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    Le Bon, la brute et le truand
    Note moyenne
    4,5
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    1 198 critiques spectateurs

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    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Sergio Leone a fait beaucoup de bon film mais le bon la brute et le truand reste son chef d œuvre . Les trois heures se dégustent comme du petit lait, emmenées par l inoubliable musique d ennio moriconne .

    Le bon , la brute et le truand est le western ultime , la référence du genre !

    Le film est superbement bien écrit . Découpé en plusieurs phases , plusieurs histoires ou sous histoires .
    Le rythme est maîtrisé par le maître italien avec des temps morts , de l action qui font monter la pression.

    Les trois acteurs sont parfaits dans leur rôle et sont devenus trois gros monstres du cinéma américain.

    Les scènes d introduction des personnages sont sublimes et décrivent parfaitement comment la film va avancer .
    On est de suite dans l’histoire

    L humour est fin et drôle, notamment dans les rapports entre le bon (Eastwood) et le truand (Wallach

    Les dialogues sont réduits au strict minimum donnant un vrai rythme au final

    Sur fond de guerre de sécession, les trois protagonistes principaux ne servent que leur intérêt personnel d enrichissement .

    Le monde se divise en deux catégories : ceux qui adorent Sergio Leone et ceux qui ne regardent pas les western.
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 052 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2014
    Le Bon, la brute et le truand : Pour moi, le meilleur de la trilogie du $ et tout simplement un des meilleurs westerns de tout les temps. Tout est réunie, tout est si maitrisé et accomplie… franchement respect. Déjà, la réalisation, Sergio Leone est à son apogée. Mise en scène superbe, photographie soignée aux petites oignons, décors nature de toute beautés qui vont plonge des le début dans l’ambiance si exceptionnelle et unique des westerns. Et pour peux de budget, un peu plus d’un million de dollars, il te fait un film qui réserve de grand moment : vers le fin, la guerre avec le pont, le duel de fin qui est juste mythique. Avec un thème signée Ennio Morricone qui restera gravé au fer rouge. Et puis que dire du scénario, captivant avec des personnages encore plus étouffées et une histoire de chasse au trésor prenante. Car, c’est 3 personnes aux destins différents d’où la route va se croisés. Amitié qui va devenir rivalité car ils sont tous les trois a la recherche d’un coffre remplit de dollars : le jackpot. Donc, un duel au sommet avec le retour du duo : Clint Eastwood et Lee Van Cleef (que on avait découvert dans « Et pour quelque dollars de plus) : toujours aussi charismatique c’est deux la. Mais, il y a un petit nouveau : Eli Wallach qui es vraiment excellent et très amusant. Donc voila, un de mes westerns préférés car c’est un grand classique et un véritable chef-d’œuvre sans concession.
    JokerDreizen
    JokerDreizen

