Gaspar Noé, jamais aussi génial que quand il fait court.
Les Fiches du Cinéma
À travers le regard d'une belle palette de réalisateurs internationaux, "7 jours à La Havane" prend la température de la capitale cubaine et en dépeint, sur un ton léger, la réalité sociale.
Metro
Certains segments tirent leur épingle du jeu (...). D'autres déçoivent (...). Mais dans l'ensemble ces "7 jours à la Havane" ne manquent pas de charme.
L'Express
Pas mal. "El Yuma" (...), "La Fuente", de Laurent Cantet (...). Passables. "Jam Session", de Pablo Trapero (...) "Ritual", de Gaspar Noé (...). Pas bons. Tous les autres, pourtant signés Julio Medem, Elia Suleiman et Juan Carlos Tabio : sujets ou traitements trop légers, voire sibyllins, aucun regard neuf si ce n'est pertinent sur la ville.
Le Monde
Sur les sept courts-métrages situés dans la capitale cubaine, seul celui d'Elia Suleiman se détache nettement.
Le Parisien
Au final, cela donne sept moyens-métrages de qualité assez inégale.
Le Point
Voir le site du Point.
Marianne
Autant de saynètes qui, sans échapper aux poncifs, essaient de s'aventurer dans les coulisses de l'île, entre croyances populaires, combines et rêves d'ailleurs.
Positif
On dit toujours que les films à sketches sont inégaux. Celui-ci ne vaut que pour deux (...) Comme Suleiman, [Gaspar Noé] porte un regard à la fois personnel et profondément cinématographique sur la Havane. C'est là ce qui manque aux autres films.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Tout cela n'est pas désagréable, mais beaucoup trop inconstant pour dépasser le stade du gadget chic.
Cahiers du Cinéma
"7 Jours à la Havane" aurait gagné en authenticité en s'intitulant plutôt : Prends l'oseille et tire-toi.
La Croix
Dans ce film collectif, quelque chose passe, bien sûr, de la réalité d'un pays à la fois jeune et exsangue. Mais si peu, si mal.
Les Inrockuptibles
Pas plus qu'il n'était nécessaire de visiter les dix-huit arrondissements de "Paris je t'aime" ou de s'infliger les onze flirts de "New York I Love You", il est ainsi parfaitement inutile de passer "sept jours à La Havane" en compagnie de quelques cinéastes globe-trotters trimbalés à grands frais chez Castro.
Télérama
On croirait une production de l'Office du tourisme cubain. C'est dire si ce film à sketchs, réalisé par des cinéastes connus, ne vaut pas tripette. Fictions exotiques ou exploration soi-disant authentique de l'âme cubaine, peu importe : on baigne dans les stéréotypes.