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Ciné2909
69 abonnés
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2,5
Publiée le 24 juin 2012
Le pays des éléphants continue d’inspirer les cinéastes puisqu’après l’Indian palace de John Madden, c’est maintenant Michael Winterbottom qui nous fait profiter des charmes de l’Inde. Il y a aussi la belle Freida Pinto qui reste toujours un plaisir pour les yeux mais cette héroïne manque de caractère. Il n’y a que l’évolution du personnage de Jay qui donne un peu d’intérêt et qui permet d’éclaircir une scène clé du film. Trishna c’est donc le récit d’une relation complexe où se mêlent passion, violence, déception mais aussi l’espoir d’une vie nouvelle. A défaut de réellement nous passionner, il vous donnera au moins l’occasion de découvrir de jolis paysages
j'ai passé un bon moment, le système des castes est bien ancré en Inde et ce n'est pas prêt de prendre fin. Les paysages sont magnifiques et bien filmés.
ça ressemble à une pub pour un voyagiste .Une histoire des plus grossières et machistes qui va pas faire avancer les droits des femmes en Inde . avec des musiques à la" in the mood" for love , mais sans les ralentis , heureusement . une honte ce film !
Je pensais voir un Bollywood sympa et gai mais dès qu’au générique j’ai vu qu’il s’agissait d’une adaptation de "Tess d'Uberville" j’ai déchanté aussitôt. Peut-être aurais-je dû quitter la salle à ce moment. J’ai été nourrie (gavée ??) à la civilisation et littérature anglaise du XIXème alors de là à l’ingérer à l’indienne, bonjour l’indigestion.
L’histoire est… relativement incohérente. Cela tient à Pinto je pense. A part plaire à la gent masculine, je ne lui trouve guère de talent dans ce film. Elle manque complètement de crédibilité. Je l’aimais bien dans les autres films mais dans « Trishna » on ne croit pas une seconde à son rôle du coup le dénouement part en sucette.
Après, l’adaptation. J’avais adoré « Romeo Juliet » de Lurhmann. C’est moderne, poignant, rock’n roll. Là, on dirait une accumulation de clichés sur l’Inde, collés un à un, encore sans cohésion.
C’est un film un peu bâtard, ni anglais, ni Indien. Un film sans âme, sans émotions justes, comme ses acteurs.
bof, bof, bof, assez ennuyeux que cette passion amoureuse à l'indienne qui vire au mélodrame. Si les paysages sont superbes, le parcours de l'Inde rurale et moderne bien définies, on reste sur sa faim avec cette romance impossible entre deux individus de castes opposées. Les acteurs sont assez bons mais la mise en scène est ratée : que de plans et séquences qui se suivent et qui n'ont aucun lien entre eux. C'est long, c'est lent et heureusement que les musiques de Bollywood sont là car j'a faillii m'endormir plus d'une fois. Décevant même si....
Mais comment ai-je pu aller voir ce film? À vrai dire, je ne m'étais pas renseignée, j'avais juste pensé que ce pourrait être une belle histoire... même pas. On a l'impression de regarder un téléfilm à l'indienne, les dialogues sont totalement vides, la musique omniprésente essaye de décorer inutilement 90% du film... enfin bon, une vraie catastrophe! Dommage de perdre son temps et argent avec un film pareil.
Un film de Michael Winterbottom, réalisateur anglais protéiforme, ne se jugeant pas dans l'absolu mais par comparaison, disons que celui-ci est aussi bien photographié que "Genova" et infiniment moins sulfureux que "9 Songs". Les séances de Kama Sutra sont réfrigérantes et expurgées de tout pollen enivrant (pour cause de clause au contrat de la ravissante Freida Pinto ?). Quant à la référence avec Tess d'Uberville, le prétexte littéraire, constatons que Winterbottom ne s'est pas hasardé dans une adaptation fidèle du roman de Thomas Hardy, comme pour "Jude", mais s'en est très librement inspiré c'est à dire que son film ne présente aucune ressemblance ni aucun rapport avec le livre. En résumé, un exercice de style de "série B" construit à partir d'un certain nombre d'éléments de la "série A" où seule la bande son (scores de Trivedi et Shigeru Umebayashi, tubes booliwoodiens...) est réellement excitante.
