Que dire devant tant de maitrise ? Sergio Leone nous livre une chronique du milieu des malfrats, et ce sur plusieurs générations. Robert de Niro, mais aussi tous les autres acteurs sont éblouissants. On plonge avec plaisir dans cette époque la Prohibition, on a l'impression s'y être !
ce film est mythique c'est pour moi mon film préféré avec mon réalisateur préféré que l'on ne cite plus "Sergio Leone" ainsi que mon acteur préféré "Robert De Niro" superbe film avec une musique merveilleuse aussi belle que mélancolique rythmé par l'histoire d'un héros qui feras ses premiers pas dans le grand banditisme et le commerce d'alcool ilégal héros qui auras tout loupé dans sa vie sauf une formidable histoire d'amitié avec son amis max incarné par James Wood pourtant ce film n'a malheuresement reçu aucune des récompenses qu'il méritait si ce n'est ceux en catégories de musiques, qui, depuis le temps enio morricone doit en avoir pas mal les feministes n'ont pas apprécié la violence faites aux femmes dans ce film mais justement c'est pour souligner l'époque très maciste que sergio leone à fait ça et elles devraient s'en réjouire car ça défend amplement les femmes car on voit bien que les héros n'ont aucune classe quand ils les violentes donc je pense que les femmes n'ont aucune raison de critiquer ce film au contraire même elles devraient bien aimée ce film bref ce film est mon film préféré et j'invite tout le monde à le voir parce que franchement c'est une occas' en or
De Sergio Leone je ne connaissait que les westerns mais ce film ma bluffé Robert De Niro joue très bien et que dire de James Woods qui lui rend la réplique sans pareil a toutt les fannes de filmes cultes ce film est a voir.
Pur chef d’œuvre de Sergio Leone avec une musique magnifique signée Morricone et des acteurs fabuleux. Histoire très prenante, de très beaux plans dans le quartier juif notamment la cultissime scène avec les cinq jeunes près du pont. A voir au moins une fois dans sa vie !
D'une langueur monotone...voilà qui pourrait résumer ce film loin d'être vraiment réussi. Il y aurait tellement à dire... Pour commencer, on ne s'attache que très faiblement aux personnages. La période de l'enfance est traitée avec tous les poncifs éculés d'époque : la fille respectable regardée à travers une brique déplacée dans le mur tandis que la ménagère facile de service leur sert d'initiation sexuelle à la volée, le copain nigaud mais éternellement fidèle, la bastonnade par le gang rival, la musique doucereuse sensée retranscrire le charme suranné des années 20... On est à mille lieux des surprises scénaristiques et de la tension à couper le souffle qui règnent dans le Parrain, où lors de chaque scène, nous avions l'impression d'être des invités privilégiés autorisés à écouter sans un mot ces joutes verbales incomparables et à être le témoin de ce mode de vie fascinant. Dans "Il était une fois en Amérique", toute magie disparaît définitivement à la sortie de prison de Noodles. Max est immédiatement antipathique, et il le restera jusqu'à la fin. Leurs deux copains ressemblent à deux crétins tout juste bons à tenir un flingue, et même Noodles, du fait de sa lenteur exagérée, finit par éteindre notre compassion. Quant aux rôles féminins, ici aussi c'est un échec. Déborah est d'une froideur indescriptible, elle ne procure aucune émotion, et on ne croit jamais vraiment à l'amour total de DeNiro pour elle. Si son personnage est complexe, sa psychologie est trop peu travaillée pour que le spectateur s'attache à elle. A aucun moment nous n'aurons senti leurs coeurs battre ou leurs mains se toucher avec amour. Elle est là pour faire le nombre, voilà tout. Quant à l'autre personnage féminin du film, la maîtresse blonde de Max, c'est encore pire, elle ne présente aucune personnalité définie : est-elle putain, nympho, amoureuse ou pleine de vertus ? Ces traits de caractère incohérents se succèdent sans transition jusqu'au dénouement final, servant uniquement les desseins du film. Sans parler de sa construction approximative, ou de sa fin, qui manque singulièrement de panache, cette longue fresque laisse un goût d'inachevé qui me déçoit beaucoup de la part d'un tel réalisateur. On a le sentiment qu'il a privilégié la présentation des décors et l'élaboration de la musique à la création d'une oeuvre construite sur le socle de la personnalité extraordinaire de ses personnages.
