Mon compte
    Only Lovers Left Alive
    Note moyenne
    3,8
    4120 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Only Lovers Left Alive ?

    395 critiques spectateurs

    5
    51 critiques
    4
    128 critiques
    3
    91 critiques
    2
    68 critiques
    1
    36 critiques
    0
    21 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2014
    Monsieur Jim,
    Je dois vous avouer que je ne suis pas de l'avis général des critiques qui encensent votre dernier film. J'ai entamé la séance avec la volonté profonde de vous comprendre, mais également, et ce n'est pas contradictoire malgré les apparences, de me laisser transporter dans votre spleen de dandy (c'est ce que tout le monde dit de vous, je ne vous connais ni d'Eve, ni d'Adam mais j'ai souvent tendance à croire ce qu'on me dit). Et pourtant je ne suis arrivé à rien. Si j'ai parfois souri à votre humour pince-sans rire (de l'humour de dandy, je suppose), j'ai en général été plutôt mal à l'aise avec vos envies de reclus, d'homme touche-à-tout, pratiquement génial au sens 1er du terme, qui ne daigne pas partager un peu de son temps avec ces zombies ignorants et incapables. J'étais gêné que votre film ne soit qu'une diversion pour que vous partagiez vos réflexions et vos pensées sur l'état général d'une civilisation, aussi platement. Comprenez-moi bien : je ne trouve pas vos réflexions plates, au contraire je les trouve assez pertinentes, mais je les trouves amenées de façon un peu grossière, emballées dans ces mélodies pures que personne ne respecte. Quant au film, eh bien, une fois de plus, je n'en ai pas vu, je ne comprends pas où vous me meniez, a fortiori nulle part. Vous savez manier une caméra Monsieur Jim, vous savez rendre la beauté partout, mais vous savez jouer de la musique alors par pitié, tentez le cinéma moins hautain, qui me prend moins de haut, car vous n'êtes à l'abri de rien, pas même de tomber dans votre propre caricature.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 avril 2014
    Sublime. Envoutant. Fascinant. Je le suis encore, 1h après la séance. C'est spécial, il faut aimer le genre, c'est lent, mais gracieux et romantique. Ceux qui aime la musique, les guitares électriques, les vinyles seront servis. Les dialogues entre nos deux personnages principaux sont fascinant. Ils parlent de choses sans donner de détails car eux peuvent s'en passer, vu qu'ils étaient présent quand ils parlent d'artistes ou de scientifiques d'un autre siècle, voir d'un autre millénaire. Entre eux ils se comprennent et ça donne l'impression d'assister à une conversation privée. On ne comprend pas tout, les gants, les lunettes, mais après tout, peu importe. Pas de violence dans ce film. Il faut apprécié la musique, les pauses des acteurs, leurs gestuelles, l'envoutement très présent... on ne sait pas où ça nous mène, on les suit le temps de quelques instants au final. J'ai adoré et il faut aimer pour apprécié toute la beauté du film.
    Grouchy
    Grouchy