    295 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2011
    Un film qui impose la question ultime au spectateur : Lui préfère-t-on ses interminables et sublimes silences, ou bien ses répliques, d'une brièveté et d'une efficacité redoutables ? Peu importe. Si la lenteur du film déconcerte quelque peu lors de certaines scènes de la première heure, plus rien n'empêche l'engouement du spectateur pendant le reste du film. Car oui, tenir le spectateur en haleine avec une telle recette pendant 3 heures relève de l'exploit ; c'est pourtant ce que Sergio Leone a accompli, avec un trio d'acteurs remarquables, mené par le fantastique Clint Eastwood. Le Bon, la Brute, et le Truand n'a pas volé son statut de western culte. Leone raconte une histoire simple avec une mise en scène brillante, à coup de silences au suspense haletant, de répliques so fucking awesome, de fusillades qui crèvent les enceintes de la télé. Tout ceci sans parler du décor, la chasse au trésor se présentant finalement comme un voyage à travers un Ouest ravagé par la guerre de sécession : Magnifique. Enfin, la musique est un culte qui a traversé les ages et qui impose cette œuvre comme l'un des meilleurs westerns de tous les temps.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 347 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2011
    Assurément l’un des plus beau western spaghetti, Le Bon, la brute et le truand (1968) possède à lui tout seul tous les ingrédients nécessaire à la réussite du film, à commencer par un scénario brillant, cumulant les nombreux retournements de situation, ajouté à cela, d’excellents interprètes, le trio en tête d’affiche excelle du début à la fin, ils ont le charisme, le panache, l’allure et le physique !
    Que ce soit Clint Eastwood (le bon), Lee Van Cleef (la brute) ou encore Eli Wallach (le truand), ils forment à eux trois, l’un des plus beau trio du cinéma, chacun apportant sa pierre à l’édifice, on est subjugué par leurs prestations (surtout Clint Eastwood & Lee Van Cleef).
    Pendant près de trois heures, humour et suspens se succèdent en continu, au grès de percutantes répliques. Ajouté à cela et tout au long, une sublime B.O que l’on doit à Ennio Morricone.
    Sergio Leone conclu en beauté sa trilogie de “l’homme sans nom”, après Pour une poignée de dollars (1966), Et pour quelques dollars de plus (1966) & le chef d’œuvre : Le Bon, la brute et le truand (1968).
    Real C
    Real C

    115 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Un des western les plus connus avec il était une fois dans l'ouest, et pour quelque dollar de plus ! Clint Eastwood ! Lee Van Cliff ! Eli Wallach ! Sergio Leone ! Que demandez de + !
    Mosse.
    Mosse.

