Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Certes, la claque n’est pas la même qu’en 1997 : mais comment aurait-il pu en être autrement ? Scream renaît de ses cendres, et ce n’est pas pour nous déplaire, puisqu’on tient là la meilleure suite du premier volet de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
LCI
par Delphine De Freitas
Saignant, drôle et diablement efficace
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un spectacle aussi généreux que décomplexé, totalement jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Cinquième volet d’une saga entamée il y a presque un quart de siècle, ce nouvel opus reprend fidèlement l’univers et les règles établis lors des précédents épisodes. Et fait revenir des valeurs sûres de la franchise horrifique, comme les acteurs Courteney Cox, Neve Campbell et David Arquette.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Force est de constater que le duo a plutôt réussi son coup, à défaut de renouveler le genre.
Public
par Marie-Pierre Galinon
Les deux réalisateurs sont des fans absolus de Wes Craven. Ils lui rendent ici un hommage très réussi.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film rend un hommage à la saga devenue culte, ainsi qu’à son réalisateur disparu Wes Craven, et continue sa mise en abîme sur le genre et sur Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Il serait également faux de dire que le film n’est pas divertissant. Car on passe un bon moment. Mais ce film reste l’incarnation de cette tendance que peut avoir Hollywood à vouloir faire du neuf avec du vieux, et laisse une impression inconfortable de tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Cet opus ne réinvente ni la roue, ni le slasher, ni même la saga Scream, mais régurgite ses défauts, ses qualités et un discours méta convenu avec assez de sincérité pour flatter les inconditionnels. Et on reste avant tout des inconditionnels.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Film de fans qui n’est pas destiné qu’aux fans, ce reboot donne une fraîcheur nouvelle à un genre qu’on aurait pu croire usé jusqu’à la corde.
La Septième Obsession
par David Ezan
Si Scream ne peut pas être autre chose, il assume frontalement sa propre impasse – et avec elle celle de ce cinéma-là. C’est paradoxalement ce qu’il a de plus réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Suite assumée des précédents épisodes, le film devrait ravir les fans de la saga horrifique par ses références, mais risque de laisser les autres sur le carreau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Scream a toujours eu cette intelligence de ne jamais se prendre au sérieux, mais se repose sur ses acquis.
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Le cinquième volet de Scream feint une remise à zéro, en ne numérotant pas son titre. Sa médiocrité n’en est que plus flagrante : attaques mal dessinées, yeux fatigués à force de clins d’œil, acteurs historiques en pilotage automatique... Le scénario, d’une surprenante paresse, passe à côté de sa seule bonne idée, façon Terminator 2 : comment une figure passée de prédateur peut se transmuer en ange gardien.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Au final, le Scream 4 d’il y a 10 ans, mené par Craven et Williamson, apparaît beaucoup plus contemporain et malin que ce cinquième volet qui, à force de faire le malin, est déjà un peu périmé.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Un drôle d'objet, qui acte l'usure de la formule tout en reproduisant de manière nostalgique les meilleurs moments de la saga, pastichés presque pour honorer sa mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un duo de réalisateurs anonymes reprend les personnages du film de 1996. Hélas le coup de vieux est fatal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Dispensable et faussement malin, Scream n'est qu'un énième exemple du manque d'inspiration des scénaristes des studios ces dernières années. Si le film paraît assumer son absence de sous-texte, il démontre surtout qu'il n'a rien compris à l'esprit de la saga ou du moins, qu'il est incapable de le reproduire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Jean-François Rauger
La relance de la franchise créée en 1996 par Wes Craven n’apporte rien de nouveau, si ce n’est une frénésie de violence qui tranche avec l’ironie initiale du projet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Et malgré tous les efforts, parfois payants, de ses deux réalisateurs commis d'office, Scream 2022 ressemble à un film-musée qui jongle frénétiquement avec moult seconds couteaux du passé pour retrouver l’âme perdue d’un concept jadis bien plus tranchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le nouveau volet de la saga de feu Wes Craven tombe exactement là où on l’attend : dans un salmigondis méta-référentiel qui est, hélas, devenu l’entrée de gamme la plus basique du film de franchise, qu’il ne fait même pas semblant de vouloir renouveler.
Positif
par Philippe Rouyer
[Les] anciens venus en renfort [...] survivront-ils au carnage ? C’est la seule question qu’on se pose et sa réponse ne vaut pas les presque deux heures de projection
Première
par Sylvestre Picard
Mais contrairement au Scream 4 de 2012 (très rigolo et très malin, dans notre souvenir), le nouveau Scream ne propose pas beaucoup d’idées de cinéma réellement excitantes - encore moins un espace de cinéma intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Lelo Jimmy Batista
La suite de la franchise initiée en 1996 hurle le déjà-vu, sans suspense et sans ménagement pour le spectateur largué dès le début.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
(...) des personnages plats et une mise en scène réduite au jump scare (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
Certes, la claque n’est pas la même qu’en 1997 : mais comment aurait-il pu en être autrement ? Scream renaît de ses cendres, et ce n’est pas pour nous déplaire, puisqu’on tient là la meilleure suite du premier volet de la saga.
