Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Positif
par Christian Viviani
"Snake Eyes" est plus profondément un film de son temps car De Palma, cinéaste cinéphile s'il en fut, soucieux de réfléchir sur son art, propose un discours sur la différence entre le regard et le voyeurisme ainsi que de la faillite de l'axiome narratif d
Le Monde
par S.Bd
De Palma réussit là où tout le cinéma américain s’est cassé les dents depuis vingt ans : créer, grâce à une forme typiquement hollywoodienne, celle du thriller, un film qui règle ses comptes avec trente ans d’histoire. Le Monde, 12 novembre 98
Les Inrockuptibles
par La rédaction
L’indéniable virtuosité de De Palma n’est frappée d’aucune vanité et lui permet d’édifier (…) un fascinant puzzle dramaturgique. Les Inrocks, 10 novembre 98
Télérama
par Jacques Maurice
On pourra dire ce qu’on veut –que le film est un peu long, un peu trop tapageur dans sa virtuosité, un peu trop théorique-, De Palma l’a encore joué fine. Il l’emporte,non par KO, mais, largement, aux points. Télérama, 11 novembre 98
Positif
"Snake Eyes" est plus profondément un film de son temps car De Palma, cinéaste cinéphile s'il en fut, soucieux de réfléchir sur son art, propose un discours sur la différence entre le regard et le voyeurisme ainsi que de la faillite de l'axiome narratif d
Le Monde
De Palma réussit là où tout le cinéma américain s’est cassé les dents depuis vingt ans : créer, grâce à une forme typiquement hollywoodienne, celle du thriller, un film qui règle ses comptes avec trente ans d’histoire. Le Monde, 12 novembre 98
Les Inrockuptibles
L’indéniable virtuosité de De Palma n’est frappée d’aucune vanité et lui permet d’édifier (…) un fascinant puzzle dramaturgique. Les Inrocks, 10 novembre 98
Télérama
On pourra dire ce qu’on veut –que le film est un peu long, un peu trop tapageur dans sa virtuosité, un peu trop théorique-, De Palma l’a encore joué fine. Il l’emporte,non par KO, mais, largement, aux points. Télérama, 11 novembre 98