Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Positif
par Grégory Valens
Ce qu'il y a de formidable avec Todd Solondz, c'est qu'il ne filme jamais le plan de trop, le plan attendu, le plan qu'auraient tourné les autres (...) Ce qu'il y a de formidable avec Todd Solondz, c'est son sens de la comédie donc (critique sociale + hors champ + ellipse). Mais une comédie qui n'oublie pas d'être aigre, amère, grinçante.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
[La] dérision [de Todd Solondz] peut faire grincer des dents mais sa description d'une Amérique étriquée est à mourir de rire à condition d'entrer dans un univers plus proche de Reiser que des Bisounours.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
On est bien heureux de retrouver ce Solondz-là, celui qui fait exister des figures proprement tragiques plutôt que de mordre le vide.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sans renoncer au travail plastique sur l'image qui en fait l'un des plus grands artistes pop américains, Solondz délaisse son catalogue de tares de l'Amérique ordinaire pour composer le portrait d'un loser aussi agaçant qu'attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Scrutateur d'une terrible lucidité, Todd Solondz réunit une prestigieuse affiche et (...) met en lumière, avec beaucoup de subtilité, la difficulté à vivre et le poids de tout ce que transportent malgré eux ses personnages entravés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Todd Solondz mixe ses obsessions et celles de l'époque, pour ce qui apparaîtra davantage comme un percutant E.P. que comme un véritable album.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Solondz réussit un film équilibré (...) C'est à la fois sinistre et extrêmement drôle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Fun mais cruel, très soigné dans son style mais agressif dans sa nature, "Dark Horse" est un drôle d'éloge du loser contemporain, dont le héros failli sera le seul de sa tribu à recouvrer, in extremis, une certaine dignité : le meilleur humour, souvent, est le plus amer...
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Ce que [le film] raconte ici est déchirant mais raconté avec une telle légèreté et une telle fluidité qu'il échappe au pathos gluant. Les fugues mentales et autres digressions oniriques, déjà expérimentées dans "Palindromes" et "Life During Wartime", confèrent une dimension fantastique à la fois poétique et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jérémie Couston
Centrée autour d'un pathétique personnage de trentenaire obèse et immature, cette nouvelle radiographie des moeurs de la middle class américaine ne recèle, pour une fois, ni viol, ni scène de masturbation frénétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
On déplore le manque de mordant qui avait le mérite de placer le style de Solondz en marge de tous les cinémas.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Derrière ses faux airs de "40 ans toujours puceau" version déréglée - même débilité attendrissante de l'adulescent, même obsession de l'enfance et des figurines de super-héros – Dark Horse assure de l'état du cinéma indépendant américain.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Aussi bien l'impression que donne par moments Solondz de tourner un peu en rond se trouve-t-elle dissipée agréablement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéaste américain signe une fable caustique, teintée de mélancolie et parfois bavarde, mais d'une lucidité sanglante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le résultat, mitigé, est implacable quant à l'imaginaire déclinant du cinéaste qui (...) peine sacrément à se renouveler – d'où un film plus desséché que pète-sec, aussi rabougri que son antihéros. Ce qui n'empêche pas, par éclairs, quelques saillies claquantes dont seul Solondz a le secret, de même que son inaltérable subversion, toujours jouissive.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Ces systématiques tours de force du scénario ne réussissent pas à faire sentir la puissance d'arbitraire du destin comme par exemple dans "A Serious Man" des frères Coen. Néanmoins, "Dark Horse" réussit par endroits à produire un sentiment de déréliction et une vision angoissée de l'american way of life.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Julien Welter
"Dark Horse" est une déception. Même si [Todd Solondz] continue de raconter les petites bassesses des recalés du rêve américain, sa verve est de moins en moins acide et son propos de moins en moins compréhensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
À l'exception des interprétations de Mia Farrow et Christopher Walken en parents désabusés, le film est aussi mou et sans intérêt que son héros. Todd Solondz a perdu son esprit corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Les spectateurs se demandent, pendant une heure et demi, au nom de quoi on ose leur imposer un spectacle si désolant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Solondz peut faire illusion grâce à ses facilités pour le sarcasme, mais dans ce film, son plus faible jusqu'à présent, il n'a rien à dire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Yal Sadat
En se réfugiant sur les terres d'Apatow (où va la vie après trente-cinq ans ?), Solondz ne fait qu'exposer gravement un problème existentiel déjà dilué dans la fantaisie quasi dada de Ferrell et consorts : l'aveu d'échec du mâle américain, désigné comme poulain prometteur par la génération au-dessus, mais incapable d'honorer son pedigree.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Positif
Ce qu'il y a de formidable avec Todd Solondz, c'est qu'il ne filme jamais le plan de trop, le plan attendu, le plan qu'auraient tourné les autres (...) Ce qu'il y a de formidable avec Todd Solondz, c'est son sens de la comédie donc (critique sociale + hors champ + ellipse). Mais une comédie qui n'oublie pas d'être aigre, amère, grinçante.
