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Uncertainregard
113 abonnés
1 285 critiques
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1,5
Publiée le 16 avril 2012
Bien qu'on se demande d'où peut venir cette sauvageonne et quelle est son histoire, voici un film d'horreur assez décalé au scénario original pour le genre. Au lieu de rapidement sombrer dans le slash movie, Lucky McKee va nous dresser le portrait ignoble de ce père de famille qui s'avère bien plus cruel que le monstre dans de longues scènes aux plans quasi contemplatifs. A partir de la capture, il maintient un climat de perversion totalement exagéré mais diaboliquement efficace présentant chaque membre de cette famille dominée par cet être autoritaire et violent. La gente féminine en prend pour son grade jusqu'à l'explosion d'Angela Bettis dans une superbe scène de rebellion qui va engendrer le massacre final. MCKee peut à présent se lâcher dans le gore mais il a été suffisamment intelligent pour traiter la psychologie de ses personnages ce qui est appréciable de nos jours...
Film surprenant comme on en a l'habitude avec Mr McKee. Le scénario est bon, l'atmosphère est prenante et assez glauque. Malgré une mise en scène un abrupte, le film se laisse apprécier. En d'autre terme une agréable surprise.
Film timbré pour les timbrés !! Un homme complètement taré capture une femme sauvageonne et l'enferme dans sa cave avant de la torturer et violer !! Mais qui est le plus sauvage des 2 ? Enfin bref on regarde jusqu'au bout mais ça tourne vite en rond !!
The Woman est un film assez choquant, on se demande jusqu'où peut aller l'amoralité de gens bien élevés.
Cette famille aux premiers abords très républicains et vielle école va dévoiler au fur et à mesure des problèmes sociaux profonds, mais ceci ne les empêche pas de vouloir "civiliser" une femme sauvage que le père a capturé dans la nature.
Cette femme (jouée par Pollyanna McIntosh, beaucoup plus jolie en vrai que dans le film XD) a un présence assez imposante dans ce film, notamment ses cordes vocales, je ne pensais pas l'humain capable de grogner de manière aussi bestiale sans que l'on ai envie de rire. Dans un rôle qui ne parle presque pas, les expressions corporelles et du regard sont très importantes, et c'est réussi, on ne reste pas insensible à cette femme !!
Au fil du film le comportement des gens devient de plus en plus inquiétant pour un final assez sanglant.
Personnellement j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour les personnages…à part la prof :D
Mais bon ce film a le mérite de marquer les esprits, c'est osé !!
The Woman est un OVNI que seul Lucky McKee était capable de faire. En effet le film est totalement barré du début à la fin et offre une thématique passionnante. La réalisation est originale et l'actrice Pollyanna McIntosh est puissante de charisme...
je me suis amusé à lire les critiques 5/5... après on s'étonne que 4 ados aient pu executer un de leurs camarades de deux balles dans la nuque. Ce film ne présente absolument aucun interêt si ce n'est l'apologie d'une certaine violence. Certains y voient la critique de la societé de consommation, moi j'y vois une haine certaine d'un metteur en scène contre sa mère doublé d'un farouche rejet des principes paternels. Est ce un film autobiographique? ( je plaisante) enfin, j'imagine qu'il faut être complètement chtarbé comme le flic du FBI dans "fantômes contre fantômes" pour apprecier ce genre de démonstration de violence gratuite. j'aime les films gores comme Shawn of the dead, Dead set ou Brain dead, parce que le réalisateur nous laisse prendre du recul. Là on pourrait croire qu'il jouit de notre dégoût. Je n'ose pas croire qu'il ait pu un seul instant se dire qu'il donne là matière aux floppées de psychopathe en sommeil qu'héberge notre planète. ma note: 1 étoile pour la réalisation, le goût morbide du metteur en scène pour la violence gratuite annihile son savoir faire de cinéaste.
Un pitch très intéressant nous rapprochant de Greystoke, mais sans le côté romanesque de la chose! Alors que l'ensemble est quelque peu rébarbatif par son côté téléfilm, la violence tout d'abord psychologique de ce chef de famille sans morale puis visuelle par un final sanguinolent qui nous explose au visage. Restent malheureusement de nombreuses questions sans réponses : s'est-elle laissée capturer pour retrouver sa progéniture déjà emprisonnée ? La petite fille de la famille a-t-elle un lien avec cette "femme"? Trop de trous dans le récit pour en faire une révélation, mais un ensemble qui monte en puissance à chaque minute qui passe pour nous amener à une fin quasi gigantesque.
The woman de lucky mckee, ou l'histoire d'une famille américaine à priori sans grand intérêt. Limite le portrait idylique de la famille. Le père, avocat, sa femme et leur 3 enfants. Un jour en partant chasser le père de famille découvre l'existence d'un sauvageonne. Son but la capturer pour la civiliser et pas que. De là vont découler de nombreuses situations plus ou moins glauques. Un film brut sans concessions magnifiquement filmé. Alors même si le début est décevant avec des flash dont on se fiche. Lucky Mckee ne retrouve pas ici la maestria de May mais bon passons. Les acteurs sont formidables et font prendre de l'ampleur au film. Leurs personnalités tourmentées rend l'émotion palpable et ajoute une ambiance sournoise et glauque. Pollyanna McIntosh est magistrale en femme sauvage et sans retenue. Certains veront dans ce film un hymne au féminisme d'autre trouveront celui ci dégradant pour la femme à vous de vous faire une idée. Le dernier 1/4 heure reste brutal et immoral une réelle belle surprise, un très bon film.
