Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Une émouvante curiosité illuminée par le jeune comédien Atli Oskar Fjalarsson.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Éric Derobert
Caricaturaux dans un drame réaliste, les personnages d'adultes empêchent que n'affleure une réelle épaisseur des situations. Les jeunes acteurs, particulièrement bien dirigés, éveillent cependant une certaine empathie.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Dans le registre périlleux de la fresque adolescente, cette chronique chorale islandaise évite les pièges redoutés avec un tact et un respect plus que bienvenus pour ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Clément Graminiès
Avec une vraie empathie pour ses personnages, le réalisateur se risque à un portrait générationnel un peu mal fagoté mais pas déplaisant, tandis que les adultes sont le véritable talon d'Achille de cette oeuvre un peu trop fragile pour convaincre vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
Sans jamais révolutionner le genre, "Jitters" est juste. Il réaffirme l'universalité de la désolation de cet âge de transition qu'est l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un premier film sur l'adolescence et ses problématiques, qui ne prend pas d'autres risques que celui qui consiste à dire : "vois, c'est ainsi que j'ai été jeune". Rien de nouveau sous le soleil, fut-il islandais...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Charbon
Teen movie assez modeste, "Jitters" décline pourtant les figures imposées avec une certaine grâce. Si le charme opère, c'est que le film n'essaie pas d'aller plus loin que ce qu'il montre. Pas un cliché ne nous est épargné, même utilisé avec une certaine justesse dont le seul but est de faire joli.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Nicolas Didier
Si les adultes sont un peu stéréotypés, les jeunes sont dessinés et interprétés avec justesse. Le réalisateur, accompagné par la pop cotonneuse d'Ólafur Arnalds (musicien islandais de renom), les filme avec toute la douceur du monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré un épisode tragique – qui passe comme une lettre à la poste –, ce film choral est plutôt monocorde. Si "Jitters" n'est pas vulgaire, il reste d'une insigne banalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Bien servi par un casting assez gracieux, "Jitters" manque d'une idée forte susceptible de donner une voix personnelle à sa cause, et l'adolescence tourmentée qu'il montre ressemble à toutes les autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La Rédaction
[Le film] peut séduire doucement dans ses premières scènes (...) avant que le retour au pays ne signe l'arrêt de mort cérébral du film, qui adopte alors une forme chorale terriblement convenue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Metro
Une émouvante curiosité illuminée par le jeune comédien Atli Oskar Fjalarsson.
Positif
Caricaturaux dans un drame réaliste, les personnages d'adultes empêchent que n'affleure une réelle épaisseur des situations. Les jeunes acteurs, particulièrement bien dirigés, éveillent cependant une certaine empathie.
TéléCinéObs
Dans le registre périlleux de la fresque adolescente, cette chronique chorale islandaise évite les pièges redoutés avec un tact et un respect plus que bienvenus pour ses personnages.
Critikat.com
Avec une vraie empathie pour ses personnages, le réalisateur se risque à un portrait générationnel un peu mal fagoté mais pas déplaisant, tandis que les adultes sont le véritable talon d'Achille de cette oeuvre un peu trop fragile pour convaincre vraiment.
Ecran Large
Sans jamais révolutionner le genre, "Jitters" est juste. Il réaffirme l'universalité de la désolation de cet âge de transition qu'est l'adolescence.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film sur l'adolescence et ses problématiques, qui ne prend pas d'autres risques que celui qui consiste à dire : "vois, c'est ainsi que j'ai été jeune". Rien de nouveau sous le soleil, fut-il islandais...
Les Inrockuptibles
Teen movie assez modeste, "Jitters" décline pourtant les figures imposées avec une certaine grâce. Si le charme opère, c'est que le film n'essaie pas d'aller plus loin que ce qu'il montre. Pas un cliché ne nous est épargné, même utilisé avec une certaine justesse dont le seul but est de faire joli.
Télérama
Si les adultes sont un peu stéréotypés, les jeunes sont dessinés et interprétés avec justesse. Le réalisateur, accompagné par la pop cotonneuse d'Ólafur Arnalds (musicien islandais de renom), les filme avec toute la douceur du monde.
L'Humanité
Malgré un épisode tragique – qui passe comme une lettre à la poste –, ce film choral est plutôt monocorde. Si "Jitters" n'est pas vulgaire, il reste d'une insigne banalité.
Le Monde
Bien servi par un casting assez gracieux, "Jitters" manque d'une idée forte susceptible de donner une voix personnelle à sa cause, et l'adolescence tourmentée qu'il montre ressemble à toutes les autres.
Libération
[Le film] peut séduire doucement dans ses premières scènes (...) avant que le retour au pays ne signe l'arrêt de mort cérébral du film, qui adopte alors une forme chorale terriblement convenue.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.