    99 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juillet 2010
    "Le Bon, la brute et le truand" est, chronologiquement, le troisième volet des aventures de l'Homme sans nom, après "Pour une poignée de dollars" ( tourné en 1964 ) et "Et pour quelques dollars de plus" ( réalisé en 1965 ). On revient ici aux premières aventures de notre personnage, interprété par Clint Eastwood. D'ailleurs, à la fin du film, il récupère le poncho qu'il ne quittait pas dans les deux long métrages précédents.
    Clint Eastwood, bien sûr dans le rôle du 'Bon', encore une fois sous la réalisation du génial Sergio Leone, est rejoint au casting par Lee Van Cleef et Eli Wallach, respectivement la 'Brute' et le 'Truand'.
    La réalisation est juste parfaite, ce qui permet à Sergio Leone de privilégier les images aux dialogues ( il faut attendre près de 10 minutes avant la première ligne de dialogue ), la musique, comme souvent avec Leone, est composée par Ennio Morricone. Et c'est un des grand point positif du film, si pas LE point fort, elle est parfaite, culte, tout le monde connaît cette musique, même ceux qui n'ont jamais vus le film ; cette musique est tout simplement devenue LA musique représentant le western.
    Mais, en fait, en y réfléchissant, ce film n'as pour ainsi dire aucun défaut! Les acteurs sont tous parfaits, la réalisation est magistrale, le scénario est sans faille, le peu de dialogues présents sont cultes ( "Le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses !" ) c'est presque la perfection!
    Un des meilleur western de tout les temps, à voir et à revoir!
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    256 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2014
    Réalisé par Sergio Leone, le maître incontesté du western spaghetti, Le Bon, La Brute et le Truand est sans doute l’un de ses plus grands films et un des plus grands westerns du cinéma. On aurait presque envie de dire « monumental », tant ce film est maîtrisé de bout en bout. Et bien c’est vrai, Sergio Leone signait avec Le Bon, la Brute et le Truand un des nombreux monuments du cinéma. Pendant la Guerre de Sécession, trois hommes, préférant s’intéresser à leur profit personnel, se lancent à la recherche d’un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d’or volés à l’armée sudiste. Tuco sait que le trésor se trouve dans un cimetière, tandis que « Blondin » connaît le nom qui est inscrit sur la tombe où se trouve le trésor. Chacun à besoin de l’autre pour s’emparer du butin. Mais un troisième homme entre dans la course : Sentenza, un homme brutal qui n’hésite pas à massacrer femmes et enfants pour parvenir à ses fins. Sorti en 1968, deux ans après la véritable sortie du film en Italie, Le Bon, la Brute et le Truand est aujourd’hui un film majeur dans le genre du western spaghetti et également un film culte adoré par des millions de cinéphiles. Réalisé par le grand Sergio Leone, ce film long de presque trois heures, 2h58 pour être exact, a rencontrer un grand succès à l’époque. En France, il totalisa plus de six millions d’entrées, aux Etats-Unis le film fut un carton, il généra en 41 années, de 1966 à 2007, plus de 25 millions de dollars et en Italie, pays d’origine du film, le septième film de Sergio Leone rapporta plus de deux milliards de lires à sa sortie en 1966. Véritable succès populaire, Le Bon, la Brute et le Truand est un grand chef-d’œuvre, incontournable et inoubliable, du Septième Art. Mais avant d’enter dans les détails, effectuons un petit retour en arrière pour parler un peu du genre de ce fabuleux long-métrage qu’est Le Bon, la Brute et le Truand. Dans le début des années 1960, alors que le genre du western était en perte de régime aux Etats-Unis où des projets faisaient des flops avec de gros budget, la réinvention du genre est venue, contre toute attente, d’Europe et plus particulièrement d’Italie où des réalisateurs comme Sergio Leone permirent au genre du western de se renouveler. Le genre, ou le sous-genre pour certains, du « western spaghetti » était née. Désormais, pendant l’âge d’or de ce genre, dans les scénarios il n’y aura plus de cow-boys blancs gentils toujours bien coiffés et propres, ou de tuniques bleues qui luttent contre des indiens sauvages ou des bandits. Dans les westerns spaghetti, les héros seront des chasseurs de prime, des voleurs ou des hommes violents, des anti-héros en fait. Mal rasés, sales, ivrognes, violents, amoraux et parfois sadiques, les personnages du western spaghetti sont plus réalistes vis-à-vis des vrais habitants de cette époque. Les héros font des choses parfois amorales mais les méchants sont bien pires. De plus on peut remarquer que les films de ce genre sont plus violents avec des scènes de duels sanglants, de bagarres, de pendaison et même de torture. On peut également ajouter une touche d’humour noir et assez cynique. Techniquement et esthétiquement, le western spaghetti possède plus de gros plans sur le visage des acteurs, des scènes très longues pour accentuer le suspense, des scènes lente pour l’ambiance et de la musique qui contribue à l’ambiance du film, parfois lente ou rythmée, elle permet d’amplifier la tension. Et Le Bon, la Brute et le Truand s’inscrit parfaitement dans le genre du western spaghetti puisqu’il possède tous les codes du genre. L’histoire se concentre sur trois personnages bien différents, ceux du titre, et nous suivons leur avancée psychologique ainsi que leur histoire durant 2h58 fascinante. Le film s’attarde sur des personnages assez mystérieux comme le Bon, joué par Clint Eastwood, dont on ne sait rien à part qu’il joue bien de la gâchette et qu’il est très malin. Tuco, lui on sait qu’il a un frère moine, c’est une vraie crapule qui aime l’or mais sinon rien de plus. Quand à Sentenza, c’est un homme violent, qui arrive toujours à son objectif principal et qui n’a pas de pitié. Ce sont des personnages complexes qui sont extrêmement bien écrit et joué pendant toute la durée du film pour que le spectateur les comprennent bien et s’attachent à certains. Le film possède une histoire prenante, qui s’étale sur presque trois heures où dans un premier temps nous suivons la relation entre Blondin et Tuco et ensuite, dans la deuxième partie, nous partons à la recherche du fameux cimetière qui contiendrait 200 000 dollars en pièces d’or. Nous sommes captivé par l’histoire car la réalisation stylisée de Sergio Leone nous emporte. Des plans sur les visages, les colts de revolver prêt à être dégainé, des scènes de lenteur, des moments fort comme la bataille entre nordistes et sudistes, l’explosion d’un pont, la traversée du désert avec Tuco et Blondin et bien sûr le duel final dans le cimetière sans doute le plus intense jamais réalisé ! Sergio Leone est un vrai metteur en scène de western, il réalisait avec Le Bon, la Brute et le Truand, le troisième opus de la célèbre Trilogie du Dollar qui comprend Pour une Poignée de Dollars et Et pour quelques dollars de plus. Grâce à sa mise en scène, le réalisateur italien atteint les sommets du western. Et le film ne serait rien sans sa bande-originale d’anthologie composée par le grand compositeur Ennio Morricone. Le thème principal vous reste en tête après le film, et la musique quand Tuco arrive dans le cimetière et se met à courir pour trouver la fameuse tombe est juste superbe. Les cris et les voix que l’on entend souvent dans la BO du film sont juste géniaux et permettent au film d’avoir une vraie ambiance. Les musiques d’Ennio Morricone sont tantôt entraînante comme celle-ci mais aussi parfois plus lyrique, nostalgique ou émouvante, je pense à celle avec les voix des soldats quand Tuco se fait torturer par exemple. Ennio Morricone signait là une des plus grandes bandes-originales du cinéma. Elle est aussi célèbre que le film. Ensuite on ne peut passer à côté du trio d’acteur. Clint Eastwood jouait ici dans son dernier western sous la direction de Sergio Leone après les deux autres volets de la Trilogie du Dollar. Peu causant, mal rasé, fumant le cigare, tirant plus vite que son ombre et portant son poncho légendaire, Eastwood excelle une fois de plus dans le rôle de l’homme sans nom qui est bien évidemment dans ce film le Bon. Il donne par ailleurs au film une de ses répliques cultes : « Tu vois le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creuse… Toi tu creuses… ». Eli Wallach, décédé le 24 juin 2014 à l’âge de 98 ans, interprétait dans ce film son rôle le plus mémorable et qui lui a valut la popularité du grand public. Il faut dire que l’acteur est excellent dans le rôle de Tuco alias le Truand, personnage à la fois détestable et attachant, ce qu’a réussit l’acteur est prodigieux, rendre cet homme à la fois haïssant et sympathique aux yeux du public. Voilà une belle manière de rendre hommage à Eli Wallach en revoyant Le Bon, la Brute et le Truand. Et enfin il y a le puissant Lee Van Cleef dans le rôle de Sentenza alias la Brute, homme violent et sadique, brillamment interprété par Van Cleef dans un de ses meilleurs rôles. L’acteur venait de tourner avec Sergio Leone dans Et pour quelques dollars de plus, le réalisateur italien à donc offert à l’acteur deux de ses meilleurs rôles. Voilà, Le Bon, la Brute et le Truand est l’un des plus grands westerns du cinéma et qui fait partie du meilleur du genre du western spaghetti. Brillamment réalisé par Sergio Leone qui était à l’apogée de sa carrière à l ’époque, porté par trois grands acteurs et le tout sublimé par l’inoubliable bande sonore d’Ennio Morricone, Le Bon, la Brute et le Truand est un grand chef-d’œuvre inoubliable et qui n’a pas prit une seule ride après toute ces années.
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2013
    Ils sont trois pour 200 000 dollars: Le Bon, la Brute et le Truand. Le bon, c'est Clint Eastwood: il est le personnage le plus correct du film d'où son surnom, mais il est aussi un homme calculateur et qui peut être le pire des escrocs. Ce qui fait de lui le personnage les énigmatique. La Brute, c'est Lee Van Cleef: sous ses airs d'homme flegmatique se cache en réalité un personnage plein de sang froid et qui est prêt à tout pour parvenir à son but. On serait tenté de dire que le personnage le plus dangereux c'est lui. Et il reste le Truand: c'est Eli Wallach. Le Truand est le personnage central et lui aussi est un personnage assez insaisissable. Son caractère varie souvent: il peut être drôle, sadique, impulsif et violent, mais ce qui est évident c'est que c'est un homme qui n'est pas malin. «Le Bon, la brute et le traund» est en fait un film à deux histoires. La Brute cherche à connaître où se trouve un trésor contenant 200 000 dollars, tandis que le Truand se lance à la poursuite du Bon. Et finalement, les trois personnages vont se retrouver et seront plus determinés que jamais à s'emparer du trésor. «Le Bon, la brute et le truand» c'est la crème du Western spaghetti. Le style inimitable de Sergio Léone est encore bien présent: les grandes étendues arides, les duels dans lesquels les protagonistes se fixent dans le blanc des yeux, les multiples rebondissements du scénario sans oublier la musique d'Ennio Morricone. Et bien sur les trois acteurs qui sont impeccables, surtout Clint Eastwood. Un western fabuleux.
    mahtan-ancalimon
    mahtan-ancalimon