Une décennie après le mémorable May (2002), Lucky McKee nous reviens enfin, aidé du romancier Jack Ketchum (puisque le film est l’adaptation de son propre roman éponyme), avec qui il nous assène, telle une véritable claque, The Woman (2011), un DTV horrifique, psychologique et très politiquement incorrect. On y fait la connaissance d’un avocat, qui sous ses airs de bon père de famille, découvre lors d’une partie de chasse une femme vivant à l’état sauvage. N’hésitant pas un seul instant, il décide de la capturer afin de l’éduquer et de la sociabiliser (en la séquestrant dans son garage !). Cette dernière, cannibale par nature, voit d’un mauvais œil ce qui lui arrive (à vrai dire, on la comprend) et avant même que l’idée nous ait traversé l’esprit, voilà que ce sympathique (en apparence) père de famille décide de mettre à contribution toute sa petite tribu dans sa soit disant respectable mission, à savoir apprivoiser (et donc rendre docile) cette femme des bois. A la distribution, si l’intégralité du casting est composé d’acteurs inconnus du grand public, seule Angela Bettis nous est familière et pour cause, elle tenait le rôle principal du premier long-métrage (culte) de Lucky McKee. C’est donc avec grand plaisir que nous la retrouvons aux côtés de l’épouvantable (mais très performant) Sean Bridgers, dans le rôle du bon père de famille qui va petit à petit dévoiler sa face cachée à la pauvre Pollyanna McIntosh (aux dents acérées). Au final, Lucky McKee nous réserve un torture-porn original et étonnamment misogyne, qui va à coup sûr, en déconcerter plus d’un !
J'en arrive à me demander pourquoi je poste une critique tellement cela n'en vaut pas la peine. Peut-être pour que d'autres ne perde pas leur temps. Je suis pourtant amateur de films du genre!!! Jeu d'acteurs et réalisation mauvais et quant au scenario, on ne sait que dire; la totale. Sans interêt.
film assez spécial, scénario complétement déjanté.le jeu d'acteur est performant, ce qui donne une ambiance angoissante toute au long du film.a voir une fois. pas plus de 3/5 tout de même.
(...) une surprenante série b qui ravira sans forcer les fans du genre. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-the-woman/
Wow!Un film d'horreur bien,bien barré!Surtout la dernière demi-heure,où la violence se libère de ses chaines et entraine presque tous les personnages dans un déchainement sanglant et fatal...Et puis tout au long du film plane un vague sentiment de misogynie(accentuée par celle très forte des 2 personnages masculins...) qui se révèle en fait être bien plus que cela;une certaine forme de misanthropie,une sorte de fracassage en règle du modèle de la petite famille modèle à l'américaine...tout le monde en prend pour son grade...un très bon scénar,de très bons acteurs(la femme sauvage,entre autres,est super bien joué et fait vraiment flippé...) et puis une superbe réalisation/mise en scéne participent à créer l'effroi et le malaise tout au long du film...Un très bon cru,surtout pour les amateurs du genre...
Un concept très costaud dans "The Woman", ce concept est exploité de manière à transformer le film en torture-porn. Ce n'est pas plus mal car on voit l'influence du chef d'oeuvre "Martyrs". Cette famille rempli de tensions entre les membres: une épouse soumise ayant au fur et à mesure de la compation pour la femme sauvage et ayant aucune capacité de défense, une jeune adolescente symbolisant la parfaite adoslescente déprimante cause d'un complexe relationnelle et qui, à part chialer et garder le silence (comme le savent faire la majorité des ados en baggis voulant atteindre rop vite la maturité et, qui finalement passe totalement à coté) et enfin la petite dernière parfaitement innosente et naïve. Du coté des hommes ? Un père de famille macho (non le film ne l'est pas) et dominateur semblable à son fils sadique d'environ 12 ans. Et bien les personnages promettent de nous délivrer des scènes comiques dignes d'un reality show ! En attendant notre femme sauvage subis plusieurs tortures corporelles et plusieurs humiliation (ce qui explique le scandale que le film a eu). Nous, spectateur nous sommes face à des scènes sans action mais qui froles la limite du soutenable avec une violence impressionnante et graphique. Des musiques exelentes, des interpretations incroyables et une fin....WOAh quelle fin ! Au moins les gens s'étant tournés du coté des femmes auront du plaisir à regarder cette boucherie finale qui montre ce que méritent ces personnages cruels. La fin est la raison pour laquel, quelqu'en soit les jugements négatives qu'on en tire durant le film face à toute une ultra-violence, les gens doivent continuer à visionner le film, à conditions évidemment d'avoir l'estomac solide. La fin délivre la résolution et l'integralité du propos ce qui fait de "The Woman" un film d'horreur d'une violence extreme (parfois gratuite alors attention aux sensibles, vous êtes prevenu), d'une gore parfois insoutenable et d'une (im)moralité révoltante. Un ovni du cinéma, donc, qui ne laissera personne indifferent. Si vous regardez "The Woman" vous devriez vous engagez à le visionner jusqu'au bout. 4.5/5