    126 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Les vampires assiègent le cinéma ! du film pour ados de bas de gamme jusqu'à l'héroïc fantasy, on ne compte plus les adaptations plus ou moins réussies de l'univers de ces créatures mythiques. Cela dit, les bons films sur ce sujet se font rares tant on s'est éloignés des premières formes cinématographies. Mais tout de même, Jarmusch, cinéaste de l'errance et du silence, réalisant un film romantique sur un couple de vampires en exil ? Surprenant mais pour autant intéressant ! Le film commence par un générique étoilé sur disque vinyl avec des titres rappelant ceux des films de la Hammer, en gothique rouge vif. Puis vient une sorte d'errance spirituelle à l'image, par les tournoiements de la caméras et les vampires se délectant du sang comme étant sous l'emprise de drogues. Les humains sont décrits comme zombies par les vampires, car ceux-ci sont lobotomisés par la société tandis que les vampires s'excluent du monde, dans une maison abandonnée ou les coulisses d'un bar. La ville de Detroit, vu son état actuel, était un formidable choix de décor pour Jarmusch, vision d'un monde en ruines et pathétique à la fois. Outre le style visuel, outre les lenteurs propres à Jarmusch, son scénario est également très bien construit, la soeur de Swinton s'étant adaptée aux humains, sa venue est source d'ennuis car elle a mordus ces derniers, remplis de maladies de toutes sortes. Une véritable critique du monde moderne ( signifié par le noms des deux personnages, Adam et Eve, qui établissent leur critique sur l'humanité qu'ils ont vu évoluer ), ce n'est pas un simple film fantastique en fin de compte, jusqu'au plan final où le cinéaste semble revenir à l'essence originelle du film de vampires. Coup réussi avec brio pour le cinéaste, à qui l'on croyait tourner en rond dans le même genre depuis longtemps.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2014
    A Détroit vit Adam, musicien underground déprimé par le monde des hommes. Eve, son amoureuse de toujours et de très longue date, vit à Tanger ; énigmatique, elle a plus de ressource de survie que son conjoint. Des siècles qu’ils se connaissent ces deux là. Eve va retrouver à Detroit son amoureux dépressif lorsque la petite sœur d’Eve débarque et va chambouler leur vie bien réglée.
    Jim Jarmush signe ici un film de vampire loin des productions actuelles du genre ; « Twilight » et autres productions pour adolescents. Ses vampires sont des êtres sophistiqués et cultivés déprimés par le peu de culture des vivants. Eux les esthètes de l’art, aristocrates dans l’âme, sont le miroir d’une humanité qui pourri tout ce qu’elle touche : culture, valeurs,… Jarmush, derrière ces êtres vieux de plusieurs siècles ayant côtoyés voir influencés les grands hommes passés (Shakespeare, Lord Byron, Einstein, Schubert,…), nous renvoie toute la médiocrité de notre époque, une charge contre notre société du divertissement. Et quelle ville plus que Détroit peut symboliser un capitalisme agonisant.
    Cette critique de notre époque n’apparait qu’en filigrane d’un amour éternel et nonchalant. Ces êtres sophistiqués et civilisés ont le bon goût de plus trouver le sang dans le cou des mortels ; ils se fournissent en hémoglobine dans les stocks hospitaliers. Et tout est comme çà, truffé d’humour feutré.
    Jim Jarmush prouve encore sa maitrise esthétique à travers ce film. La séquence d’ouverture est une splendeur de contemplation et de langueur. Le tout est porté par une bande son à l’unisson de l’image, jazzy en diable. Mais voilà on a l’impression au bout de 40’ que « l’art pour l’art » atteint vite ses propres limites ; l’ennui. Concentré donc sur l’image et l’adéquation avec la musique mais beaucoup moins sur un scénario poussif. Il ne se passe pas grand-chose ; en faire un style, pourquoi pas, mais j’adhère guère.
    Cette fable est élégante comme son dandy de réalisateur, lascive comme ses deux protagonistes aux canines acérées, mais ennuyeuse à souhait. Dans le Parisien, Pierre Vavasseur résume assez bien mon impression : « Chef-d'oeuvre de cinéphilie pour spectateurs masos, ce film est sans doute formellement très beau, mais globulement soporifique ».
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 avril 2014
    J'adore la lenteur de ce film... et la BO qui est magnifique...
    icniv
    icniv

    15 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2014
    très bon film, très esthétique. une tranche de vie chez des vampires dépités par les zombies. La musique est excellente.
    guifed
    guifed

    66 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2014
    Du Jim Jarmusch pur jus! Avec ce Only Lovers Left Alive, on a droit à une recomposition du mythe du vampire (pourtant tellement exploité ces dernières années) à la sauce jarmuschienne, c'est-à-dire avec deux vampires nullement agressifs, cruels, ou dangereux mais au contraire posés, discrets, fins, sensibles et romantiques. Il y a bien sûr quelques classiques du mythe qui subsistent, comme la dépendance au sang humain, leur seule nourriture. Inutile de préciser que les qualités du film ne résident pas dans le scénario ou dans la trame narrative, quasi-inexistantes ici, mais plutôt dans l'atmosphère qui s'en dégage, à la fois languissante, mélancolique et nostalgique. Car le principal propos des deux protagonistes est bien de regretter les temps anciens, où le sang des humains (appelés allègrement zombies ici) était de meilleure qualité, et où les humains prenaient un peu plus soin du monde qui les entoure. Un monde qui apparaît en total désaccord avec leur train de vie, le moderne n'étant que futilité et nuisances pour deux passants de la vie comme eux. Un "c'était mieux avant" insistant et qui peut en agacer certains. Mais bon, pris sur le ton de l'ironie comme semble vouloir le faire Jarmusch (notamment avec l'intrusion du personnage totalement dissonant de la soeur Ava), et surtout aidé par une bande-son délicieusement psychédélique, la pilule passe, agréablement pour certains, sans plus pour d'autres. Il est vrai que la longueur de certaines séquences peuvent vite lasser, ainsi que la trame narrative qui tutoie régulièrement le néant, mais encore une fois, si vous allez voir du Jarmusch, c'est avant tout pour l'atmosphère, l'impression d'ensemble, le ressenti qu'elle procure, que vous le faites.
    Velma21
    Velma21

    30 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2014
    Il y a plusieurs constantes dans le cinéma de Jim Jarmusch. D’abord, un amour pour les désaxés, les gens hors-normes, bref tous ceux qui ne suivent pas le chemin tout tracé offert par la société. On y trouve aussi, souvent, beaucoup de musique, du rock, de la mélancolie et des cafés. Pas de mystère, Only Lovers Left Alive s’inscrit dans cette même lignée contemplative.