LCI
Saignant, drôle et diablement efficace
Le Journal du Dimanche
Un spectacle aussi généreux que décomplexé, totalement jouissif.
Le Parisien
Cinquième volet d’une saga entamée il y a presque un quart de siècle, ce nouvel opus reprend fidèlement l’univers et les règles établis lors des précédents épisodes. Et fait revenir des valeurs sûres de la franchise horrifique, comme les acteurs Courteney Cox, Neve Campbell et David Arquette.
Mad Movies
Force est de constater que le duo a plutôt réussi son coup, à défaut de renouveler le genre.
Public
Les deux réalisateurs sont des fans absolus de Wes Craven. Ils lui rendent ici un hommage très réussi.
20 Minutes
Le film rend un hommage à la saga devenue culte, ainsi qu’à son réalisateur disparu Wes Craven, et continue sa mise en abîme sur le genre et sur Hollywood.
CNews
Il serait également faux de dire que le film n’est pas divertissant. Car on passe un bon moment. Mais ce film reste l’incarnation de cette tendance que peut avoir Hollywood à vouloir faire du neuf avec du vieux, et laisse une impression inconfortable de tourner en rond.
Ecran Large
Cet opus ne réinvente ni la roue, ni le slasher, ni même la saga Scream, mais régurgite ses défauts, ses qualités et un discours méta convenu avec assez de sincérité pour flatter les inconditionnels. Et on reste avant tout des inconditionnels.
L'Ecran Fantastique
Film de fans qui n’est pas destiné qu’aux fans, ce reboot donne une fraîcheur nouvelle à un genre qu’on aurait pu croire usé jusqu’à la corde.
La Septième Obsession
Si Scream ne peut pas être autre chose, il assume frontalement sa propre impasse – et avec elle celle de ce cinéma-là. C’est paradoxalement ce qu’il a de plus réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
Suite assumée des précédents épisodes, le film devrait ravir les fans de la saga horrifique par ses références, mais risque de laisser les autres sur le carreau.
Rolling Stone
Scream a toujours eu cette intelligence de ne jamais se prendre au sérieux, mais se repose sur ses acquis.
Cahiers du Cinéma
Le cinquième volet de Scream feint une remise à zéro, en ne numérotant pas son titre. Sa médiocrité n’en est que plus flagrante : attaques mal dessinées, yeux fatigués à force de clins d’œil, acteurs historiques en pilotage automatique... Le scénario, d’une surprenante paresse, passe à côté de sa seule bonne idée, façon Terminator 2 : comment une figure passée de prédateur peut se transmuer en ange gardien.
CinemaTeaser
Au final, le Scream 4 d’il y a 10 ans, mené par Craven et Williamson, apparaît beaucoup plus contemporain et malin que ce cinquième volet qui, à force de faire le malin, est déjà un peu périmé.
Critikat.com
Un drôle d'objet, qui acte l'usure de la formule tout en reproduisant de manière nostalgique les meilleurs moments de la saga, pastichés presque pour honorer sa mémoire.
Le Figaro
Un duo de réalisateurs anonymes reprend les personnages du film de 1996. Hélas le coup de vieux est fatal.
Le Journal du Geek
Dispensable et faussement malin, Scream n'est qu'un énième exemple du manque d'inspiration des scénaristes des studios ces dernières années. Si le film paraît assumer son absence de sous-texte, il démontre surtout qu'il n'a rien compris à l'esprit de la saga ou du moins, qu'il est incapable de le reproduire.
Le Monde
La relance de la franchise créée en 1996 par Wes Craven n’apporte rien de nouveau, si ce n’est une frénésie de violence qui tranche avec l’ironie initiale du projet.
Le Point
Et malgré tous les efforts, parfois payants, de ses deux réalisateurs commis d'office, Scream 2022 ressemble à un film-musée qui jongle frénétiquement avec moult seconds couteaux du passé pour retrouver l’âme perdue d’un concept jadis bien plus tranchant.
Les Inrockuptibles
Le nouveau volet de la saga de feu Wes Craven tombe exactement là où on l’attend : dans un salmigondis méta-référentiel qui est, hélas, devenu l’entrée de gamme la plus basique du film de franchise, qu’il ne fait même pas semblant de vouloir renouveler.
Positif
[Les] anciens venus en renfort [...] survivront-ils au carnage ? C’est la seule question qu’on se pose et sa réponse ne vaut pas les presque deux heures de projection
Première
Mais contrairement au Scream 4 de 2012 (très rigolo et très malin, dans notre souvenir), le nouveau Scream ne propose pas beaucoup d’idées de cinéma réellement excitantes - encore moins un espace de cinéma intéressant.
Libération
La suite de la franchise initiée en 1996 hurle le déjà-vu, sans suspense et sans ménagement pour le spectateur largué dès le début.
Télérama
(...) des personnages plats et une mise en scène réduite au jump scare (...).