Même si des longueurs se font ressentir vers la fin (c'est-à-dire au bout de trois heures et demie tout de même !), 'Il était une fois en Amérique' reste un excellent film de gangsters. A travers le personnage de Noodles (de Niro), Sergio Leone nous raconte l'épopée d'une bande de truands qui s'enrichissent durant la Prohibition. L'univers du début des années 20 et du début du XIXème siècle est très réaliste. Des scènes cultes, tantôt jouissives et tantôt dérangeantes, rythmées par la composition d’Ennio Morricone font du dernier film du réalisateur l’un des meilleurs de sa filmographie.
Un film que je ne me lasse pas de revoir malgré ses plus de trois heures et sa lenteur qui peut décourager certains. Il retrace le parcours d'un jeune garçon du quartier juif de New York conquérant petit à petit le monde des bandits américains avec son groupe d'amis, avant que son univers ne s'écroule et que la mélancolie de ses jeunes années ne le rattrape. Ce n'est pas seulement un film de gangsters, c'est aussi un film sur l'enfance, sur la valeur que l'on porte à l'amitié, et une histoire d'amour émouvante. A essayer absolument pour tout cinéphile!
Un classique de Sergio Leone avec De Niro et James Woods dans le contexte d'une Amérique en proie à la prohibition au cours du siècle dernier. Un très bon film de gangsters au même titre que la saga "Le Parrain". Il faut adhérer aux films qui mettent l'accent sur l'ambiance ce qui entraîne évidemment des longueurs assumées.
Dernier film de Sergio Leone et quel film! "Il était une fois en Amérique" couvre 40 ans de la vie d'un truand juif, Noodles, interprété avec maestra par Robert de Niro. Des petits coups crapuleux de son adolescence jusqu'à sa vieillesse ou les souvenirs passés refont surface, Sergio Leone a réalisé une grande épopée américaine dans le milieu gangster de New-York. Long de 3h40, le temps passe vite tant le rythme est maîtrisé à la perfection. Que ce soit dans le business ou dans les histoires d'amour, tout les élements d'une vie sont là. Peur, violence, joie, et retranscrits avec une authenticité majestueuse. Mise en scène impeccable, réalisation propre tel que Leone nous a habitué, "Il était une fois en Amerique" conclut de fort belle manière la trilogie débutée avec "Il était une fois dans l'Ouest", avec ce grand classique du film de gangster.
véritable perle cinématographique Il était une fois en Amérique et le meilleur film de sergio Leone avec le mythique il était une fois dans l'ouest, la musique composée par Moricone et comme d'habitude splendide et la performance des acteur et grandiose du grand art tout simplement.
Génial ! 4 heures de bonheur, généralement certains ont tendance à trouvé un film très bon au début puis s'ennuyé à cause de la longueur du film, mais là pas du tout. Personnellement, j'ai pas eu l'impression de sentir passer 4 longues heures. Max (James Wood) et Noodles (Robert de Niro) sont de vieil ami d'enfance, au fil du temps ils deviennent associés, et au fil du temps ils se dispersent de plus en plus aussi. Au final, des années après Noodles se remémore sa jeunesse avec son ami et tente en même temps de réfléchir sur "comment est-ce qu'on a pu en arriver là", et tout ça dans un ordre assez aléatoire au montage du film. Excellent, à voir impérativement, un très bon film qui marque la carrière de Robert de Niro et son talent d'acteur !
Une fresque historique unique réalisé par le maître Sergio Leone. Ce dernier film du réalisateur est parfait de bout en bout. Il est maitrisé parfaitement sur toute la ligne. Rares sont des films comme celui-ci.