    Pour pimenter un peu l’affaire, ces inadaptés de la vie sont cette fois-ci un couple de vampires amoureux depuis plusieurs siè honnêtement, ils pourraient tout aussi bien être des vagabonds ou des chanteurs de rock sur la route. A la fois onirique et entêtante, la première partie du long métrage tente de capter le désœuvrement romantique de ses héros. L’errance d’Adam (le magnétique Tom Hiddelston vu dans Thor) et de Eve (le caméléon Tilda Swinton aperçue dans Snowpiercer et The Grand Budapest Hotel) prend une tournure plus narrative dans la deuxième partie quand la petite sœur diabolique (Mia Wasikowska, Stoker) s’en mêle.

    Mais ce n’est pas la dimension fantastique qui intéresse le cinéaste. Il s’en sert uniquement pour explorer le tréfonds de l’âme humaine et tirer un constat peu flatteur d’une société en pleine déliquescence. Les humains (ou plutôt les zombies pour reprendre l’expression du film) y sont décrits comme des êtres vains, cruels ou stupides, obsédés par le culte de la célébrité. Pire même le sang, or noir des vampires, a été perverti. Soyons honnêtes, cette critique acerbe ne sonne pas toujours juste. Surtout quand le réalisateur s’en prend au système hollywoodien. « Los Angeles, cité du diable » : un peu facile, même pour le plus indépendant des réalisateurs américains.

    Par contre, pour renforcer ce sentiment de décrépitude, le cinéaste filme Boston et Tanger comme des cités fantômes ravagées par le chômage, la pollution ou la drogue. Il instaure une ambiance de fin de cycle très réussie. Bizarrement la conclusion, délicieusement ironique, est remplie d’un certain optimisme. Tant qu’il restera un peu d’exaltation dans ce monde, tout n’est peut-être pas perdu !

    Lire d'autres critiques sur Lost in Universes
    Louis Morel
    Louis Morel

    50 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2014
    Nostalgique, Jarmusch offre un spectacle visuel hors pair, mais au rythme malheureusement trop assommant.
    Léa H.
    Léa H.

