Mon compte
    L'Homme qui rit
    Note moyenne
    2,5
    1277 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme qui rit ?

    297 critiques spectateurs

    5
    23 critiques
    4
    62 critiques
    3
    64 critiques
    2
    73 critiques
    1
    42 critiques
    0
    33 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Cécile A
    Cécile A

    26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    Un conte à mi chemin entre le monde de Victor Hugo et de Tim Burton. Même s'il n'atteint pas ces deux géants de la littérature et du cinéma, ce film a le mérite de les réunir et de donner envie de mieux les connaître. Plus concrètement, c'est un conte pour adolescents, poétique et grave. On peut regretter qu'il n'aille pas plus en profondeur du côté de la politique, mais il laisse entrevoir le style de Victor Hugo en nous épargnant ses longueurs.
    willycopresto
    willycopresto

    134 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    "L'homme qui rit" (2012) France 2 le 19.10.2016

    "Les voies de la chaîne sont impénétrables ! Pourquoi avoir diffusé cette oeuvre en deuxième partie de soirée après "la loi d'Alexandre" jouée par Jugnot : le pire de la série et pourtant déja resservi !
    Tant Victor Hugo que Marcel Pagnol se seraient probablement régalés de voir le héros de leurs oeuvres dramatiques jouéés par Depardieu senior ! l'acteur semble se glisser en effet sans efforts dans le costume des rôles qui lui sont confiés...Je cherche en vain les défauts de la réalisation de Jean-Pierre Améris : les images sont très belles, peut-être trop belles car on en devient captif et on se détache un peu de l'histoire. On semble aussi parfois trempés dans une poésie un peu fantastique.
    Satisfecit aussi pour la musique de Stéphane Mouche : je renoncerai à un jeu de mots facile et irrespectueux en disant que sa composition a visé juste : elle suit admirablement les situations et épouse les ambiances. Car ce film va en désorienter plus d'un, voir déplaire car pour autant que vous entriez dans le jeu, il règne en permanence un climat de malaise, d'inquiétude, d'angoisse dans cette histoire. Côté casting, c'est également une réussite avec des comédiens pour la plupart pas très connus cependant.
    Et pourtant, ce film n'a pas souri à Jean-Pierre Améris dont l'oeuvre n'aura enregistré que 244 000 entrées en salles en 2012. Qu'il se console :Victor Hugo avait essuyé le même bide avec son roman à l'époque de sa sortie.
    La laideur n'attire pas les foules ? Et pourtant Frankenstein et Dracula ont bien fait recette ?
    willycopresto
    Cruis
    Cruis

    3 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2015
    Rapatriement d'une ancienne critique :

    De retour de l'avant première de l'homme qui rit, en présence du réalisateur Jean-Pierre Améris.
    Voilà un réalisateur que je ne connaissait pas, et qui nous sort une bien belle et intéressante adaptation du roman de Victor Hugo. Loin d'être le plus connu en France, ce roman (qui se déroule en Angleterre) est d'après le réalisateur assez fondateur de la culture fantastique outre atlantique. Et oui, Edward aux mains d'argent, le Joker, c'est bel et bien un concentré de Victor Hugo !
    On retrouve donc logiquement ce qui fait le succès de l'univers burtonien dans ce film d'Améris : des décors studio qui jouent le rôle de personnages à part entière, un musique présente du début à la fin, parfaitement immersive, et la retranscription d'un univers difficile à situer dans le temps et l'espace, et pourtant caricatural d'une certaine réalité.
    1h30, c'est du condensé pour porter à l'écran la masse de l’œuvre de Hugo, mais le message est là, le film sait aller à l'essentiel et chaque plan, chaque phrase est suffisamment percutant pour qu'il n'y ait rien à enlever ni à ajouter au long métrage.
    Le film sort le 26 décembre (ça c'est de l'avant première !), je vous conseille d'y aller (je ne parle que du réalisateur car l'entretien avec lui éclaire énormément ses choix, mais les acteur, particulièrement Depardieu et le chambellan, sont exemplaire) et je pense que comme moi, après, vous aurez envie de lire le bouquin ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 août 2015
    Un mot pour décrire ce film: RIDICULE. Si ce n'est pas plus. J'ai lu le livre de Victor Hugo: plus de 800 pages et les 1h20 du film n'arrive pas à sa cheville. J'ai était extrêmement déçue. Le succès arrive en 5 minutes dans le film, idem pour l'amour entre Dea et Gwineplaine. On ne parle même pas du mari de la dûchesse (si je me souviens bien du livre) qui tient un rôle capital. De plus Ursus et son loup ne sont pas développés et on ne pond qu'une pauvre histoire d'amour. Sans compter que Dea et Ursus non jamais était invités au château. La mort de Dea est dût au fait qu'elle croit que Gwinplaine est mort, elle meurt de chagrin il n'est pas question d'un quelconque poison. De plus elle meurt dans un bateau qui s'en va au petit matin et pas devant la foire tout entier --' . Enfin bref l'histoire et totalement déformée mais je ne vais pas continuer parce que sinon j'en ai pour une bonne heure. Il n'y a pas ce petit quelque chose qui pour moi fait toute la grandeur du livre et que je ne pourrais décrire. C'est une honte pour l'oeuvre de Victor Hugo. À choisir je vous conseille de lire le livre juste incroyable-malgré les descriptions un peu longue des fois c'est vrai- mais qui montre bien le génie de Victor Hugo.
    Et puis même si on tire le livre comme exemple pour moi c'était trop rapide, des points restent un peu flou etc.
    Enfin j'ai mit 2 étoiles pour Gerard Depardieu (qui aurait du être plus présent) et Dea qui apportait un peu de gaité au film.
    Alexis D.
    Alexis D.

