Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Positif
par Pascal Binétruy
(...) au lieu d'une simple adaptation de l'oeuvre, [Jean-Pierre Améris] en propose une lecture personnelle, foisonnante dans le romanesque et intellectuellement excitante.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
par Jean Roy
Voici un film à voir, son douzième, d'un réalisateur qui nous a toujours attachés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ecran Large
par Damien Virgitti
"L'homme qui rit" mélange habilement diverses influences pour livrer un film à l'univers visuel fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Elise Lépine
Voir sur le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un film situé nulle part, interprété sans génie, figé dans une admiration sincère sans doute, mais qui ne se permet guère l'écart ni l'invention. Quelques séquences n'en sont pas moins troussées (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Marilyne Letertre
Passionnant et émouvant sur le papier, cet hymne à la différence -doublé d'une romance tragique entre les deux jeunes protagonistes- manque d'âme, de souffle et de substance à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Antoine Prioul
(...) dès l'ouverture (...) tout paraît cheap, artificiel et kitsch. Puis la force du récit prend le dessus, la richesse symbolique des personnages aussi et "L'homme qui rit" finit par se forger une identité visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Il manque un peu de naturel dans cet hommage affectueux que Jean-Pierre Améris veut rendre à l'imaginaire d'Hugo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicolas Journet
Signant un conte kitsch et mal fichu, Jean-Pierre Améris tend plus vers Josée Dayan que vers Tim Burton. Pas sûr que ce soit son intention de départ...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Didier Méreuze
Malgré une belle distribution et des images (trop) soignées, l'adaptation du roman de Hugo laisse sur sa faim.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
En soignant la forme qui est splendide et du côté de Tim Burton, le réalisateur néglige le fond dramatique du roman de Victor Hugo.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
Conçu comme un conte baroque, ce film se distingue surtout par ses costumes et décors flamboyants (...) en revanche, l'histoire n'est guère captivante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Le plaidoyer généreux de Victor Hugo devient, devant la caméra de Jean-Pierre Améris, un film à costumes curieux et improbable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Les métaphores pèsent des tonnes, on ne parvient pas à s'identifier aux personnages (...) cet "Homme qui rit" ressemble à un livre d'images d'Epinal, une version abrégée pour public pressé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jakuta Alikavazovic
Tout dans cette adaptation est d'un manichéisme désolant. Le scénario privilégie les lieux communs au détriment de l'aspect philosophique du roman et de sa démesure. (...) Mais rien n'est à même de racheter la pesanteur de l'ensemble. Pauvre "Homme qui rit" - mutilé de plus belle...
Positif
(...) au lieu d'une simple adaptation de l'oeuvre, [Jean-Pierre Améris] en propose une lecture personnelle, foisonnante dans le romanesque et intellectuellement excitante.
L'Humanité
Voici un film à voir, son douzième, d'un réalisateur qui nous a toujours attachés.
Ecran Large
"L'homme qui rit" mélange habilement diverses influences pour livrer un film à l'univers visuel fascinant.
L'Express
Voir sur le site de l'Express.
Le Monde
(...) un film situé nulle part, interprété sans génie, figé dans une admiration sincère sans doute, mais qui ne se permet guère l'écart ni l'invention. Quelques séquences n'en sont pas moins troussées (...)
Metro
Passionnant et émouvant sur le papier, cet hymne à la différence -doublé d'une romance tragique entre les deux jeunes protagonistes- manque d'âme, de souffle et de substance à l'écran.
Première
(...) dès l'ouverture (...) tout paraît cheap, artificiel et kitsch. Puis la force du récit prend le dessus, la richesse symbolique des personnages aussi et "L'homme qui rit" finit par se forger une identité visuelle.
Télérama
Il manque un peu de naturel dans cet hommage affectueux que Jean-Pierre Améris veut rendre à l'imaginaire d'Hugo.
Critikat.com
Signant un conte kitsch et mal fichu, Jean-Pierre Améris tend plus vers Josée Dayan que vers Tim Burton. Pas sûr que ce soit son intention de départ...
La Croix
Malgré une belle distribution et des images (trop) soignées, l'adaptation du roman de Hugo laisse sur sa faim.
Le Journal du Dimanche
En soignant la forme qui est splendide et du côté de Tim Burton, le réalisateur néglige le fond dramatique du roman de Victor Hugo.
Le Parisien
Conçu comme un conte baroque, ce film se distingue surtout par ses costumes et décors flamboyants (...) en revanche, l'histoire n'est guère captivante.
Les Fiches du Cinéma
Le plaidoyer généreux de Victor Hugo devient, devant la caméra de Jean-Pierre Améris, un film à costumes curieux et improbable.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Les Inrockuptibles
Les métaphores pèsent des tonnes, on ne parvient pas à s'identifier aux personnages (...) cet "Homme qui rit" ressemble à un livre d'images d'Epinal, une version abrégée pour public pressé.
Transfuge
Tout dans cette adaptation est d'un manichéisme désolant. Le scénario privilégie les lieux communs au détriment de l'aspect philosophique du roman et de sa démesure. (...) Mais rien n'est à même de racheter la pesanteur de l'ensemble. Pauvre "Homme qui rit" - mutilé de plus belle...