    34 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 avril 2014
    Poseur et artificiel, ce nouvel opus de Jarmush est désespérément creux. Flottant au milieu des clichés les plus éculés (la mélancolie dépressive des immortels englués dans un dandysme bc-bg, ça ne vous rappelle rien ? Mais oui, même les « Prédateurs » de Tony Scott font office de chef d’œuvre en comparaison). Ces vampires-là sont bien inoffensifs et ne provoquent guère qu’un ennui profond.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 avril 2014
    Si vous n'avez vraiment rien a faire (mais vraiment rien) et que les fauteuils de votre ciné sont très confortables........................................................et que vous bénéficiez d'un tarif réduit.............
    Mais surtout n'insistez pas auprès de votre femme, votre ami (e) pour voir ce film, ils risquent de ne pas vous le pardonner.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2014
    Jim Jarmusch est un homme qui a, aux travers de ses films, démontré qu’il possédait une âme solitaire et assez nostalgique. Ce n’est donc pas surprenant si son nouveau film, "Only Lovers Left Alive", continue d’illustrer ces deux thèmes récurrents ; mais cette fois-ci, il prône la carte de l’originalité en choisissant de nous proposer une histoire de vampires : Adam et Eve sont amants depuis des siècles mais vivent souvent séparés par des milliers de kilomètres. Alors que Adam semble être de plus en plus déprimé par le monde et les humains en général, Eve décide de le rejoindre pour lui rendre le sourire…Ce qui fait la vraie saveur de "Only Lovers Left Alive", c’est qu’il se sert de sa trame fantastique pour exposer un dilemme humain : ici, il ne sera donc pas question d’histoire de vampires classiques avec un côté horrifique et chasse à l’humain ; non juste deux êtres immortels qui essayent (ou n’arrivent pas) de s’adapter au monde d’aujourd’hui. D’un côté nous avons Adam, sorte de rockeur romantique et suicidaire (gothique donc !) qui a perdu le goût de sortir la nuit et préfère rester chez lui entouré de reliques digne d’un magasin d’antiquaire (anciennes guitares, vielles consoles d’enregistrement de son, vieux téléphone sans fil pesant 10 kg, télévision des années 80, son mur recouverts de photos de grands hommes qu’il a jadis côtoyés) tant le monde extérieur lui fait peur (bin ouais : un vampire dépressif chronique !). Et, de plus, il habite Détroit, ville qui n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fut autrefois. De l’autre côté, nous avons Eve, femme dynamique vivant avec son temps (cheveux peroxydés, téléphone portable 4G dernier cri), très sociable (elle adore sortir la nuit et fréquente d’autres congénères aux canines pointues) et assez tournée vers l’avenir (elle vit à Tanger, ville marocaine qui s’est ouvert il y a quelques années au tourisme et dont l’activité nocturne est assez importante). Deux êtres diamétralement opposés mais totalement complémentaires, comme les deux faces du Yin-Yang. Une phrase du film illustre bien cette complémentarité lorsque Adam dit « J’ai l’impression que le sable du sablier est en bas », Eve lui rétorque « Il faut le retourner alors ! », sachant bien qu’aller retrouver son amant, c’est le sortir de sa poussiéreuse déprime. Une fois ensemble, Adam semble retrouver goût à la vie et Eve est juste heureuse d’être auprès de son amour millénaire : à deux, ils semblent plus forts pour continuer de vivre dans le monde moderne (ça y est : vous avez capté le titre du film ?! ^^). C’est à ce moment que choisi Jarmusch pour mettre à l’épreuve ses héros vis-à-vis de leur approche du monde qui les entoure en faisant arriver Ava, la jeune sœur d’Eve qui elle s’est carrément calquée sur les comportements humains contemporains où juste l’éclate du moment compte. Très bonne idée qui, en plus de donner un petit coup de dynamisme au récit, permet d’amener la dernière partie du film. De bonnes idées, le film en contient d’autres comme le fait que nos amis vampires soient des sortes de « muses » ayant inspiré les plus grands artistes de notre monde (à ce titre, le personnage de Marlowe est excellent) ou comme ce surprenant développement autour du sang : nos héros préfèrent s’approvisionner en sang dans des lieux cliniques pour obtenir un produit «pur» non contaminé par les vices de l’être humain (alcool, drogue, MST). D’ailleurs, les dégustations du précieux liquide rouge ressemblent étrangement à un shoot intra-veineux de junkie où nos amis vampires partent dans une sorte de mini-transe. En outre, pour la première fois, on évoque la possibilité de mourir en buvant du sang pour un vampire à cause justement de la non-pureté du sang : original. Comme quoi on peut moderniser la mythologie tout en la respectant (et non pas la fourvoyer tout en lui crachant à la gueule comme l’a fait la saga "Twilight" ou les séries « Vampire Diaries » et « True Blood »).
    Laissez-vous donc envoûter par ce road trip poétique d’un couple atypique où réflexion se mêle avec fantasmagorie. Brillamment interprété par le duo principal (touchant Tom Hiddleston et magnifique Tilda Swinton) ainsi que par les seconds rôles (charismatique John Hurt, espiègle Mia Wasikowska et méconnaissable Anton Yelchin !). Après onze films, Jarmursch continue encore de nous surprendre et de nous séduire pour notre plus grand plaisir…à quand le prochain ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 mars 2014
    Magnifique, poétique, lancinant, mystique...
    Une rythme qui exaspère la longueur de la vie de ces vampires. Eux aussi ont du mal à cohabiter avec l'homme sur cette Terre et nous envoi un message qui devrait nous ébranler.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mars 2014
    Un très grand film : lent, beau et vénéneux! Une histoire d'amour superbement filmée dans 2 villes que l'on a pas l'habitude de voir et qui crèvent l'écran : Detroit et Tanger. Tilda Swinton est envoûtante. La BO signée entre autre par Jim Jarmusch himself est parfaite
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 mars 2014
    Calme plat pour un scénario de deux heures

    Je suis resté jusqu'à la fin pour avoir quelque chose à raconter, mais peine perdue...les vampires doivent sérieusement regretter de vivre autant de temps une vie si insipide ! Seule la bande son éveille l'intérêt. Pour le reste, fuyez ce film dont l'affiche était pourtant prometteuse...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top