    107 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 octobre 2017
    Film-pudding, ce film pense tendre vers Tim Burton, mais ne fait que démontrer les limites d’un certain cinéma français dit populaire. On aurait pourtant tellement aimé y croire, et voir un film français adaptant l’un des chefs d’œuvre de la littérature française et le moderniser, lui apporter un plus, le rendre accessible au plus grand nombre sans le dévitaliser. Hélas, ce n’est pas "L’Homme qui rit" qui exaucera ce vœu. Au contraire, il renvoie même à ce que le cinéma hexagonal peut faire de pire. Il suffit de voir la scène d’introduction pour que la messe soit dite. D’emblée, à peine les cartons du générique égrainés, les premiers dialogues surgissent, plats, sans envergure, sous la plume du scénariste Guillaume Laurant semblant totalement tétanisé à l’idée de se mesurer au grand Victor Hugo. Tout sonne faux, la neige fait morceaux de coton, les décors sentent le carton-pâte, les costumes ont le kitsch d’un concours Eurovision… On est dans le conte, d’accord, dans l’outrance romanesque, dans le décalage voulu et revendiqué avec la réalité, ce qui bien sûr peut autoriser tous les artifices même les plus voyants. Tim Burton le réussit souvent très bien, Jean-Pierre Améris le rate consciencieusement. Parce qu’en fait il n’ose pas vraiment, à y toucher à son sujet plus que râpeux. En effet, "L’Homme qui rit" n’est pas un texte sympathique, loin de là, on y traite de lutte des classes, du poids des apparences, de monstruosité et d’innocence, et le final en appelle presque à la révolution. Le traitement prête au gothique, pourtant le film ne s’y risque qu’à très peu d’occasions, d’où une facture globale se tournant vers le téléfilm d’époque. On pourrait cibler un manque de moyens, Jean-Pierre Améris n’a pas clairement le budget d’un Tim Burton pour construire son univers. Mais avoir 13 millions d’euros à sa disposition, ce n’est quand même pas rien. Chaque séquence renvoie plutôt à un défaut d’ambition. Exemple parmi d’autres, la scène de bal où le jeune Gwynplaine (un Marc-André Grondin insipide) est introduit dans le grand monde ne compte qu’une petite quinzaine de figurants faisant cercle, c'est trop peu pour créer le rapport de forces voulu, le contraste de puissance qui susciterait une émotion et nous ferait partager l’inquiétude du héros. Jamais rien n’éclate, n’éblouit, ne fait cinéma en somme. Les seuls mérites du film sont d’avoir gardé la fin du livre dans sa terrible intransigeance et d’avoir troussé des scènes de théâtre de foire pour le coup assez réussies. C'est trop peu pour éviter de trouver le temps long et s’ennuyer ferme en attendant que les lumières se rallument. Petit détail, "L’Homme qui rit" rappelle aussi combien Gérard Depardieu est un bon acteur. Loin des polémiques actuelles, un peu plus concerné qu’à l’habitude, il éclabousse chaque scène de son talent animal, pesant ses silences, jouant à merveille du contraste de son physique d’ogre et de sa fragilité à fleur de peau. Au final, ce film vraiment pas terrible reste tout de même un joli conte de Noël, mais il n'est rien d'autre et c'est bien dommage
    C.Dervaux
    C.Dervaux

