Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Claude DL
93 abonnés
1 691 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 24 juin 2020
Dans l’absolu, ce film musical est une réussite, avec une Audrey Hepburn rayonnante. En relatif, l’œuvre ne soutient pas la comparaison avec West Side Story, sorti quasiment en même temps. La musique se résume ici essentiellement à un refrain, certes entraînant mais un peu seul, et surtout la durée est beaucoup trop longue pour la minceur du scénario.Comparé à la richesse musicale et à l’émotion dégagée par WSS...
Les musiques ne sont pas prenantes et ne font pas avancé l'histoire, le doublage est terrible, on ne comprends pas tout. Enfin les remarques sexistes sont présentes du début à la fin et à chaque minutes c'est très dérangeant !
Les grandes comédies musicales ne meurent jamais. Pourtant j'ai été surpris de voir combien celle-ci contient peu de parties chantées. Et heureusement d' ailleurs car seule Audrey Hepburn a une voix digne de nos comédies modernes.
Magnifique classique du cinéma d'Hollywood, merveilleusement joués par de grands acteurs, agréable moment devant ce spectacle musical dansant enchanteur au scénario fabuleux, la féérie des temps modernes réels. Tous les superlatifs viendront à l'esprit pour décrire ce film immense, un peu et beaucoup de pincée de poussière américaine en l'instant d'une mise en scène, l'on peut transformer une petite marchande de fleurs anglaise métamorphosée vers l'évolution.
Si si c'est possible en l'an de grâce 1912 au royaume de George des Lords et de Sir, n'ayez pas la tête à l'Ouest atlantique, dépaysé en posant les valises à Londres voir ses manières populaires, à prendre du bon côté des choses et c'est une très bonne chose, soyons charmés par son accent délicieux. Un régal de phonétique à apprendre chez le professeur spécialisé en imminence, Doremi Fasol Lasi..... : pensons à l'étoile qui naîtra de la Warner Bros, on est ébloui par les feux d'artifice au ciel, de ses habitudes aux origines modestes campagnards patriarches.
Audrey Hepburn se rectifie sur son écriture, l'orthographe et le vocabulaire de la plus haute importance dans la langue de Sir Shakespeare, laissons la conjugaison compliquée en marge, c'est clair. Ce sera génial pendant 2h50 sans que le temps passe inutilement, la fête est conviviale dans une comédie dramatique musicale aux air harmonieux, chef-d'œuvre et oscar à saliver, dévorer la récompense prix statuette chocolatée d'or !!!!!
Déçu. Hormis "Wouldn't it be lovely", les chansons m'ont paru faibles et les interprétations masculines souvent exagérées. Je pense au personnage du père d’Eliza mais aussi au Pr. Higgins. Les numéros chantés sont parfois trop longs (la noce du père d’Eliza avant son mariage). Adapté de la pièce "Pygmalion" de George Bernard Shaw, on ressent malheureusement une impression de théâtre filmé dans les nombreuses scènes situées chez le Pr. Higgins. spoiler: On ne comprend pas comment ce personnage arrogant et misogyne peut séduire Eliza. Reste quelques moments touchants dans la dernière partie du film et bien sûr le charme éblouissant d'Audrey Hepburn, excellente comédienne ici encore.
Je suis passé complètement à côté de cette comédie musicales interminable. Est-ce réellement un classique ? Par où commencer ? Comment ne pas trouver cette histoire abominablement sexiste ? Cet homme détestable qui modèle une ingénue selon ses désirs, mais surtout selon des critères machistes désolants. Les personnages sont tous affreux. Aucune sympathie ne dégage de cette histoire d'une autre époque. Passons sur les chansons mielleuses, oublions l'interprétation grandiloquente de ses stars. 2h40 c'est long, vraiment trop long quand on baigne dans ce formol réac périmé.
Ah la la Merveilleux! Sublime! Grandiose! Je n’aurai jamais assez de descriptifs pour un tel chef-d’œuvre! My Fair Lady est l’une des meilleurs comédies musicales de tous les temps! Avec ses costumes, sa musique et ses décors My Fair Lady a amplement mérité en 1965 son titre d’oscar du meilleur film! Un film féérique! A voir absolument!
Excellent et brillant pour ceux qui aiment les musicals un peu surannée mais justement bourré de charme . Le minaudage de Mrs Hedburn un peu énervant à force mais le charisme de Rex Harrison fait le reste et la différence. So charming !