20 Minutes
[La] dérision [de Todd Solondz] peut faire grincer des dents mais sa description d'une Amérique étriquée est à mourir de rire à condition d'entrer dans un univers plus proche de Reiser que des Bisounours.
Critikat.com
On est bien heureux de retrouver ce Solondz-là, celui qui fait exister des figures proprement tragiques plutôt que de mordre le vide.
L'Humanité
Sans renoncer au travail plastique sur l'image qui en fait l'un des plus grands artistes pop américains, Solondz délaisse son catalogue de tares de l'Amérique ordinaire pour composer le portrait d'un loser aussi agaçant qu'attachant.
La Croix
Scrutateur d'une terrible lucidité, Todd Solondz réunit une prestigieuse affiche et (...) met en lumière, avec beaucoup de subtilité, la difficulté à vivre et le poids de tout ce que transportent malgré eux ses personnages entravés.
Les Fiches du Cinéma
Todd Solondz mixe ses obsessions et celles de l'époque, pour ce qui apparaîtra davantage comme un percutant E.P. que comme un véritable album.
Les Inrockuptibles
Solondz réussit un film équilibré (...) C'est à la fois sinistre et extrêmement drôle.
Libération
Fun mais cruel, très soigné dans son style mais agressif dans sa nature, "Dark Horse" est un drôle d'éloge du loser contemporain, dont le héros failli sera le seul de sa tribu à recouvrer, in extremis, une certaine dignité : le meilleur humour, souvent, est le plus amer...
TF1 News
Ce que [le film] raconte ici est déchirant mais raconté avec une telle légèreté et une telle fluidité qu'il échappe au pathos gluant. Les fugues mentales et autres digressions oniriques, déjà expérimentées dans "Palindromes" et "Life During Wartime", confèrent une dimension fantastique à la fois poétique et émouvante.
Télérama
Centrée autour d'un pathétique personnage de trentenaire obèse et immature, cette nouvelle radiographie des moeurs de la middle class américaine ne recèle, pour une fois, ni viol, ni scène de masturbation frénétique.
CinemaTeaser
On déplore le manque de mordant qui avait le mérite de placer le style de Solondz en marge de tous les cinémas.
Ecran Large
Derrière ses faux airs de "40 ans toujours puceau" version déréglée - même débilité attendrissante de l'adulescent, même obsession de l'enfance et des figurines de super-héros – Dark Horse assure de l'état du cinéma indépendant américain.
L'Obs
Aussi bien l'impression que donne par moments Solondz de tourner un peu en rond se trouve-t-elle dissipée agréablement.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste américain signe une fable caustique, teintée de mélancolie et parfois bavarde, mais d'une lucidité sanglante.
TéléCinéObs
Le résultat, mitigé, est implacable quant à l'imaginaire déclinant du cinéaste qui (...) peine sacrément à se renouveler – d'où un film plus desséché que pète-sec, aussi rabougri que son antihéros. Ce qui n'empêche pas, par éclairs, quelques saillies claquantes dont seul Solondz a le secret, de même que son inaltérable subversion, toujours jouissive.
Cahiers du Cinéma
Ces systématiques tours de force du scénario ne réussissent pas à faire sentir la puissance d'arbitraire du destin comme par exemple dans "A Serious Man" des frères Coen. Néanmoins, "Dark Horse" réussit par endroits à produire un sentiment de déréliction et une vision angoissée de l'american way of life.
L'Express
"Dark Horse" est une déception. Même si [Todd Solondz] continue de raconter les petites bassesses des recalés du rêve américain, sa verve est de moins en moins acide et son propos de moins en moins compréhensible.
Le Figaroscope
À l'exception des interprétations de Mia Farrow et Christopher Walken en parents désabusés, le film est aussi mou et sans intérêt que son héros. Todd Solondz a perdu son esprit corrosif.
Le Monde
Les spectateurs se demandent, pendant une heure et demi, au nom de quoi on ose leur imposer un spectacle si désolant.
Première
Solondz peut faire illusion grâce à ses facilités pour le sarcasme, mais dans ce film, son plus faible jusqu'à présent, il n'a rien à dire.
Chronic'art.com
En se réfugiant sur les terres d'Apatow (où va la vie après trente-cinq ans ?), Solondz ne fait qu'exposer gravement un problème existentiel déjà dilué dans la fantaisie quasi dada de Ferrell et consorts : l'aveu d'échec du mâle américain, désigné comme poulain prometteur par la génération au-dessus, mais incapable d'honorer son pedigree.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.