    141 abonnés 1 768 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2015
    « L’Homme qui rit » est sans nul doute l’une des plus grosses surprises françaises de la fin d’année 2012. Inspiré du roman philosophique éponyme de Victor Hugo publié en avril 1869, ce conte est tout sauf irrévérencieux et retranscrit à l’écran l’ambiance pesante de l’écrit d’un homme de lettre regretté. Jean-Pierre Améris réalise un film assez personnel emprunt de poésie et dans lequel chaque tourmente fait gage d’une réelle qualité de mise en scène. Marc-André Grondin, comédien de talent repéré dans « C.R.A.Z.Y » et « Ché » est d’une impitoyable cruauté car il insuffle à son personnage une raison de craindre, mais aussi de faire craindre. Christa Theret, véritable rayon de soleil dans une fable sombre et gotique, accapare l’attention et les sujets de conversation. Le film, en plus d’être interloquant, force à la réflexion.
    Ludi C
    Ludi C

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2014
    Bon film. Décevant comparé à ce à quoi je m'attendait. J'ai quand même aimé le jeu de l'acteur principale bien que celui de Christa Theret ne soit pas bien glorieux. Film sur lequel je reste assez mitigée. 3/5
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mai 2014
    Un chef-d'oeuvre de la littérature classique transformé en une pitoyable histoire d'amour.

    Je suis pourtant la première à dire qu'on ne peut juger un film comme un livre, tous les détails ne pouvant être conservés. Mais ici, Jean-Pierre Améris a réussi l'exploit de perdre toute la substantifique moelle de ce roman, enlevant tous les moments importants du livre pour n'en garder qu'une pâle histoire d'amour sans queue ni tête et qui n'est en rien aidé par le jeu d'acteur plutôt médiocre de chacun des protagonistes.
    Mais où est donc la tragédie sociale mise en exergue dans le roman? L'histoire d'amour n'est qu'un prétexte! Pourquoi ne pas avoir choisi n'importe quel livre de Musso si le but était de nous montrer une histoire pour adolescents pré-pubères? Je suis heureuse pour Hugo qu'il ait la chance d'avoir pu échappé à ce massacre... Je préfèrerais être à ses côtés que de devoir le revoir...
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2014
    Adapté d'une oeuvre de Victor Hugo, ce long-métrage possède de belles qualités visuelles mais manque de souffle au fur et à mesure de l'histoire, la faute sans doute, à son scénario et ses comédiens, peu convaincants.
    On s'attendait à mieux...
    bobmorane63
    bobmorane63