    38 abonnés 651 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2009
    Quel classique du western, avec l'une des fins les plus mythique de tout les temps. Clint y est à l'apogée de sa gloire! S Leone aussi!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    Et voilà que j'achève le visionnage de la trilogie du dollar avec "Le Bon, la Brute et le Truand", l'un des films de Leone les plus célèbres, de par ses répliques et sa musique qui se sont pleinement inscrits dans la culture populaire (qui n'a jamais entendu l'"Ecstasy of Gold" de Morricone, ou les jurons de Clint Eastwood à un Eli Wallach crapuleux?). De toute la trilogie, "Le Bon, la Brute et le Truand" est mon préféré. Leone utilise enfin tout son talent pour signer un western ambitieux, qui mélange les genres que sont l'aventure et la guerre pour mieux leur rendre hommage. Sous fond de guerre de Sécession, le film suit la quête de trois individus à la recherche d'une caisse remplie de dollars. Si le synopsis semble à première vue bien simple, le scénario renferme bien d'autres éléments chers à Léone, comme les thèmes de l'amitié, de la fraternité et de la famille, sans oublier la guerre et ses ravages. Sur les trois heures que dure le film, jamais le rythme ne baisse. Du début à la fin, on suit avec passion les aventures du Bon, de la Brute et du Truand. Si Clint Eastwood et Lee Van Cleef s'en sortent magistralement, celui qui, indéniablement, crève l'écran est Eli Wallach, le Truand, véritable "héros" du film et personnage le plus intéressant de par son ambiguïté et de ses actes crapuleux qui, derrière tout ça, est celui qui possède le plus de caractéristiques "humaines". De par son rapport à l'argent (c'est bien connu, l'Homme aime l'argent), mais aussi de par ses regrets vis-à-vis de sa famille, comme le montre cette sublime scène dans le monastère ou le Truand retrouve son frère qui lui annonce de bien tristes nouvelles. "Le Bon, la Brute et le Truand" n'est pas qu'un simple western spaghetti. Il possède cette profondeur et cette sensibilité envers son histoire et ses personnages, qui font que ce volet final de la trilogie surpasse les deux précédents. Sergio Leone conclut magistralement les aventures de l'homme sans nom, de par les multiples éléments scénaristiques de son récit et de par les thèmes traités le tout porté, cerise sur le gâteau, par une réalisation au top.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mai 2012
    Encore et toujours un film d'anthologie de Sergio Leone. Un super western comme je les aime. De l'action, une bonne histoire et d'excellents acteurs. Troisième volet d'ne trilogie culte (Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus), le maître du western spaghetti nous livre un des meilleurs westerns de l'histoire du cinéma. Les trois acteurs principaux (Eastwood, Van Cleef et Wallach) campent des personnages truculents, hauts en couleur. A voir et à revoir pour le plaisir.
    videoman29
    videoman29

