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5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par André Téchiné
Délicate, presque intouchable, est la beauté des fleurs et des films de Cukor. Cahiers du cinéma 164, mars 65
France Soir
par Robert Chazal
Audrey Hepburn est la perle rarissime de ce spectacle. (…) Et puis il y a de merveilleux décors, des costumes d'une élégance raffinée, et cette musique (…) que vous n'avez pas fini de fredonner. France-Soir, 23 décembre 64
La Croix
par Henry Rabine
"My fair lady" m'apparaît tout bien pesé comme le spectacle cinématographique le plus achevé de ce débit de saison. Un gâteu des rois ! La Croix, 2 janvier 63
L'Humanité
par Samuel Lachize
Depuis "West side story", qui reste le sommet du "spectacle total", aucun film n'avait poussé aussi loin la recherche dans l'expression cinématographique. L'Humanité, 26 décembre 64
Télérama
par Jacques Siclier
L'enchantement du film, c'est la transformation physique et morale d'un être surgi de la nuit et qui s'affirme dans toute sa beauté, sa sensibilité, sa fragilité. (…) Si "My fair lady" n'avait pas été d'avance, une mirifique poule aux œufs d'or, quel admirable film nous aurions eu là ! Télérama, 10 janvier 65
Cahiers du Cinéma
Délicate, presque intouchable, est la beauté des fleurs et des films de Cukor. Cahiers du cinéma 164, mars 65
France Soir
Audrey Hepburn est la perle rarissime de ce spectacle. (…) Et puis il y a de merveilleux décors, des costumes d'une élégance raffinée, et cette musique (…) que vous n'avez pas fini de fredonner. France-Soir, 23 décembre 64
La Croix
"My fair lady" m'apparaît tout bien pesé comme le spectacle cinématographique le plus achevé de ce débit de saison. Un gâteu des rois ! La Croix, 2 janvier 63
L'Humanité
Depuis "West side story", qui reste le sommet du "spectacle total", aucun film n'avait poussé aussi loin la recherche dans l'expression cinématographique. L'Humanité, 26 décembre 64
Télérama
L'enchantement du film, c'est la transformation physique et morale d'un être surgi de la nuit et qui s'affirme dans toute sa beauté, sa sensibilité, sa fragilité. (…) Si "My fair lady" n'avait pas été d'avance, une mirifique poule aux œufs d'or, quel admirable film nous aurions eu là ! Télérama, 10 janvier 65