dans le corps médical ou dans les labos pharma, on sait trés bien que cette femme était la maîtresse d'un directeur régional Servier, qui l'a délaissée...Celle-ci, pour se venger a monté cette affaire, complètement biaisiée, car nous avons été une majorité à prescrire le médiator depuis les années 70 dans le diabète, où il avait deux indications.Certes, son efficacité était modérée, mais dans une première intention ça suffisait souvent..Il n'y a pas eu de problèmes révélés, pendant une bonne vingtaine d'années..Puis, les "coupe-faim" , pour employer le langage populaire ayant disparu, DONT l'Isoméride de chez Servier , à cause de leurs effets secondaires, plusieurs "obésologues" se sont redirigés vers le médiator chez qui on avait constaté un PETIT effet coupe-faim...Ce qui a entraîné des prescriptions ILLEGALES et parfois dangereuses , car administré à des posos interdites, puisque 'il était bien toléré..Sans oublier que ces dames ( la plupart des cas des femmes) faisaient le tour des cabinets médicaux du coin,pour en avoir plus, et donc maigrir plus vite, en se gardant bien de dire qu'elles en prenaient déjà !!
Ajoutons à ça le personnel de la sécu qui ne s'est même pas aperçu de ses prescriptions anormales ( on ne peut pas papoter sur ses vacances, montrer les photos des gamins et être en arrêt de maladie et faire son boulot ), tout ceci AVEC les mises en garde du labo sur ces prescriptions illégales!!
Ce qui devait arriver arriva, un médicament n'est pas un bonbon...
Mais voilà, malgré la condamnation de plusieurs généralistes et spécialistes ( qui en a parlé ?) , pour faire du papier, de l'audience , on a monté cette affaire..Et il faut bien l'avouer, c'est plus payant d'attaquer le labo que son médecin..D'autant plus, que ,mystérieusement , les dossiers avaient quasiment tous disparus quand les patientes les ont demandé..
Alors, assez de délire ...