    251 abonnés 1 836 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juillet 2013
    Trois acteurs sublimes, un réalisateur parmi les plus grands et un compositeur mythique au service d'un chef-d’œuvre du cinéma. « Le bon, la brute et le truand » est probablement le meilleur western de tous les temps. C'est une leçon de cinéma que nous donne Sergio Leone, sa réalisation est parfaite et n'a pas prit une ride. L'histoire, les personnages, les paysages, la musique ; Il n'y a aucun point faible dans ce long métrage qu'on ne se lasse pas de revoir. La lenteur de la narration met parfaitement en valeur la violence de l'action ; Plusieurs scènes et dialogues sont cultissimes et la fin est un véritable morceau d'anthologie... Ce n'est pas tous les jours qu'on frôle ainsi la perfection ; Ce n'est que du bonheur et du talent à l'état brut, vous auriez tort de vous en priver... On se le refait ? (la version restaurée en blu ray est superbe)
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juin 2007
    Même si je lui préfère "...Et pour quelques dollars de plus" (moins long, parce qu'il faut bien le dire, "Le bon, la brute, le truand" est un peu trop longuet par moments), ça reste un grand, grand western, et un superbe moment de cinoche. La scène finale est magnifique.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    203 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2010
    Surement le meilleur western de tout les temps, acteurs cultes, scénario culte, musiques cultes...un film abouti, sans faille !!!
    Alexarod
    Alexarod

