Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Entrez dans le monde de la nuit immaculée ! Bourré d’humour et nonchalant, le nouveau Jarmusch aurait très bien mérité le Prix de la mise en scène du Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Quand Jim Jarmusch raconte une histoire de vampires, c’est pour le plaisir poétique de conjuguer le thème romantique de l’amour éternel avec les notes ironiques de la modernité et les métamorphoses mélancoliques du temps qui délabre les villes. Une atmosphère jazzy, pleine de nostalgie amoureuse et de désenchantement drolatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Il suffisait d’une bonne métaphore (ces vampires-dandys sublimes) pour que Jarmusch livre son film le plus séduisant et intime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Si "Only Lovers Left Alive" trouble à ce point, c’est que, sans effort, du moins apparent, il fait surgir dans la texture imagée et minimaliste de ses plans la singulière emprise de l’inexistant sur l’existence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Une métaphore délicieusement morbide et pertinente de notre société décomposée. (...) [Un] lumineux et nocturne voyage.
Paris Match
par Yannick Vely
Film de songeur à la bande-son parfaite, "Only Lovers Left Alive" est le chant crépusculaire du dernier dandy du septième art.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Only lovers left alive doit se voir comme une ballade élégante et lasse, subtilement incarnée (Tilda Swinton, plus saisissante que jamais), judicieusement décalée (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
TF1 News
par Romain Le Vern
"Only Lovers Left Alive" porte effectivement bien son joli titre: le spectateur, pour peu qu'il partage son mood, en tombe instantanément amoureux. Pour longtemps.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Louis Guichard
Jim Jarmusch signe un film d'amour anticonformiste de toute beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Cantique crépusculaire à la louange de l’Art, "Only lovers left alive" est autant le produit d’une mimésis résignée que le reflet brisé de Jim Jarmusch.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
De la série "True Blood" en passant par la saga "Twilight", le vampire a trouvé un sang neuf sur grand et sur petit écran. Jim Jarmusch a mis près de dix ans pour monter "Only Lovers Left Alive". Autant dire qu’il eu le temps d’affuter ses canines sans se laisser influencer par ces petits nouveaux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Matthieu Amat
Le film tourne sur lui-même comme ses premiers plans, où la rotation sur son axe de la caméra le dispute à celle du vinyle. Il serait pourtant réducteur de n’en retenir que l’esthétisme dandy, et pas l’exigence morale qui malgré tout le traverse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Frédéric Ansaldo
Enfin un film de vampires qui ravira les admirateurs adultes du genre !
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Nicolas Dutent
(...) Jim Jarmusch livre un film profond et désenchanté sur la difficulté des morts-vivants à habiter ce siècle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Only Lovers Left Alive" est un film aérien, un film de geste, oeuvre d'un cinéaste qui pense autant musique que cinéma, qui se plaît à aligner les citations sans modération.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Fable, à la mise en scène lascive et élégante, (qui) distille une belle mélancolie et une évidente nostalgie pour les années 1970, saupoudrées de clin d'oeil drôles et sarcastiques (...). Jim Jarmush invente sa propre mythologie, en prenant le contre-pied des clichés (...).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Entre retour aux sources romantiques du mythe et prospection d'un désastre contemporain en cours, le nouveau film de Jarmusch est une méditation cool sur la survie en milieu hostile, un traité zen écrit dans le velours de la nuit pour se déprendre du bruit et de la fureur d'un monde qui ne sait que fuir en avant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Jarmusch trouve les solutions narratives et visuelles pour renouveler son art, tout en livrant un état des lieux lucide, et ironique, d'une génération à l'humeur sombre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Stéphanie Lamome
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le film a de la gueule.
Transfuge
par Damien Aubel
"Only Lovers Left Alive" : un film fin-de-siècle comme une renaissance.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Musique rock, spleen et errances nocturnes fascinantes pour ces deux créatures de la nuit joliment interprétées par Tom Hiddleston et Tilda Swinton.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
C'est pourtant l'une de ses plus belles, rêverie "dandyesque", romantique et inquiète (Jim Jarmusch, comme Wes Anderson et George Clooney bientôt, s'effraie de notre déculturation grandissante), portée par une mise en scène hypnotique et par un humour, une distance ironique, voire autoparodique, qui la sauve de la pose snobinarde toujours latente chez le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
D'une romance vampirique, Jim Jarmusch tire un pamphlet contre l'industrie de l'entertainment et se noie dans une amertume stérile.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Chef-d'oeuvre de cinéphilie pour spectateurs masos, ce film est sans doute formellement très beau, mais globulement soporifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Il y avait pourtant un vrai sujet avec ces immortels qui, de siècle en siècle, onteu le temps de tout apprendre sur tout, puis sont devenus des "héritiers d'eux-mêmes" complètement désoeuvrés - bien qu'on se demande encore d'où ils tirent leurs grosses liasses de billets. De tout cela, ce film donneur de leçons ne dit rien, préférant naviguer dans un ennui distingué mais aprticulièrement antipathique.
Ouest France
par La Rédaction
Un monde plastiquement très abouti (...), mais ces belles images dégagent souvent une profonde sensation d'ennui.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Jarmusch préfère entretenir un jeu de connivence avec ses fans qui verraient encore en lui le parangon d’un cinéma rock et « authentique ». De manière extrêmement antipathique, les vivants, pauvres ignorants de sa culture hautaine, sont traités de « zombies ». Ce mépris de classe ne recouvre en définitive qu’un maussade « c’était mieux avant ».
Franceinfo Culture
Entrez dans le monde de la nuit immaculée ! Bourré d’humour et nonchalant, le nouveau Jarmusch aurait très bien mérité le Prix de la mise en scène du Festival de Cannes.