une histoire d'amour bancale, qui finira mal. rien de neuf sous le soleil de l'Inde d'aujourd'hui. le traitement, par contre est moderne, on a même droit à des scènes de "lit". Frida Pinto porte ce film sur ses frêles épaules, et le porte bien. ajouter à ça les images dépaysantes de l'Inde, ses couleurs, son chaos, et ses traditions rétrogrades, et vous obtiendrez un film divertissant. c'est déjà pas mal.
Une transposition de "Tess d'Urberville" dans l'Inde d'aujourd'hui tout à fait dépaysante, trop même parceque M.Winterbottom délaisse un peu trop l'histoire pour nous balader à travers l'Inde... Mais l'histoire de Trishna est assez bouleversante pour nous émouvoir et nous toucher et nous faire prendre conscience qu'il y a encore bien des inégalités à changer... Freida Pinto est très belle et les scènes finales sont un déchirement !!
Film sans grand intérêt et beaucoup trop long. Le jeu des acteurs est bien fade, on a l'impression qu'ils regrettent d'être là et nous aussi. Heureusement , on échappe pour une fois à Dev Patel.
2 intérêts seulement à ce film: le beau voyage en Inde, du Rajasthan à Bombay comme si on y était, et surtout le charmant Amehd Riz. Pour le reste, l'histoire est bien banale et ne présente pas beaucoup d'intérêt.
Ce film n'était pas le film que j'attendais. C'est comme-ci le réalisateur avait tracé son chemin sans vraiment savoir où il allait.
En effet, tout d'abord, le langage, le dialogue est pauvre, parfois bas et sans finalité certaine. Certes les personnages sont beaux, le jeu est bien fait, mais on n'entend pas beaucoup Trishna (Freida PINTO).
J'ai été qd même assez déçue, on dévalorise un peu trop les femmes. Pas d'amour, pas de sentiment. L'attitude des acteurs est "fade". La fin est précipitée. L'actrice fait preuve d'un sang-froid indiscutable mais on voit s'enchaîner des scènes trop poignantes, et pas très agréables à voir. Elles s'enchainent tout d'un coup, je ne vois pas trop l'intérêt. Enfin, on ne comprend pas trop pourquoi, l'esprit de son conjoint dont elle croît qu'il l'aime, tourne autant à la dérive vers la fin du film.
Michael Winterbottom, cinéaste prolifique et touche-à-tout, est-il un dilettante ultra doué qui ne fait qu'effleurer les thèmes, par paresse, sans se donner la peine de les approfondir ? Au vu de sa copieuse filmographie et de Trishna, adaptation libre de Tess d'Urberville dans l'Inde d'aujourd'hui, la tentation est grande de répondre : Yes, Sir ! Comment expliquer alors, sinon par une certaine perversité cinéphilique, le coupable plaisir que l'on prend à regarder ce film étrange, mélange invraisemblable de réalisme social et de glamour bollywoodien, très esthétisant et abondant en cartes postales chatoyantes du Rajasthan et de Bombay ? L'art du montage "cut" de Winterbottom est très au point, avec des scènes systématiquement trop courtes, jouant sur la frustration. Le cinéaste s'attarde en revanche sur la beauté des paysages et la photogénie de ses interprètes. Freida Pinto, personnage mystérieux et passif, est littéralement sublime. Il est légitime de se demander si Trishna ne tient pas davantage du dépliant publicitaire et touristique que du film de fiction. Ceci assimilé, pourquoi donc ne pas se laisser aller à la jouissance de l'oeil au détriment de l'esprit ? Allez, juste pour une fois !