    287 abonnés 1 870 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    Le préquel de la trilogie du dollar, la quintessence du western spaghetti servi par les modèles du genre : Clint Eastwood en acteur, Sergio Leone à la réalisation et forcément Ennio Morricone à la musique, c’est au-delà du culte, c’est un exemple intemporel.
    Ce qui me dérange c’est les notes : 4.1 pour la presse et 4.5 pour les spectateurs. Visiblement on garde une estime énorme pour ces films et le genre. Pourtant on rappelle que les westerns spaghetti étaient décriés et moqués à l’époque. En cause le fait que ce soit très différent des westerns classiques (à la John Wayne), moins rythmé, une lenteur caractéristique, les longueurs régulières associées aux scènes qui s’allongent déraisonnablement, des anti-héros, les zoom sur les persos alternant avec les plans large de paysage, la place de la musique dans l’ensemble etc. Ce n’était pas vu comme des gages de qualité alors que désormais cela fait sa force. Le public voulant du changement, en cassant les codes Sergio Leone lui apporta ce qu’il recherchait. Je dis ça car la nostalgie semble jouer à fond, comme si avec le temps on reconnaissait la valeur de l’œuvre, alors que c’est juste parce que ce sont les seuls westerns connus et diffusés en gros, donc on se forge un avis à partir de ça.
    Après ça demeure un monument, peut-être le meilleur de la trilogie d’ailleurs, Clint y est admirable, tellement que « l’homme au poncho » (qu’il revêt à la fin, d’où le côté préquel) lui est aussi indissociable que l’inspecteur Harry, et pourtant le rôle était prévu pour Charles Bronson… D’ailleurs le trio est bien trouvé, avec des gueules comme on dit, plus la gouaille de Tuco et le flegme du Blond on est servis niveau spécimen de persos, sans doute pour ça que ce long métrage apparait plus culte que d’autres. Si on ajoute des décors et des costumes réalistes, notamment pour la reconstitution de l’aberrante guerre de Sécession, un manichéisme inexistant, un montage clair, une photographie au top, une VF pas mal qui ne loupe pas les punchlines efficaces (« quand on tire on raconte pas sa vie »), allié à pas mal d’humour on peut comprendre ce statut si élevé. Au final oui c’est une référence.
    C’est limite culturel tant ça reflète ce genre de production, et ça traite un peu de l’Histoire des USA avec un aspect réaliste. Bon si on gratte un peu le vernis s’écaille mais ça ne gêne pas tant que ça. En attendant c’est un modèle du genre, dans un style qu’on apprécie ou pas mais qui reste remarquable, à découvrir au moins une fois.
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