Le Figaroscope
Quand Jim Jarmusch raconte une histoire de vampires, c’est pour le plaisir poétique de conjuguer le thème romantique de l’amour éternel avec les notes ironiques de la modernité et les métamorphoses mélancoliques du temps qui délabre les villes. Une atmosphère jazzy, pleine de nostalgie amoureuse et de désenchantement drolatique.
Les Inrockuptibles
Il suffisait d’une bonne métaphore (ces vampires-dandys sublimes) pour que Jarmusch livre son film le plus séduisant et intime.
Libération
Si "Only Lovers Left Alive" trouble à ce point, c’est que, sans effort, du moins apparent, il fait surgir dans la texture imagée et minimaliste de ses plans la singulière emprise de l’inexistant sur l’existence.
Marianne
Une métaphore délicieusement morbide et pertinente de notre société décomposée. (...) [Un] lumineux et nocturne voyage.
Paris Match
Film de songeur à la bande-son parfaite, "Only Lovers Left Alive" est le chant crépusculaire du dernier dandy du septième art.
Positif
Only lovers left alive doit se voir comme une ballade élégante et lasse, subtilement incarnée (Tilda Swinton, plus saisissante que jamais), judicieusement décalée (...).
TF1 News
"Only Lovers Left Alive" porte effectivement bien son joli titre: le spectateur, pour peu qu'il partage son mood, en tombe instantanément amoureux. Pour longtemps.
Télérama
Jim Jarmusch signe un film d'amour anticonformiste de toute beauté.
aVoir-aLire.com
Cantique crépusculaire à la louange de l’Art, "Only lovers left alive" est autant le produit d’une mimésis résignée que le reflet brisé de Jim Jarmusch.
20 Minutes
De la série "True Blood" en passant par la saga "Twilight", le vampire a trouvé un sang neuf sur grand et sur petit écran. Jim Jarmusch a mis près de dix ans pour monter "Only Lovers Left Alive". Autant dire qu’il eu le temps d’affuter ses canines sans se laisser influencer par ces petits nouveaux.
Critikat.com
Le film tourne sur lui-même comme ses premiers plans, où la rotation sur son axe de la caméra le dispute à celle du vinyle. Il serait pourtant réducteur de n’en retenir que l’esthétisme dandy, et pas l’exigence morale qui malgré tout le traverse.
L'Ecran Fantastique
Enfin un film de vampires qui ravira les admirateurs adultes du genre !
L'Humanité
(...) Jim Jarmusch livre un film profond et désenchanté sur la difficulté des morts-vivants à habiter ce siècle.
L'Obs
"Only Lovers Left Alive" est un film aérien, un film de geste, oeuvre d'un cinéaste qui pense autant musique que cinéma, qui se plaît à aligner les citations sans modération.
Le Journal du Dimanche
Fable, à la mise en scène lascive et élégante, (qui) distille une belle mélancolie et une évidente nostalgie pour les années 1970, saupoudrées de clin d'oeil drôles et sarcastiques (...). Jim Jarmush invente sa propre mythologie, en prenant le contre-pied des clichés (...).
Le Monde
Entre retour aux sources romantiques du mythe et prospection d'un désastre contemporain en cours, le nouveau film de Jarmusch est une méditation cool sur la survie en milieu hostile, un traité zen écrit dans le velours de la nuit pour se déprendre du bruit et de la fureur d'un monde qui ne sait que fuir en avant.
Les Fiches du Cinéma
Jarmusch trouve les solutions narratives et visuelles pour renouveler son art, tout en livrant un état des lieux lucide, et ironique, d'une génération à l'humeur sombre.
Première
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le film a de la gueule.
Transfuge
"Only Lovers Left Alive" : un film fin-de-siècle comme une renaissance.
Télé 7 Jours
Musique rock, spleen et errances nocturnes fascinantes pour ces deux créatures de la nuit joliment interprétées par Tom Hiddleston et Tilda Swinton.
TéléCinéObs
C'est pourtant l'une de ses plus belles, rêverie "dandyesque", romantique et inquiète (Jim Jarmusch, comme Wes Anderson et George Clooney bientôt, s'effraie de notre déculturation grandissante), portée par une mise en scène hypnotique et par un humour, une distance ironique, voire autoparodique, qui la sauve de la pose snobinarde toujours latente chez le cinéaste.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
D'une romance vampirique, Jim Jarmusch tire un pamphlet contre l'industrie de l'entertainment et se noie dans une amertume stérile.
Le Parisien
Chef-d'oeuvre de cinéphilie pour spectateurs masos, ce film est sans doute formellement très beau, mais globulement soporifique.
Mad Movies
Il y avait pourtant un vrai sujet avec ces immortels qui, de siècle en siècle, onteu le temps de tout apprendre sur tout, puis sont devenus des "héritiers d'eux-mêmes" complètement désoeuvrés - bien qu'on se demande encore d'où ils tirent leurs grosses liasses de billets. De tout cela, ce film donneur de leçons ne dit rien, préférant naviguer dans un ennui distingué mais aprticulièrement antipathique.
Ouest France
Un monde plastiquement très abouti (...), mais ces belles images dégagent souvent une profonde sensation d'ennui.
Cahiers du Cinéma
Jarmusch préfère entretenir un jeu de connivence avec ses fans qui verraient encore en lui le parangon d’un cinéma rock et « authentique ». De manière extrêmement antipathique, les vivants, pauvres ignorants de sa culture hautaine, sont traités de « zombies ». Ce mépris de classe ne recouvre en définitive qu’un maussade « c’était mieux avant ».