    199 abonnés 1 987 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2014
    Le réalisateur Jean-Pierre Améris s'essaye dans le genre film d'époque, il y a de bonnes choses mais le résultat n'est guère convainquant !! Ce long métrage commençait bien avec une belle lumière sur l'ascension au théatre de rue d'un auteur et de deux orphelins qu'il a hébergé dans son carrosse, éduqué devenant des acteurs de spectacles. La particularité du jeune homme est qu'il a une cicatrice sur ses cotés de sa bouche qu'on l'appelle "L'homme qui rit". La seconde partie m'a moins enthousiasmé avec le passé du père qui ressurgit et de sa cousine, une duchesse, qui lui ouvre d'autres mondes, ça tombe un peu à plat. Les points positifs du film sont la reconstitution de l'époque des riches et pauvres bien dans ses décors. des comédiens inspirés comme Marc-André Grondin dans le role titre (on pourra dire ce qu'on veux, il s'en sort bien comme acteur), Gérard Depardieu colossale d'interprétation, Christa Théret sublime en amoureuse d aveugle du héros, Emmanuelle Seigner qui arrive dans la seconde partie (celle que j'aime le moins) s'en sort pas mal. Regardable mais sans plus
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    304 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2014
    Cette troisième version au cinéma du roman de Victor Hugo est avant tout une réussite visuelle et esthétique. L'histoire m'a semblé un peu condensée et manquant de souffle parfois. Les acteurs sont assez peu convaincants, ce qui n'aide pas beaucoup à rentrer complètement dans le film. Ceci dit, Jean-Pierre Améris réalise un beau film, porté par une technique proche de l'univers de Tim Burton. Dommage qu'il ne se soit pas plus concentrée sur cette belle histoire, qui est avant tout un hymne à la tolérance.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    97 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Faire du classique de Victor Hugo un conte à la beauté et à la poésie digne d'un Tim Burton, l'idée était aussi osée qu'intrigante. Mais encore aurait-il fallu se donner les moyens de ses ambitions. Car si les influences visuelles et musicales du réalisateur des "Emotifs anonymes" sont plus qu'évidentes, Jean-Pierre Arémis ne possède ni le génie créatif du maître gothique, ni le budget qui lui aurait permis de compenser. Pour autant, la direction artistique a su tirer le meilleur avec les moyens du bord, les costumes sont travaillés et les décors studio exploités au mieux durant les trois quarts du film, ils montrent en revanche leurs limites lors d'un dernier acte beaucoup plus fastueux. Ce constat s'applique malheureusement à tous les niveaux de cette production, à tel point qu'Arémis ne semble jamais vraiment savoir dans quelle direction amener son film, drame social, comédie burlesque ? Une indécision qui se traduit par un montage hasardeux au rythme très monotone, sauf lors de la dernière partie complètement survolée. Du côté des acteurs seul Depardieu excelle dans l'exercice, à l'inverse, Marc-André Grondin et surtout Christa Theret livrent des interprétations théâtrales insupportables. "L'Homme qui rit" version 2012 est une adaptation mineure qui, sans tomber dans la guimauve, aurait due se permettre quelques moments d'émotions à des instants clefs. Du lyrisme bien maîtrisé en somme mais Jean-Pierre Arémis n'était vraisemblablement pas l'homme à diriger pareil projet avec de tels acteurs.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 avril 2014
    Adapté du roman de Victor Hugo, Améris commet la plus grosse bourde de l'année 2012. Je n'ai jamais vu un film aussi vide... On tourne toujours autour du même endroit, cette ambiance qui se veut sombre est au final rien de plus qu'une vaste blague, les acteurs sont tellement mauvais que ça en devient lourdingue dès les trente premières minutes. Je prend par exemple Grondin, qui vas systématiquement à la fin de ses tirades prendre un grand air théâtrale, qui aura le don de m'exaspérer au plus haut point. Les traits de chaque personnage est grossièrement accentuer ce qui rend l'histoire ultra pénible à est irritant dans ce film déjà ultra kitsch, et sournoisement hideux point de vue cinéma. Le seul que je retiens c'est Depardieu qui sauve ce prétendu drame d'un naufrage imminent.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    136 abonnés 2 241 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2014
    LE JOKER. L'atmosphère, l'ambiance, l'univers Burtonien, tout est réussi dans la première partie. Mais les mauvaises frequentations du crazy Grondin font de la chambre des Lords un passage raté.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 avril 2014
    Quand on y regarde de plus près, les adaptations de romans de Victor Hugo ont toujours été légions. En 2012, en plus de l'adaptation musicale des "Misérables" par ce cher Tom Hooper, Jean-Pierre Améris décidait lui aussi de mettre en scène un autre roman de Hugo, à savoir "L'homme qui rit". De ce roman, on note l'adaptation culte de Paul Léni avec Conrad Veidt dans le rôle de Gwynplaine, ainsi que celle un peu plus libre de Sergio Corbucci. Après, j'ajoute que les adaptations de romans d'Hugo m'attirent comme me font peur étant donné que dans ce domaine, on peut avoir accès au meilleur comme au pire. Cette nouvelle version de "L'homme qui rit" n'est certainement pas la pire de toutes les adaptations en question. Toutefois, Jean-Pierre Améris plombe son film par un traitement beaucoup trop superficiel. Certes, les grandes lignes sont inscrites, avec une critique de la société face aux différences des autres associé à l'histoire d'amour touchante entre Dea et Gwynplaine. Hélas, Améris inculque à son film divers éléments à l'instar d'une esthétique proche de Tim Burton, et de personnages rappelant les "freaks" de Tod Browning. Malheureusement, ces éléments passent un peu à la trappe à cause d'un scénario confus qui commencer à développer certaines choses avant de les laisser en plan, à notre grand désarroi. Améris a certainement voulu trop en faire, sans forcément maîtriser la chose et en survolant la plupart du temps son sujet. "L'homme qui rit" se laisse regarder cependant, même si il demeure frustrant du fait que sa structure soit si bâclée. Trop de défauts scénaristiques viennent gâcher le plaisir et la morale de l'histoire, même si la photographie n'est pas dégueulasse et possède une esthétique qui, à défaut d'être originale, reste belle pour nos rétines.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top