My fair lady est une comédie musicale sympathique. Audrey Hepburn se métamorphose dans ce film, de la péquenaude (avec un accent à la limite de l'exagération) à l'aristocrate. Elle est excellente dans ce rôle, un des plus importants de sa carrière. En revanche, c'est dommage que ce ne soit pas elle qui chante les scènes musicales (et cela s'entend particulièrement). Les personnages sont très sympathique, d'Eliza au professeur Higgins (qui est absolument méprisable au début du film), leur complicité est intéressante à suivre. Celui du père d'Eliza m'a moins intéressé. On voit bien que le film est tiré d'une comédie musicale (le côté théâtrale de ce film ressort particulièrement). Par contre, je n'ai pas spécialement été marqué par les chansons de ce film (aucune ne m'est vraiment restée en tête), ce qui est assez dommage pour une comédie musicale. Le film pèche aussi par sa longueur, et personnellement, je me suis ennuyé par moment. Mais au global, ça reste un classique très agréable à regarder.
Suis-je la seule ? Je n'ai pas aimé du tout, mis à part la beauté de le jeu d'Audrey Hepburn. J'ai tenu jusque la fin pour l'évolution de son jeu. Sinon, pas aimé du tout les chansons "parlées" au point que je coupais le son à chaque. Et alors la fin, quelle déception : l'arrogance et le mépris du professeur m'ont profondément choquée. Et que dire de la dernière réplique : Amenez-moi mes pantoufles ! À l'heure où les ultra-féministes se révoltent...
Une comédie musicale culte et fabuleuse couronné par 8 Oscars avec des chorégraphies sublimes, des costumes grandioses, des dialogues ravissants, une mise en scène élégante et stylisée, un scénario intelligent, des musiques mythiques et un casting impeccable dont une Audrey Hepburn inoubliable dans le rôle d'Eliza Doolittle.
Déçu par ce classique réalisé par George Cukor et récompensé avec 3 oscars par ses pères Hollywoodiens en 1964. Cette Comédie musicale au budget pharaonique a bien mal vieilli de par le sujet et ses dialogues emphatiques passés de mode. Ce Drame prétendu romantique et pseudo social se révèle très peu musical ; de nombreuses scènes sont plus récitées que chantées. Excepté le célèbre thème musical composé par Frederick Loewe, le film trop long se perd dans des scènes sans charme ni profondeur vocale. Ne reste que la mise en scène sérieuse et très académique de George Cukor et les belles interprétations d'Audrey Hepburn et de Rex Harrison.
Eliza Doolittle (Audrey Hepburn), une jeune fleuriste sans le sou affublée d'un terrible accent cockney, est repérée par le professeur Higgins (Rex Harrisson). Le linguiste fait le pari de la transformer en dame du monde.
"My Fair Lady" fait partie de ces films mythiques, couverts d'éloges. Quelque part entre "Autant en emporte le vent", "Ben Hur", "Mary Poppins" et "Dansons sous la pluie". Récompensé par huit Oscars en 1965, il est - nous dit son affiche - le chef d’œuvre du grand George Cukor. Il offre à Audrey Hepburn l'un de ses plus grands rôles. Les incroyables costumes de Cecil Beaton - notamment les robes et les chapeaux portées par l'héroïne - sont entrés dans la légende. Nombreux sont les cinéphiles - quoique d'un certain âge - qui classent "My Fair Lady" au nombre de leurs films préférés.
J'ai profité d'une rétrospective Cukor à la Filmothèque pour aller le voir. J'étais le plus jeune dans la salle - ce qui est à la fois de plus en plus rare et très mauvais signe. Une salle presque comble - ce qui démontre la popularité inentamée de ce chef d’œuvre.
À mon grand désarroi, j'ai trouvé "My Fair Lady" bien fade et totalement suranné. Pourtant, je ne suis pas rétif aux comédies musicales de cette époque. J'avoue, le rouge au front, avoir été touché par La Mélodie du Bonheur. Je place "West Side Story" parmi mes films préférés.
Mais rien ne m'a séduit dans "My Fair Lady". Aucune des mélodies de André Prévin ne m'a touché - alors que les duos de "West Side Story" m'arrachent des sanglots. Même le jeu de Audrey Hepburn m'a semblé stéréotypé, dont on sait par avance que l'horrible petite souillon qu'elle incarne au début du film avec son accent effroyable se transformera en radieuse chrysalide. Je la trouve autrement plus émouvante dans "Vacances romaines" ou "Diamants sur canapé".
Surtout, c'est le scénario de Alan Jay Lerner, fidèle à la pièce de George Bernard Shaw, qui m'a déplu. Sans me poser en féministe intransigeant, j'ai trouvé que "My Fair Lady" véhiculait les pires clichés sexistes. Sans que cela semble choquer personne et, pire, dans une scène censément comique, le père d'Eliza, un ivrogne invétéré, monnaye comme un vulgaire maquignon l'abandon de sa fille aux bons soins du professeur Higgins. La fin du film - qui s'écarte d'ailleurs sur ce point de la pièce de Shaw - n'est pas moins révoltante pour le spectateur du vingt-et-unième siècle qui voit Eliza, désormais transformée en ravissant papillon, passait les pantoufles aux pieds de son prétentieux Pygmalion.